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C H IM IE B IO L O G IQ U E

S u r le c o m p o r t e m e n t d e l ’é le c tro d e à q u in h y d r o n e d a n s le s liq u id e s v é g é ta u x Ka u k o Y. et Kn a p p s b e h o L. (Anqew.

Chem., 1940, 53, 187-188). — On mesure le pH de jus de fruits frais, au moyen d'une électrode à quinhydrone normale (pHt), au moyen d ’une électrode permettant l’addition d’un excès de quinhydrone (pH,), et au moyen d’une électrode de verre pH g).

Les valeurs de pHj et p H s sont à peu près identiques, et supérieures à celles de pH g, qui restent constantes avec le temps, alors que pH, et pH, varient. L’addition de quinhydrone ne modifie pas les. valeurs indiquées par l’électrode de verre. Le potentiel d'oxydo-réduction est faible (envi­

ron + 500 mV). Les substances réductrices des fruits sont la cause des variations de pH, et pH, avec le temps. Les déterminations de pH des jus végétaux ou moyen d ’élec­

trodes à quinhydrone peuvent donc être : faussées.

L es is o to p e s d a n s l a re c h e r c h e b io ­ c h i m i q u e ; En d e r s C. (Angew. Chem..

1940, 53, 28-31). —- Exposé des ressources offertes par la recherche des isotopes et leur déplacement mutuel dans les tissus végétaux et animaux, dans les fermentations des sucres, dans le métabolisme des corps gras et des protéines, dans le mécanisme des réactions du groupe des stérines, les dépla­

cements du phosphore et des lécithines.

Ces recherches utilisent des éléments radio- actifs naturels ou artificiels et des isotopes inactifs tels que le deutérium et les isotopes de N et O.

Im portance des réactions portant sur des isotopes, pour la chim ie physiolo­

gique; Dir s c h e r l W. (Exposé à la 46= réu­

nion de « Deutschen Bunsen Gesellschaft e.

V », 10-12 juillet 1941). (Z. Elektroehemie, 1941, 47, 705-716). — Résumé des travaux récents, en particulier sur l’influence de l ’eau lourde sur la vie de certains organismes, la perméabilité des membranes, les fermen­

tations en présence de composés contenant D, sur l’activité optique des composés de D, le. métabolisme de substances minérales, des stérols, des glucides et des protéides.

É t u d e des g é la tin e s a u m o y e n d u titr a g e p a r p r é c ip it a t io n ; Jir g e n s o n s

B. (Biochem. Z., 1942. 310, 325-334). — Les solutions de gélatine et de ses produits de dégradation ont été titrées par addition d’acétone jusqu’à l ’apparition d’un trouble.

Il a ôté ainsi constaté que ia quantité d’acé­

tone nécessaire flour la précipitation dépend de la grosseur des particules et de la concen­

tration de la gélatine ou de ses produits de dégradation, ainsi que delà présence d’acides, de bases ou de sçls.

Étude au moyen du microscope élec­

tronique du protéide du m uscle, la myosine ; v o n Ar d e n n e M. et W e b e r H. H (Koll. Z.. 1941, 97, 322-325). La myosine très divisée se présente au microscope électronique comme constituée par des fils de plusieurs milliers de m de long, de >5 à 10 m d’épaisseur. Il est probable que chaque fll est constitué par un ensemble de micelles.

Étude de l'ovalbum ine et de ses produits de dégradation p ar titrage par précipitation ; J ir g e n s o n s B. (Koll. Z.

1942, 98, 70-75). — Titrage des sols d’ovai- bumine à diverses températures par addition

CHIMIE PHYSIQUE BIOLOGIQUE d’acétone jusqu’à apparition de trouble.

Entre 15° et 25° G, on observe une relation linéaire entre la quantité d’acétone néces­

saire pour l’apparition de trouble et log c (c: concentration albumine); à 5 et,à 45“ C, la relation est compliquée; aux températures plus élevées, les sols d'albumine sont plus faciles à précipiter. On a également étudié la relation entre la précipitation par l’acétone et log c pour les acides lysalbiniques qui se forment par dégradation de l'ovalbumine au moyen de HÔNa; on trouve également dans certaines conditions de température une relation linéaire ainsi que pour une série d’acides aminés.

