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La formation touristique à l'Academie d ’Education Physique de Cracovie

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A C T A U N I V E R S I T A T I S L O D Z I E N S I S

T U R Y Z M 7, 1990

Teofila Jarowiecka

LA FORM ATION TOURISTIQUE

A L A C A D EM IE D ’EDUCATION PH Y SIQ U E DE CRACOVIE KSZTA ŁCEN IE W ZA KRESIE TURYZMU

W AKADEM II W YCHOW ANIA FIZYCZNEGO W KRAKOW IE

P lu sieu rs causes fu re n t à l ’origine de la naissance et du développe­ m en t des études su p érieu res en tourism e dans les A cadém ies d ’é d u ca­ tion physique en Pologne; citons notam m ent:

— les liens tradition n els de certaines form es de tourism e avec cer­ tains aspects de l ’éducation physique;

— l’accent m is après 1956 su r le tourism e social;

— la réu nio n dans les années soixante du tourism e et de la c u ltu re p hysique sous la gestion du m êm e m inistère;

— l’essor dynam ique du tourism e dans les années soixante qui con­ tra ig n it les cen tres ém e tte u rs et récep teu rs à accélérer la form ation de cadres; les h au tes écoles économ iques o n t cessé de su ffire face au x b e­ soins croissants;

— les progrès de la form ation to u ristiq u e de cadres bénévoles qui par l ’in term éd iaire d ’o rganisations et d ’associations diverses o b ten aien t des certificats d o n nant droit à exercer certains m étiers d ’en cad rem en t touristiq u e; ces personnes ch erch aient ensuite la possibilité de p arfaire leu r form ation à un niveau su périeur.

La décision m in istérielle d ’ou vrir des possibilités de form ation to u ri­ stique au niveau su p é rie u r a été due aussi en p a rtie au fait q u ’à la fin des années soixante il ex istait beaucoup de personnes a y a n t suivi des cours de form ation professionnelle d ’un an ou deux, organisés p ar des associations dites de h a u te utilité, p a r exem ple la Société Polonaise d ’Economie, avec le su p p o rt de c ertain s établissem ents et centres publics.

L ’enseignem ent su p érieu r en m atière de tourism e a été précédé p ar la form ation dans les écoles hôtelières et gastronom iques dont certains

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ex-élèves vo ulaient égalem en t com pléter cette form ation au niveau aca­ dém ique.

U niversités et a u tre s écoles su p érieu res subissaient l’ascen dan t des processus d ’urbanisation et d ’ind u strialisation , et songeaient su rto u t à p ré ­ p a re r des cadres pour la recherche, l ’in stru ctio n et l’activité technique; elles s’in téressaien t beaucoup m oins à la c u ltu re de loisirs de m asse et a u x services touristiques.

A la c h arn ière des années soixante et soixante-dix s ’intensifia le m ouvem ent écologique; les prem iers ré su lta ts des recherch es su r les nuisances de l’en v iro n nem en t o n t contribué à in tensifier l ’élaboration des form es de prophylaxie, p a rm i lesquelles le tourism e a tou t de suite occupé une place im po rtan te; ceci aussi a été un m om ent im p o rta n t qui contribua à au g m en ter les besoins en cadres touristiques.

La form e et les contenus de ren se ig n em e n t de tourism e à l’A cadém ie cracovienne d ’éducation physique o n t évolué au cours des années. Comme une p rem ière é tap e de cette activ ité il fa u t considérer la période où le tourism e é ta it tra ité comm e enseignem ent com plém entaire pour les p ro ­ fesseurs d ’éducation physique.

