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Certains résultats concernant la classe S*(‪α, β)

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ANNALES

ÜNIVEESITATIS MARIAE CURIE ■ SKŁODOWSKA LUBLIN - POLONIA

VOL. XXV, 10 SECTIO A 1971

Instytut Ekonomii Politycznej i Planowania UMCS

ANDRZEJ WESOŁOWSKI

Certains résultats concernant la classe $*(a,/?)

Opewnych wynikach uzyskanychw klasie S*(a, p).

О некоторыхрезультатах,полученныхв классеS*(a,/J) 1. Notations.

Désignons par N la classe des fonctions /(z) = z + a2za + ... holomor­

phes et univalentes dans Æx, où Kr — {z: |z| < r}. Soit S* <= S désigné la classe des fonctions a — étoilées, c’est — à — dire des fonctions qui remplissent la condition:

sf' (z)

(1,1) Re - > a, zeK1,Q^a<l.

Dans le cas particulier a = 0 la classe 8^ se confond avec la classe connue des fonctions étoilées par rapport à l’origine.

Désignons par 8y c 8 la classe des fonctions qui vérifient la con­

dition :

(1,2) Tl ze Klf 0 < y 1.

Cette classe a été étudiée entre autre par D. A. Brannan et W. E. Kirwan [1] et par J. Stankiewicz [4].

Il est clair que 8*a ainsi que la classe 8V pour chaques des intervalles correspondants se compose de fonctions étoilées par rapport à l’origine.

Désignons par D la classe des fonctions w(z) holomorphes dans qui vérifient les hypothèses du lemme de Schwarz: w(0) =0, |œ(z)| < 1 pour zc Kt.

Enfin P désigne la classe des fonctions p(z) = l+pxz + p2n? + ...

holomorphes dans K± qui vérifient la condition:

(1, 3) Rep(z)>0 роигг<Кр

(2)

122 Andrzej Wesołowski

2. La classe 8*(II).

Il est à remarquer que dans la définition de la classe aussi bien que dans celle de la classe SY intervient la notion de subordination en domaine notamment, dans le premier et le deuxième cas on exige que que l’expression ~j-^)~ so^ con^enue dans le domaine univalent conten­(z) ant le point w = 1, qui est situé dans le demi-plan droit.

On peut ramener l’étude des sous-classes de la classe S* des fonctions étoilées à un problème plus général. Désignons dans ce but par II (z) la fonction de la classe P arbitrarement fixée que l’on suppose en outre univalente dans Kr.

Evidemment l’image du cerle K1 par la transformation H(z), que nous désignons par H (K2) contenue dans le demi-plan droit est un domaime univalent et simplement connexe qui contient point w = 1.

Désignerons maintenant par 8* (II) la classe desfonctions f(z) = z + + a2z2+ ..., telles que l’expression appartient au domaine H(Kl).

fW

Si l’on désigne par <p(z) -3j <P(z) la subordination en domaine des fonctions <p(z) à la majorante $(z) dans le cercle K1 c’est — àdire que ç?(0) = 0(0) et qu’il existe a>(z)e il tel que (p(z) = @(a>(z)) alors nous pouvons définir la classe 8* (H) de la manière suivante

(2,1) f(z)eS'(H) ^-^-^(z),

/(«) ztKt

Si nous admettons dans la définition ci — dessus que H (z) est une fonction, qui transforme d’une manière univalente le cercle Kl sur le demi-plan Ee{w} >a ou sur l’angle |argw| < y —, 0 < y < 1 alors la classe 8* (H) n

2

se confondra avec la classe S*, ou avec la classe SY.

Il résulte de la définition (2,1) qu’il existe ct>(z)e il tel que

«/'(*) (2,2)

/(») = H(œ(z))

Puisque comme on le sait, il existe une fonction p(z)e P telle que p(z)-l

(2,3) a>(z) =

2>(») + l donc on peut écrire (2,2) sous la forme

sf(s) (2,4)

pour Z( K y

\p(z) + lI ZeK1

fW

(3)

Certains résultats concernantlaclasse S* (a, /T) 123 De là

№ 1-1kP(g)~1l i /(») a 2 L \î»(») + l/

donc

De là nous obtenons la formule structurale pour la classe $*(#)

(2,5) №) =

Inversement chaque fonction donnée par la formule (2,5) appartient à 8* (H) ce qu’on vérifie immédiatement.