L ’iniluence de substances hydrotropes sur les propriétés colloïdales du sérum ; Wu n d e r l y C. (Koll. Z., 1942, 98, 76-82). — Etude de l’influence,de sols de prontosil, de trypaflaviné, de rouge d’acrividine 3B et d’orange d’acridine NO, de leur concentra­

tion et de leur action hydrotrope en rapport avec le problème de la perméabilité. On étu­

die l'influence des sels de Na des acides ben- zolque, salicylique, mandélique, cinnamique sulfanilique, p phénolsulfonique, de la l tyrosine, dl phénylalanine et du mélange de d arginine et de l histidine sur la coagulation et 1a dénaturation des sérumprotéides, au moyen d ’une méthode néphétométrique.

La photosynthèse p ar les cellules b ru ­ nes com m e action combinée de la chlo- rophylle et des caroténoïdes ; Mo n t fo rt

C. (Z. phjis. Chem. A., 1940, 186, 57-93). — En vue d’éclaircir la question de la partici­

pation des pigments jaunes des feuilles ¡ni processus d’assimilation, on a analysé les colorants de Diatomées et d’Algues brunes pour déterminer la part des colorants jaunes dans l’absorption d’énergie par l’ensemble des pigments. Les cellules brunes utilisent les radiations bleues beaucoup mieux qu’on ne le croyait possible jusqu’ici d’après la théorie quantique. Cet écart est si important que seule une action combinée de la chlo­

rophylle et des carotf'noides permet d’expli­

quer la bonne utilisation des radiations de faible longueur d’onde. On considère comme spécialement actifs certains caroténoïdes, en particulier la fucoxanthine, qui est déjà for­

tement absorbante dans le vert et le bleu-vert.

Tissus de cellules de celloïdine p ris­

m atique contenant des biocolloïdes. V II.

Effets de stagnation ; B u n g e n b e r g d eJ o n g H. G, et Kok B. (Proc. Amsterdam, 1942,45, 204-205). — Après coacervation avec acide acétique 0.01 N, on fait pénétrerdanslacellule à travers la membrane une solution d’acide acétique et C1K. Les petites vacuoles d’abord présentes disparaissent; si, avant l’apparition de la nouvelle vacuolisation normale, on ferme le robinot du réservoir. oh observe une vacuo­

lisation d’un genre particulier (nombreuses petites vacuoles) qui décroît lorsqu’on rouvre rapidement le robinet. Cet effet de stagnation est dû à ce que le milieu et le contenu de la cellule ne sont pas encore en équilibre; on montre qu’il s’agit en fait, d’un effet d’écou­

lement local.

Une erreur dans la m esure des chan­

gements de volum e du p la sm a après exercice; E b e r t R. et S te a d E. (Proceed Soc. exp. Biol. Med., 1941, 46, 139-141). — Les propriétés optiques du sérum changent notablement après exercice (absorption mesurée au colorimètre photoélectrique), et

peuvent entraîner de graves erreurs dans la détermination des volumes de plasma par l’emploi de colorants.

Spectres d'absorption dans l ’u ltra ­ violet du sérum norm al h u m a in et du sérum paludéen. Spectres d ’absorption dans l 'ultra-violet dés différentes frac­

tions protéidiques du sérum ; Pr u d h o m m e

R. O. (Ann. Inst. Pasteur, 1941, 67, 419-448).

— Les spectres d’absorption dans l’ultra­

violet du sérum normal et du sérum paludéen sont identiques pour les positions du maxi­

mum et du minimum d’absorption et pour les coefficients d’extinction de ces deux points. Les maxima d’absorption de ces sérums se trouvent vers 2.775 ’À, et leur coefficient d’extinction est en moyenne de 59 pour le sérum normal et de 55,5 pour le sérum paludéen; les minimas d’absorption sont placés vers 2.520 A, et leurs coefficients d extinction sont de 25 pour le sérum normal et de 24,8 pour le sérum paludéen. Les trois fractions proiéidiques du sérum : les euglo- bulines, les pseudo-globulines et les albuminos présentent une courbe d’absorption analogue à celle du sérum.