Le développem ent de l ’activité to u ristiq u e dans le cadre de l ’é d u ­ cation physiq ue s ’é ta y a it su r une tendance ap p a ra issa n t d éjà dans le discours de certain s m ilita n ts sociaux du d éb u t de n o tre siècle qui v o u ­ laien t tra ite r conjo intem en t la c u ltu re physique, les sports de masse, le tourism e et les „vacances ré c ré ativ e s” (M. O r ł o w i c z 1970). C ette idée d ’intég ratio n de toutes les form es d ’activité physique fu t ensuite mise en p ratiq u e dans l’e n tre -d e u x -g u erres à l’E tude d ’éducation physique de l ’U niversité Jagellonne; on y o rg an isait des cam ps fixes et itin é ra n ts où l ’on enseignait des jeu x de terrain , le tourism e, les sports et les tech ­

niques de randonnées en bateau (L. P e t e к 1969).

A près la g u e rre on n ’a pas to u t de suite inclu dans l’enseignem ent de 1 éducation physiqu e des m atières d ev an t p rép a re r à l’organisation

des activités de plein air.

Ce n ’est que dans les an n ées soixante, sous l’effet de l ’action con­ jointe des divers facteu rs p résen tés au début, que fu re n t inclues dans le program m e d ’é tu d es p o u r fu tu rs in stitu te u rs des enseignem ents p r a ­ tiques de randonnées touristiques, d ’o rganisation de cam ps, d ’o rg an isa ­ tion du tourism e spécialisé en groupes, de ski. C ette form ation serv ait en g énéral à au gm en ter le plus possible la résistan ce physique, consti­ tu a it une sorte d ’e n tra în e m en t sportif, et to u t au plus fournissait q u e l­ ques connaissances de topographie et de certains élém ents du m ilieu p hysique d é te rm in a n t les conditions de séjour.

P arallèlem ent, dans la pensée polonaise rela tiv e à la c u ltu re physique a p p a ïu t le concept de récréation, défini de la m eilleu re m an ière p a r le

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professeur M aciej Demel: comme devoir q u ’a chaque ê tre h um ain de no tre époque — sans différence d ’âge, de sexe n i a u tre s caractéristiq ues socio-dém ographiques — envers son pro p re organism e, devoir d ’e n tra în e ­ m en t systém atique. Les diverses form es de tourism e sont devenues a u ta n t de m oyens de récréatio n , de p ro p hy laxie et de réh ab ilitatio n p ar suite au chan gem en t du m ilieu de vie q u ’elles en tra în e n t. G râce à l ’accessibilité de certain es de ses form es, grâce à la possibilité d ’ad ap ter les itin éraires, les m oyens de tra n sp o rt, l ’e ffo rt physique exigé au x con­ ditions m atérielles et physiques de chacun, le tourism e est rap id em en t devenu une occupation de loisirs d ’une g ran d e p a rt de la société. Les études effectuées p ro u v en t que les catégories de la population qui ne p ra tiq u e n t pas le tourism e déclaren t le désir d ’y particip er aussi.

On a vu que le tourism e p e u t ê tre p ratiq u é p ar tout le m onde selon les possibilités m atérielles, les ap titu d es physiques et les techniques acqui­ ses. C ependant les conséquences du tourism e: celui de m asse, en groupes, organisé à l ’occasion de fêtes laïques ou celles de l ’Eglise, celui qui accom pagne les festivals cu ltu rels, les foires, celui qui résu lte de la concentration estivale et hivernale, n ’o n t pas to u jo u rs été profitables; il y eu t aussi des conséquences typiques de la c u ltu re de masse: une c e r­ taine facilité dans les program m es de visite, des im pressions su perficiel­ les, une influence négative, n éfaste m êm e, sur le m ilieu visité. Le to u ­ rism e est devenu un élém en t des loisirs de m asse où l’idée fon d am en ­ tale de recréatio n voulue a été rem placée p a r celle d ’am usem ent collectif. Il fu t donc nécessaire de com battre cette tendance, de d iriger la re c ré a ­ tion vers des form es plus am bitieuses, d ’enseigner le tourism e en tre a u tre s par l ’in term éd iaire de cadres d ’o rg an isateu rs form és en con­ naissance de cause.