3. Classe S*(a, P)

Le cas particulier de la classe définie S* (H) est une classe S* (a, P) que nous définions de la manière suivante

[

1 + 2! "111?

(l-a)y-^ + al"

0< a < 1, 0 < P .2 L’étude de cette classe, au moins partielle joue un certain rôle, car dans les cas limités cette classe se confond avec les classes des fonctions étudiées dans la littérature mathématique par example:

s*(a’ïï) ='S*’ ='S°*’ °ù y

Le cas p = 0 est trivial, parce qu’alors la classe S* (a, P) se compose d’une fonction/^) = Z.

La fonction H(z, a, p) est univalente dans et transforme le cercle Ki sur le domaine convexe H(Klt a, P) limité par une courve

(3,2) 0 < a < 1.

Dans le cas a = 0 il faut remplacer la courve (3, 2) par les équations

2+ 2p

(3,3} w = $’• $ et w = q n • e où 0 < g < oo, 0 < p +

(4)

124 Andrzej Wesołowski

qu’il résulte immédiatement de la forme de la fonction H qui est donnée par la formule (3,1).

La courve (3, 2) a deux assymptotes qui passent par l’origine et inclinées à l’axe positif réel sous l’angle fi et sous l’angle — fl et coupe

23 cet axe dans le point a ” .

À la fonction ainsi choisi H = H (z, a, fi) la formule structurale (2, 5) passe dans la formule structurale pour la classe des fonctions S*(a, fl) à la forme

23

(3,4) f(z) = z • exp J J ——+ ? p (2) e P.

4. Certains problèmes extremaux dans la classe S* (a, fl).

Théorème 4.1. Dans la classe S* (a, fi) pour chaque z fixé, |2| — r, r < 1 le domaine de la variabilité de l'expression\

(4, 1) WWfi l + r(l-2«)

\ /(«) / ' 1-r2

HW 2(1 — a)r

1-r2 '

est le cercle fermé

23 La fonction extremale est la fonction

(4,2) /(s) = |[(

1+(1 1 S 2a)a )

" ~l]4

Démonstration. De la formule structurale (3,4) il résulte que

2/'(2) W

-77V = C(l-a)p(2) + a]»

J (z)

En élevant à une puissance —- réciproquemnt l’égaelité ci-desseus, nous 2p

obtenons après la transformation

p (2) =

|W-O 1 sw I

Comme on sait le domaine de la variabilité p(z)eP pour le z fixé |«| = r est le cercle dont de diamètre posé sur l’axe réel a les bouts dans les points

1 — T 1 T

——,---. Il en résulte immédiatement le thèse du théorème 4, 1.

1 + r’ 1-r

(5)

Certains résultats concernant la classe S* (a, p) 125

Comme les corollaires du théorème ci-dessus nous obtenons immédia­

tement les estimations exactes suivantes:

/1 —r(l —2a) (M> (-1l+r

.+r /1—r(l2a)\—

(M) (-;+r

(4,5) arg

(l + r(l-2a)^

zf'W ,/l + r(l-2a)\g

< Ee

I 2^

/(g)

|g| = V

/(«) \ i-i 2(1 —a)r

< — arc sin--- ,

n

l+r2(l—2a)

’’

Igl

|3|=r

Dans les cas limités il y a des estimations exactes dans les classes respectives de fonctions.

Théorème 4.2. Pour f(z)4 S*(a, fi), |»| = r <1 il y a Vestimation exacte

(4,6) r eip|J ’ -l]*} « №)l

«r-expj/l[(l±/»-2<,))“ -l]dr}

La fonction extremale est la fonction quiest donnée par la formule (4, 2).

Démonstration.

In^-ln fW + ïarg/(g) d’où

«/'(«) , , d . = 1 + r —- ln

/(«) dr

c’est — à — dire Ee

/(g)

g/'(g) /(g)

d f(z)

+ i-r—-arg——, |«| =r,

dr z

i + r—in dr En profitant de (4,4) nous avons

’(1 —2a)\— d , l<r—ln

or

(l-r(l-2a))g , /(g)

/(g)l

< ^l + r(l-2a) jjg-_

(6)

126 Andrzej Wesołowski

D’où après la division des côtés par r et après l’intégration de 0 jusqu’à r nous obtenons l’inégalité (4, 6),.