Effet stim u la n t des ultra-violets de courtes longueurs d ’onde sur les Algues Stichococcus bacillaris ; Me ie r F. E (Smiihsonian mise, coll., 1939, 98, n “ 23). , L’exposition de l’algue verte Stichococcus ba­

cillaris Naeg. aux rayons ultra-violets de courte longueur d’onde ; 2.352, 2.483, 2.652 et 2.967 A produit une action stimulante se traduisant par une multiplication accrue des cellules. Le point de stimulation optimum se trouve environ aux deux tiers de l’exposi­

tion mortelle. L ’action stimulante n’est pas transitoire, mais persiste dans les cultures pendant plus de deux ans. Les cellules expo­

sées sont légèrement plus courtes et plus larges que les non exposées.

Mesures sur la lum ière diffusée par le la it; Lotmab W. et Nit s c h m a n n Hs.

(Helu. Chim. A d a, 1941. 24, 242-247), — Les mesures de dépolarisation donnent pour les particules une forme sphérique avec un diamètre de 120 m^.. Par alcalinisation, il y a dispersion : la lumière diffusée devient 540 fois plus faible, ce qui donne pour les particules un diamètre do 15 mu sans qu’on puisse affirmer qu’elles soient sphériques.

Par dissolution de caséine non dégraissée, la graisse se disperse comme dans le lait frais. Dans le lait alcalinisé, la graisse diffuse 15 fois plus de lumière que la caséine.

(Allemand.) Tissus de cellules prism atiques conte­

nant des biocolloïdes. IV . Changements m orphologiques du coacervat complexe gélatine-gomme arabique en fonction de la variation de pH du m ilie u baignant la m e m brane; Bu n g e n b e r gd e Jo n oH.G.

et Ko k B. (Proc. Amst., 1942. 45, 51-58). — Etude des conséquences morphologiques des variations de pH d’un coacervat complexe enfermé dans les' cellules d ’une membrane de celloïdine. La vacuolisation du coacervat pariétal se produit aussi bien pour une baisse que pour une augmentation de pH ; par retour au pH primitif, le coacervat reste vacuolisé, cependant que de nouvelles goutelettes de coacervat se forment, dans la vacuole centrale. Les variations de pH entraînent, aussi bien dans un sens que dans l’autre, et contre toute attente, une variation de la teneur en eau et de la proportion de

colloïde du coacervat complexe. On peut expliquer les vacuolisations par ces variations de teneur on eau et en colloïde du coacervat.

V. Changements morphologiques du coacervat complexe gélatine-gomme ara­

bique dus à l ’addition de sels non-éleo- trolytes auliq uideb aignantlam e m brane ; Bu n g e n b e r g d e Jo n g H. G. et Ko k B.

(Proc. Amsl., 1942, 45, 67-75). — Étude des changements morphologiques d’un coacervat complexe dans les cellules d’une membrane de celloïdine, par addition de sels non-élec- trolytes au milieu baignant la membrane et par suppression 'de ces substances par un courant d’acide acétique 0,01 N. Les non-électrolytes. tels que le glucose, sont pra­

tiquement inactifs à des concentrations qui dans le cas des 6lectrolyt.es causent des effets considérables. 11 faut des concentrations beaucoup plus fortes pour obtenir la vacuoli­

sation du coacervat pariétal. L ’intensité des effets décroît dans l’ordre, glucose-glycérine- alcool.

V I. Localisation des coacervats coexis­

tants et du liquide d ’équilibre dans les cellule^ Modèle morphologique de la cellule végétale; Bu n g e n b e r g d e Jong H. G. (Proc. Amsl., 1942, 45, 76-81). — On d enfermé dans les cellules d’une membrane de celloïdine un mélange convenablement sélectionné de gélatine, de gomme arabique et de nucléinate de Na et on a causé la coacervation de ce mélange de colloïdes par circulation autour de la membrane d’un liquide do pH convenable.