P a r conséquent, vers la fin des années soixante dans les F acu ltés po ur enseignants d ’éducation physique fu t in tro d u ite la spécialisation „tourism e” . Ce fait m arq u e le déb u t de la deuxièm e étape dans l’é la ­ boration du profil de form ation de spécialistes en tourism e, selon un h o raire assez re s tre in t (180— 200 heures), dans le cad re d ’une fo rm a ­ tion générale d ’éducation physique. C ette form ation générale com prend depuis des années un ensem ble d ’enseignem ents bio-m édicaux, pédagogi­ ques, sportifs et m éthodologiques; seules les proportions ch an ­ gent.

Le nom bre d ’heures accordées pour la spécialisation „to u rism e” s’est révélé cependant insu ffisant pour contenir les enseignem ents que nous avons estim és indispensables pour la nouvelle profession de sp é­ cialiste en tourism e. De m êm e, le cadre général de ces études a p p a ­ raissait p e u conform e aux besoins à cause de la prépondérance de disciplines biologiques, de l ’absence de géographie, de la p a rt infim e

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accordée au x sciences hum aines et a u x problèm es culturels, de l ’ensei­ gnem ent in su ffisant en langues vivantes.

Un a u tre pas en a v a n t fu t fait l ’o u v e rtu re d ’une nouvelle direction d ’études spécialisées „ ré c réa tio n ”. Ces études s ’effectuaient selon une form u le spéciale à tem ps partiel, accessible pour ceux qui tra v a illa ie n t ou n ’h ab ita ie n t pas s u r place. C ette form ule connut un g rand succès auprès des m ilita n ts syndicaux, des services sociaux, des o rg anisateu rs sociaux de plus en plus so uv en t accédant au x postes rém u n é ré s qui se créaient dans leu rs organisations ou associations. Aussi bien la mise sur pied de la spécialisation „to u rism e” q u e l ’organisation des études en récréatio n précitées lesquelles o n t subsisté ju sq u ’à 1975, lorsque fu t créée la F a c u lté de tourism e et de récréatio n, av aien t apporté de nouvelles expériences qui fu re n t plus ta rd m ises à p ro fit au m om ent où il fa llu t élab o rer le pro g ram m e d ’une b ran ch e d ’é tu d e „to urism e” autonom e.

Les recherches et les discussions concernaient: — la term inologie (recréation, tourism e);

— la s tru c tu re des m atières fondam entales pour la form ation to u ­ ristiq u e;

— le profil professionnel du titu la ire du diplôm e de fin d ’études, ses connaissances théo riques et ses ap titu d e s p ratiq u es conçues de façon à ne pas doubler les m odèles adoptés pour cette spécialisation p ar les a u tre s écoles supérieures;

— les postes de tra v a il créés dans les services to u ristiqu es et les qualifications professionnelles appropriées;

— la p lu rid iscip lin arité du tourism e dans ses aspects cultu rels, d i­ d actiqu es et dans sa p ratiq u e;

— les relation s directes du tourism e avec les sports, la cu ltu re, la protection de la san té et de l’environnem ent, l ’in stru ctio n publique etc.;

— la p a le tte de capacités d ’un diplôm é d ’é tu d es en tourism e com ­ parée au x brev ets professionnels trè s développés, accordés en ex clu­ sivité p a r certaines org an isation s et associations sociales auxquelles l ’E ta t a concédé ce droit;

— le systèm e de re c ru te m e n t et d ’appréciation de capacités des candidats aux études en tourism e.