La deuxième partie du théorème resuite directement de (4,3) et (4, 6).

Dans le cas limité R — — nous obtenons l’estimation comme dans vt 2

la classe ([3])

r (l +r)2(1-°>

< l/(s)l < (l-r)2«1-“)r 1 —r(l —2a)

_ (1 + r)3"2“-

l + r(l—2a) (1-r)’-2“

Dans le cas a = 0 et p = — les estimations (4, 6) et (4,7) passent dans 7t 2

les estimations connues dans la classe 8*

r U + r)2

1-r (l + r)s

< \fw\ <

(1-r)2 1 + r (1-r)3

< l/'(2)l’^

Dans le cas a = 0 les estimations (4, 6) et (4, 7) passent dans les estimations dans la classe Sy [1].

Théorème 4,3. Si f(z) — z + a2z2 + ... e $*(a,/1) alors |a2| < —(1—a).

ji

La fonction extremale est la fonction qui est donnée par la formule (4, 2).

Démonstration. Soit p(z) — l+plz+p2za-\- ...eP et soit f(z) = z-oxpjj*-

O

~ x [(1 —a)p(z)+a] " —1 Dosignons par A(z) —---

z Alors

|^(l-a)p(z) + aj " -ljdz}.

f"(z) — 2-exp A(z)-dzj A(z) +z-exp | J A(z)-dzj Aa(z) +

O O

+ z-exp|J A(z)dz}A'(z).

Parce que

23

(l-a)[(l-a)p(z) + a] p'(z)

lim A(z) = lim --- ---=--- (1— a)pk)

e—>o z—*o 11

(7)

Certains résultats concernant laclasse S*(a, ß) 127 à cause de cela /"(0) =—(1 — a)pt 4d

n De là

Kl = -Hi-a)|Pl|2d 7t

Parce que comme on sait IpJ < 2, or Kl <—(1 —a). Pour la fonction 4d 71

(4,2) p(z) = est exacte.

1 + g

1-Ä et pt = 2, ce qui prouve que l’estimation K

5. Le rayon r(a, P) de létoilement dans la classe S.

Désignons par r0 le plus grand nombre possible tel, que — f(roz) 1 ro S* (a, ()) où f(z) est une fonction quelconque de la classe

Théorème 5,1. Le nombre rB est la racine de l'équation

28 t t

— arctg— = --- - - --

7t a ÿtf + f ln 1 + r 1-r pour t vérifiant la relation

lnt/a2 + <2 + — arctg— = 0.

a t

Démonstration. Pour la fonction F(z)eS nous avons (regarde par example [2]/l’estimation exacte pour ze Kx

(5,D De là (5,2) Soit

ln zF’(z)

< ln 1 + r 1-r ’ zF' (z)

= In--- = e”ln P(s)

kl = r.

1 + r 1 —r

23 l]*J

(8)

128 Andrzej Wesołowski

transforme le cercle K1 sur le domaine H(Kt, a, fi) limité par la courve (3.2) .

Ensuite nous avons

zf'(z) 2iï T 1 + 2 1

(5.3) In-TTF = —lu d-«)--- +«

f(z) 71 L 1-2 J

La fonction qui est à droite de (5, 3) sous le signe du logaritme transforme le cercle sur le demi-plan Re{w} > a.

L’équation du contour de ce demi-plan a la forme £ = a + it,

0 < a < 1, — oo < Z < + oo.

À cause de cela l’équation de contour du domaine de la variabilité a la forme

(5.4) jj =— ^ln/a2 + Z2 + i arc tg —j

Soit jj =u + iv, jji — u, + . Alors de (5, 2) et (5, 4) nous avons

(5,5)

u = — ln^a2 + Z2, 71

2B t

v =—arctg — Vj

7t a

«1 = cosçsln

= sinçdn

Pour r près de 0, ln zF'(z) F(z)

1 + r 1-r 1 + r 1-r

se trouve dans le domaine limité par la courve (5,4). Il existe donc r„ critique, tel que la courve jjx = «j + i», deviendra une tangente inteurieurement à la précédente. Dans les points de contact doit avoir bien simultanément