Les positions relatives des deux coacervats

S u r le s s u b s ta n c e s d é t e r m in a n t l a fé c o n d a tio n ejfc le s s u b s ta n c e s d é t e r m i­

n a n t l a rac e chez le s v é g é ta u x e t le s a n im a u x ; K u h n R. (Anqew. Chem., 1940, 53, 1-6). —- Exposé des connaissances acquises spécialement au cours des dernières années, sur les substances activant les gamètes, les substances déterminant la sexualité, les substances déterminant la race, en particulier chez les algues vertes du genre Chlamidomonas.

Le rendement énergétique dans l ’assi­

m ilation du gaz carbonique; Ko p p Ch.

Biochem. Z., 1942. 310, 191-206). — Mesure du rendement énergétique de l’assi­

milation du gaz carbonique de cultures de algue vertc Chlorclla purenoidosa. déterminé

§ arin nr!1I!i1i,ere blanche aux températures de 10, 20 et 30° et pour la lumière monochro- matique X 6500 À, aux températures de 10° et 20°.

Le rôle du gaz carbonique dans la coagulation sanguine; Wid e n b a u e r F. et Re ic h e i. Ch. (Klin. Woch., 1942. 21. 436). L,a tension do CO, du sang circulant est un racte.ur important pour la conservation de état fluide de ce liquide, et la diminution , c™ s tension dans le sang extravasé entraîne la coagulation de ce dernier. CO.

înnibe totalement l’action coaanlante de la tnrombokinase sansuine; l’action inhibitricc des extraits tissulaires (cerveau) est modérée.

S ur le rôle du gaz carbonique et de la wiroinboKinaso sanguine dans la coagu­

lation-du sang; Wid e n b a u e r F. {Klin.

V”och. 1942, 21, 524).— L’auteur montre que 1 action anticoagulante du CO, se manifeste dans la première phase de la coagulation sanguine par l’inactivation de la tnrombokinase du sang. Lorsque CO, est éliminé, ¡a thrombokinase retrouve son activité. L’action du CO, dans ce processus

complexes coexistants présentent de grandes analogies avec la morphologie de la cellule végétale à maturité. Le coacervat à haute teneur en arabinate devient pariétal et entoure le liquide d’équilibre, pendant que le coacervat à haute teneur en nucléinate est enrobé dans le coacervat à haute teneur en arabinate. Du fait de la perméabilité de la membrane de celloïdine, le nucléinate diffuse peu à peu, et le coacervat do nucléi­

nate disparaît au cours du temps.

M odification des forces superficielles des dérivés phénoliques et azotés au moyen de composés d ’addition. Contri­

bution à l ’étude des changements des forces superficielles par l ’association dipolaire; Be r g s t e r m a n n H. et Elbra ch t

O. (Bioch. Z., 1941, 310. 64-82). — Les recherches de Labes et collaborateurs ont montré que le mélange de dérivés phéno­

liques et de bases azotées en solution aqueuse produit des réactions de précipi­

tation. Los substitutions hydrophobes ren­

forcent cette réaction, tandis que celles des radicaux hydrophiles affaiblissent cette même réaction. Le présent travail apporte la confirmation de ces constatations.

L ’ultrason dans la médecine; Go h r H.

et We d e k in d Th. '{Klin. Woch., 1940, 19, 25-29). — Au point de vue chimique, on fait actuellement des essais sur la modifi­

cation de la digestibilité des graisses, telles que la margarine, sous l’influence du trai­

tement par les ultrasons. On envisage aussi l’utilisation de l’ultrason dans l’extraction des gaz des liquides en vue de leur analyse.

BIOLOGIE GÉNÉRALE

est due surtout à sa fixation sur la throm­

bokinase, plutôt qu’à une modification du pH provoquée par sa présence.

Représentation statistique d ’un grou­

pe de résultats biochimiques ; Quelques exemples; Me u n ie r P. {Bull. Sc. pharma- col.. 1942, 49, 23-30). — Deux paramètres suffisent, la moyenne arithmétique et l'écart It/pe, à bien décrire un groupe de résultats dans le cas général. L ’auteur montre, sur des exemples', les prévisions que permet le maniement des paramètres choisis.