T outes ces questions on fait l ’o b jet d e débats, de sém inaires, d ’étu des com m andées par le m inistère, de docum ents et de pétitions. A près 1970 la politique incohérente du Com ité G én éral de la C u ltu re P h y siqu e et du T ourism e i(GKKFiT) en ce qui concerne la form ation des p ro fe s­ sionnels du tourism e dans les h au tes écoles d ’éducation physique, de m êm e q u ’une opposition considérable au sein m êm e de n o tre école o n t fait q u ’aucun des problèm es m entionnés n ’a été e n tièrem en t résolu,

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m êm e après la création des F acu ltés de tourism e et de récréatio n aux Académ ies de P oznań (1975) et de Cracovie (1976). C ertains problèm es a tte n d e n t to u jours des décisions que la réfo rm e re n d ra sans doute in u ­ tiles, car la vie décidera alors elle-m êm e du cours des choses.

On p e u t d istingu er trois périodes d ’évolution des program m es d ’en ­ seignem ent dans les F acu ltés de tourism e et de récréatio n des A ca­ dém ies d ’éducation physique:

1) depuis la fondation des F acu ltés ju sq u ’à 1981, 2) la période 1981— 1987,

3) l ’époque actuelle qui est celle de l ’élaboration de nouveaux plans et program m es d ’é tu d e conform es aux directives du GK K FiT.

En ann exe à cet article il y a trois plans d ’étude. Le prem ier (I) fu t réalisé par toutes les F acultés de tourism e et de récréatio n d u ran t les prem ières années de leu r existence. Le su iv an t (II) fu t adopté en 1981, pour Cracovie seulem ent, et d em eure encore actuel. Enfin le d ern ier (III) c’est le nouv eau p ro je t (octobre 1987) déposé par la F a ­ culté de tourism e et de récréatio n de l ’A cadém ie cracovienne au G K K FiT. Les différences e n tre ces program m es concernent su rto u t les proportions e n tre le tourism e et la récréatio n comme m atières d ’ensei­ gnem ent.

D ans la p rem ière période, à côté des enseignem ents com m uns de disciplines ,,de base” suivis p ar tous les élèves des deux prem ières années, la plan p révoyait la création de trois spécialités: a) l ’o rg an isa­ tion et l ’en cadrem en t des flu x touristiques, b) l’hôtellerie, c) la ré c ré a ­ tion. L a conception d ’ensem ble élaborée avec une larg e p articipation du G K K FiT envisageait la form ation d ’un bon org an isateu r profession­ nel (ceci concernait aussi la récréation!).

En réa lité cep en d an t des voix critiques se sont v ite fait entendre, de ceux q ui vo ulaien t form er en p rem ier lieu des m oniteurs de ré c ré a ­ tion physique. Ceci provoqua une g ran de divergence d ’opinions q u an t au rôle des disciplines enseignées en com m un a v a n t la période de sp é­ cialisation. Les p artisan s de la form ation des m oniteurs d ’éducation p hysique réclam aien t une prép aratio n bio-m édicale (comme dans les F acultés d ’éducation physique) et la liquidation de l’hôtellerie — ce qui ne m anq u a pas de se produire. Les spécialistes de la form ation tou ristiq u e o p taie n t pour le changem ent de proportions et l’introduction de certain s élém ents de sciences sociales et économ iques.

Les années q u a tre -v in g t ont apporté la possibilité d ’o p érer les c h a n ­ gem ents voulus; a y a n t reçu le d ro it d ’élaborer leu rs propres p ro g ra m ­ mes, les facultés en question ont crée d eux directions d ’é tu d es in d é ­ pendantes: „to urism e” et „ ré c réa tio n ” — chacune su iv an t du déb ut ju sq u ’à la fin son pro p re program m e. Il a p p a ru t en su ite que ce

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chan-gem ent n ’a pas ap po rté les ré su lta ts escom ptés, car les chaires et les groupes d ’é tu d es qui a ssu ra ie n t l ’enseignem ent des disciplines fo n da­ m entales n é ta ien t pas capables de différencier les program m es des cours respectifs afin de les a d a p te r au x d ifférents profils de profession spécifiques à la récréatio n et au tourism e.