/e UW = Mv) x «'(*) «ÎM

(ô, o) et --- = —-,---

t,(Z)=Vl(ÿ>) (Z) v^ip) Ensuite de (5, 5) nous avons

(5, 7)

«'(*)

®'(Z)

Z

/7+?

a A2 + z2

—sinçi-ln 1 + r 1-r 1 + r

v[((p) = cosçdn 1-r

(9)

Certains résultats concernantlaelasse S*(a, p) 129 De (5, 7) nous obtenons

®'(<) (5,8)

«'(<) a T’

®î(y)

«l(<P) = -Ctg<p

En tenant comte de (5, 8), (5, 5) dans (5, 6) nous obtenons le système des équations

-- = — Ctgç>

(5,9) 71 lnl/a2 + t2 = cosyln-^~^r-

71 1 — T

. < . , 1 + r arctg — = sinœln---

7ï a 1 — r

En présentant cosg? et sinç> de la première équation (5, 9) en dépendance de a et t et en mettant dans les équations (5, 9) qui restent nous obtenons

(5,10)

2/J 71

2p

—în/c^+ï2 ==

n Fa2 + t2ln 1 + r

1-r

t t

— arctg— =

7t a y a* +t2 ln 1 + r 1-r

En divisant par les côtés les équations (5,10) nous obtenons la relation

(5, H) ln/a2 + t2 H—arctg— = 0

t a

À cause de cela le nombre r0 est la solution d’une des équations (5,10) par rapport à l’inconnu r pour t unique positif qui vérifie (5,11).

Dans les cas limités p — — ou a = 0 nous obtenons respectivement71 les rayons ra ou ry des cercles pour lequels les fonctions de la classe 8 sont de fonctions des classes ou SY.

Dans le cas limité important a = 0 et p — —7C de (5,11) nous obtenons 2

t = 1. En mettant dans la deuxième équation (5,10) nous avons

71 , 1 + r 71

— = ln—--- d’où r = th— = 0,6558 ...

2 1-r 4 ’

C’est un résultat connu de Grunsky (regarde par example [2]).

t — Annales

(10)

130 Andrzej Wesołowski

BIBLIOGrRAPHIE

[1] Brannan, D. A., and Kirwan, W. E., On Some Glasses of Bounded Univalent Functions, J. London Math. Soc., Second series, 1, 3, (1969). 431-445.

[2] Голузин, Г. M., Геометрическая теория функций комплексного переменного, Москва 1966.

[3] Pinchnk, В., On Starlike and Convex Functions of Order a, Duke Math. J., (35) 4, (1968)., 721-734.

[<] Stankiewicz, J., Some Remarks ConcerningStarlike Functions,Bull. Acad. Polon.

Sci., S6r. Sci. Math. Astronom. Phys. 18 (1970) 143-146

STRESZCZENIE

W pracy tej zdefiniowano klasę 8* (a, /3) <= S i uzyskano korzystając ze wzoru strukturalnego w tej klasie dokładne oszacowania |/(z)|, |/'(z) |,

*f(*) /(«) arg-

/(*) |a2|, jak również promień r0 koła, w którym każda funkcja klasy 8 należy do klasy $*(a, /?)•

РЕЗЮМЕ

В этой работе определено класс 8* (а, (?) с йи пользуясь структур­

ной формулой в этом классе получено точные оценки

!/(«)!, 1/'(г)|, Ее */'(*)

/(*) ’ l®2lj

а также радиус г0 круга, в котором каждая функция класса $ принад­

лежит классу 8* (а, /?).

(11)

UNIWERSYTET MARII CURIE-SKŁODOWSKIEJ

*

Nakład 750 egz. Ark. wyd. 10.

Ark. druk. 8,25. Papier druk. sat.

kl. III 80 g. Oddano do składania 29 IV 1972 r. Druk ukończono

w październiku 1973 r.

Zam. nr 177/72

* WROCŁAWSKA DRUKARNIA NAUKOWA

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ANNALES

UNIVERSITATIS MARIAE CURIE - SKŁODOWSKA

VOL. XXII/XXIII/XXIV SECTIO A 1968/1969/1970

12. R. Komin: Power Series in z and 2.

Szeregi potęgowe względem ziz

13. Ф. Г. Кравченко: Области абсолютной сходимости рядов, представля- ящих К функции многих параметров.