Le nombre des plaquettes sanguines diminue-t-il dans la vieillesse? He y m e r

A. et Ottow ess G. [Klin. Woch., 1940. 19 478-479). — L’étude du nombre des throm­

bocytes chez 30 sujets âgés de 60 à 92 ans montre - que le nombre de ces formations chez ces derniers est le même que celui des personnes d’âge moyen. Il n’y a donc aucune preuve pour une diminution de la vitalité de la moelle osseuse dans la vieillesse.

L ’im age sanguine au cours d ’ano- xémies répétées de courtes durées ; B r u h l W. et Ha n is c h K. {Klin. Woch., 1942, 21, 253-255). •— L’anoxémie répétée de courte durée provoque des modifications de l’image sanguine analogues à celles d’un séjour prolongé à haute altitude. Chez l’homme sain on constate une augmentation de 7,5 0/0 du nombre des érythrocytes et de 15,5 0/0 de la teneur en Hb. La modification est encore plus importante chez les anémiques où les chiffres peuvent retrouver leur valeur normale.

Système réticuloendothélial et dias­

tases du sang ; Pa p a y a n n o p o u l o s G. et Gulzow M. (Klin. Woch., 1940. 19, 1330- 1333). — En bloquant le système réticu­

loendothélial au moyen de l’encre de Chine, du carmin lithiné ou de solution de cuivre

Une application immédiate des ultrasons à la thérapeutique humaine ne peut pas être envisagée actuellement. Toutefois, leur utili­

sation dans la préparation des colloïdes et ainsi dans l’obtention de nouveaux médi­

caments reste très possible. Comme moyen prophylactique, l ’ultrason constitue un fac­

teur très utile pour débarrasser rapidement l’air de ses poussières dont l’importance dans la prophylaxie des pneumoconioses

est capitale. ,

Les colorations expérimentales de la peau par l ’argent et l ’or ; Ur b a n G. (Arch, exp. Path. Pharm., 1942, 199, 345-375).

Étude sur l’oreille isolée de Lapin et de Porc et perfusée de solutions d’Au et d’Ag, de l’influence de l’irradiation sur la colo­

ration de la peau par ces deux métaux.

Cette coloration dans le cas de l’Ag est considérablement accélérée sous l’influence des rayons. Pour l’or, par contre, la colo­

ration n’est possible qu’en présence des radiations. L’action des rayons courts est la plus forte sur ces pigmentations et celle des radiations visibles la plus faibe. La pigmentation est due à une réduction sous l’influence des composés sulfhydrylés de la peau.

Étude de la perm éabilité des m e m ­ branes vivantes à l ’aide de branchies artificielles. I. Vérification de l ’équation j do l ’intoxication sur la pénétration de l ’acide oxalique à travers la m em brane . dé cellophane; Ma c o v sk i E. et Stan G.

(Biochem. Z., 1942, 310, 255-280).

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colloïdal chez le Lapin et le Cobaye, on s provoque la diminution do la diastase i sanguine. Discussion de la cause de cette ■

diminution. , j

Recherches sur la forme de l ’action dynam ique spécifique sous l ’influence de l ’adm inistration de glycocolle; Siede W.

et Tietze K. (Klin. Woch., 1940, 19, 1126- 1129). — Les auteurs montrent que le glycocolle, en tant que substance susceptible d’être dosée exactement, est tout Indiqué pour étudier les modalités de l’action dyna­

mique spécifique. L’administration de 0,227 g ar kg de glycocolle provoque chez les sujet.

sécrétion11 internes normales une augmens tation moyenne de 18.8 0/0 du métabolisme- Ce résultat est alteinL en moyenne 1/2-1 heure après absorption et diminue ensuite.

L ’augm entation dp l ’élim ination de l ’azote consécutive à l ’absorption de l ’alcool est-elle une preuve d ’une aug­

mentation toxicrue de la dégradation des protides? Me l k a J. (Klin. Woch..

1940, 19, 1082-1084). — Contrairement l’opinion répandue qui attribue l'augmen­

tation de l’élimination de N consécutive à l ’absorption de l’alcool à une intensification anormale de la dégradation protidique.

l'auteur montre que l’effet produit par l'alcool est purement physique, dû à l’accé­

lération de la vitesse de l’élimination de l ’urée préformée du sang et des autres organes. La preuve en est donnée partout par ia diminution importante de la valeur du N résiduaire dans le, sang à la suite de l’absorption de l’alcool. Dans les expé- : riences où l’on fait absorber au sujet de fortes quantités d’alcool fortement dilué, l’augmentation de l’élimination de l’urée est la conséquence de celle de l’eau.

Essais sur l ’excitation chim ique des cellules dans les cultures des

fibro-CHIM IE BIOLOGIQUE 1843 blaates. I. O uabaïne; Heubner W. et

Schreiber E. (Arch. ex p. Palh. Pharm., 1940, 194, 78-97). — Les auteurs n'ont pu constater aucune influence stimulante de l ’ouabaïne (ÿ-strophanthine) sur la crois­

sance des cultures pures de fibroblastes.

j II. Sels de cuivre (Ibid., 98-104), Tous les

* essais des auteurs pour obtenir la stimulation do la croissanco des cultures par de faibles concentrations de sels de Cu sont restés sans résultat. *111. Histamine (Ibid., 105-108).

L'histamine montre une faible action toxique sur les fibroblastes à une concentration supérieure à 0,1 0/0. Les solutions plus faibles n’ont aucun effet perceptible.

Oxydation des protéides natifs p ar la catalyse du glutathion-cuivre ; Fe in s t e in

R. et St a r e F. (Proceed. Soc. exp. Biol. Med., 1940, 45, 529-531). — Cu (SO.Cu) est un catalyseur beaucoup plus puissant que Fc (Cl.Fe).

Effets de corps pro-oxydants sur la reproduction chez les R ats; De a t h e r a g e

F., Me Co n n e l l K. et Ma t t il l H. (Proceed.

Soc. Exp. Biol. Med., 1941, 46, 399-402). — Il n’a pas été possible de provoquer

l'avor-G LU C ID E S ET D É R IV É S .

Recherches sur l'a m id o n . IX . D égra­

dation par la B-amylase et loi d ’action des masses; Me y e r K. H. et Pre ss J.

(Helv. Chim. Acla, 1941, 24, 50-58). — Étude de la vitesse de dégradation par la B-amylase du malt d’un amidon soluble selon Zulkowski et de l’amylose de maïs et de pomme de terre pour différentes concentra­

tions du substratum et du ferment. La réaction est d’ordre zéro et aux concentra­

tions élevées de l'amidon, le rapport V de la vitesse de réaction à la concentration du ferment tend vers une limite. Interprétation : le ferment forme une combinaison d’addition avec le substratum, combinaison en équilibre de dissociation avec le ferment libre et le substratum libre et se décomposant lente­

ment en produits de dégradation et en ferment. Calcul de * la constante de disso­

ciation. (Français.)

Recherches sur l ’am ido n. X . La dégradation du glycogène p ar la B- am ylase; Me y e r K. H. et Pr e s s J.

(Helv, Chim. Acla, 1941, 24, 58-62). — Étude du glycogène de foie de bœuf et de moules et du lyo-glycogène. Le » symplex » glyco- gène-protéide n’est pas attaqué par la

B-amylase. (Français.)

Recherches sur l ’am idon. X I. S u r la dextrine résiduelle de l ’am ido n de m aïs (érythrogranulose) ; Me y e r K. H., We r- t h e im M. et Be r n f e l d P. (Helv. Chim.

Acla, 1941, 24, 312-216). — La dextrine résiduelle (40 0/0; [ctfâ1 = + 192°) pro­

venant de l’action de la B-amylase sur l’amylopectine de mais contient’ tous les groupes terminaux du produit initial.

(Français.) PRO T ID ES ET D ÉR IV É S.

S u r la présence de la i-tyrosine dans l'e x tra it alcoolique de jaune d ’œuf;

Br a c a l o n i L. (J. Pharm. Chim., 1940, 1, 140-142). — On a trouvé, par distillation dans le vide de l ’extrait alcoolique de léci- thine et lutéine, 0,10 à 0,16 g pour 200 jaunes d’œufs d’une substance azotée, F. 287° C.

(avec décomposition), présentant tous les caractères de la /-tyrosine qui, par action de

(avec décomposition), présentant tous les caractères de la /-tyrosine qui, par action de

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