Obszary zbieżności absolutnej szeregów przedstawiających К — funkcje wielu parametrów.

Domains of Absolute Convergence for Series Expressing Кfunctions of Several Parameters..

14. J. Krzyż: An Extremal Length Problem.

O długości ekstremalnej pewnej rodziny krzywych.

16. R. Kühnau: Koeffizientenbedingungen bei quasikonformen Abbildungen.

Warunki na współczynniki dla odwzorowań quasikonforemnych.

16. J. Ławrynowicz and W. Waliszewski: Conformality and Pseudo-reimannian Manifolds.

Konforemnośó i rozmaitości pseudoriemannowskio.

17. V. P. Mićić: On the Boundary Correspondence under Quasiconformal Mappings in Space.

O odpowiedniości punktów brzegowych przy odwzorowaniach quasi- -konforemnych w przestrzeni.

18. P. T. Mocanu: An Extremal Problem for Univalent Functions Associated with the Darboux Formula.

Pewien problem extremalny dla funkcji jednolistnych.

19. J.Pałka: SharpEstimates of/P(u>)/, Arg [P(w)/w], AigP (w) ina Class of Univalent Polynomials.

Ostre oszacowania /P(w)/, Arg[P(»/w], P’(w)/, ArgP(w) w klasie wielomianów jednolistnych.

20. W. Pleśniak: Quasianalytie Functions of Several Variables.

Funkcje quasianalityezne wielu zmiennych.

21. M. О. Reade and E. J. Zlotkiewicz: On the Equation/(a) = pf(a)in Certain Classes of Analytic Functions.

O równaniu f(z) =pf(a) dla pewnych klas funkcji analitycznych.

22. H. Renelt: Über quasikonforme Abbildungen mehrfach zusammenhängender Gebiete durch Lösungen elliptischer Differentialgleichungssysteme.

O odwzorowaniach quasikonforemnych obszarów wielospójnych przy pomocy rozwiązań układów eliptycznych równań różniczkowych.

(14)

UNIVERSITATIS VOL. XXII/XXIII/XXIV

ANNALES MARIAE CURIE

SECTIO A

Biblioteka Uniwersytetu MARII CURIB-SKLODOWSKIEJ

w Lublinie

CZASOPISMA

4M

23. W. C. Royster and T. J. Suffridge: Typical!

Wielomiany .typowo rzeczywiste.

24. J. Siciak: Analytic FuriStións in Topological Vt__ ______ _

Funkcje analityczne W" przestrzeni topologicznej wektorowej.

25. L. Siewierski and H. Śmiałkówna: On theCoefficients of Meromorphic Quasi- -convex Functions.

O współczynnikach funkcji meromorficznych quasi-wypuklych.

26. M. Skwarczyński: A Class of Domains Determined by an Invariant Property of the Bergman Function.

Klasa obszarów określona przez niezmienniczą własność funkcji Berg­

mana.

27. J. Stankiewicz: On a Familyof Starlike Functions.

O pewnej rodzinie funkcji gwiaździstych.

28. W. Tutschko: Stammfunktionen komplexwertiger Funktionen als Lösungen spezieller komplexer Differentialgleichungen.

Całki pewnych specjalnych równań różniczkowych w dziedzinie zespo­ lonej.

29. T. Winiarski: Approximation and Interpolation Methods in the Theory of Entire Functions of Several Variables.

Metoda aproksymacji i interpolacji w teorii funkcji całkowitych wielu zmiennych.

30. A. Wesołowski: Communiqué des formules variationnelles et des certains résultatsreçus dans les sous-classes des fonctions étoilées.

Komunikat o wzorach wariacyjnych i o pewnych wynikach uzyskanych w podklasach funkcji gwiaździstych.

31. E. Złotkiewicz:The Region of Variability of the Ratio /(6)//(c) within the Class ofMeromorphic and UnivalentFunctions in the UnitDisc.

Obszar zmienności stosunku/(ó)//(c) w klasie funkcji meromorficznych i jednolistnychw kole jednostkowym.

UNIWERSYTETMARII CURIE-SKŁODOWSKIEJ

BIURO WYDAWNICTW

LUBLIN Plac Litewski 5 POLAND

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