S u rg it donc un dilem m e: fau t-il coûte que coûte m ain ten ir la dis­ position ex istan te, ou bien conform ém ent à la loi su r l’enseignem ent su p é rie u r (six „ tra v aille u rs scientifiques in d ép e n d a n ts”, c’e st-à-d ire p ro ­ fesseurs ou m aîtres de conférences, so nt exigés po ur que puisse exister une direction d études dan s le cadre d ’une faculté) ré ta b lir un tronc d étu d es com m un pour le tourism e et la récréatio n avec les spécialisa­ tions nécessaires, en a tte n d a n t l ’accession aux grades académ iques su ­ p é rie u rs d ’un certain nom bre de jeunes scientifiques attachés à la F a ­ culté. Tous les tra v a ille u rs scientifiques indépendants em ployés à plein tem ps à la F acu lté de tourism e et de récréation de l ’A cadém ie craco- vienne fu re n t d avis qu il fau t rev e n ir à la conception d ’origine, revu e et corrigée; le p ro je t (III) an n ex é en tém oigne.

In d épen dam m ent des difficultés relativ es à la form ation de spécia­ listes en tourism e dans les h au tes écoles d ’éducation physique, le groupe de personnes fidèles à cette p ro b lém atiq ue estim e to u t le tem ps q u ’il est nécessaire de form er un org an isateu r-h o m m e d ’action qui p rése n ­ te ra it à la fois les qualifications p ratiq u es et la prép aratio n théorique p our occuper des postes de travail:

— dans les b u rea u x et les en trep rises de tourism e;

dans d ifférentes unités sociales vouées au tourism e et à l ’o rgani­ sation du repos;

— dans des en trep rises hôtelières;

—■ dans des unités d ’ad m in istratio n cen trale e t régionale chargées de la gestion du tourism e et du repos.

L élabo ratio n du plan d ’é tu d e fu t étayée su r le principe que toutes les m atières g énérales d ev raien t ê tre choisies de façon à inspirer par leu rs contenus les fu tu rs diplôm és, à m o tiv er leu r com portem ent, à leu r fo u rn ir des argum ents, des idées — to u t cela au service de l ’org an isa­ tion du tourism e. D eux groupes de m atières d ev aien t se rv ir cet objectif. P rem ièrem en t, les cours et les tra v a u x dirigés consacrés à certain s p ro ­ blèm es de développem ent biologique de l ’hom m e, d ’écologie, d ’hygiène, de gérontologie, de pédagogie, de psychiatrie. A l ’in té rie u r de ce groupe il est ex trêm em en t im p o rta n t de trie r les contenus essentiels e t de les ju x tap o ser de façon q u ’ils ne se re p è te n t pas, m ais q u ’ils co n stitu ent ensem ble un abrégé des connaissances les p lu s actu elles su r l ’hom m e

es dangers q u ’il encourt et les possibilités q u ’il a de les év iter. Le second groupe de m atières générales ce sont celles dont les con­

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tenus p eu v en t fo u rn ir des idées relatives aux form es de contact to u ri­ stiques avec des m ilieux n a tu re ls et cu ltu rels; elles serv en t de m atériau pour con stru ire le th é â tre de la visite tou ristique, aiguisent la sensibi­ lité pro p re et p e rm e tte n t d ’influencer la sensibilité des autres, tra d u ite p ar la réaction à la lum ière, au son, à l’im age dans la n a tu re , au p a y ­ sage façonné par l’énergie de la n a tu re et des hom m es. Je com pte parm i ces m atières s u rto u t les descriptions des paysages, la connaissance du patrim oine national, l ’histoire de la c u ltu re et de la science.

L a form ation dans la spécialité „to urism e” se partag e e n tre la théorie et la pratiq u e. D ans la p a rtie théorique on utilise les connaissances actuelles des phénom ènes in h éren ts au tourism e au accom pagnant c e ­ lui-ci. Le systèm e de form ation p ratiq u e est é tay é sur les connaissances dispensées lors des cours et des tra v a u x dirigés, de m êm e que sur l ’expérience personnelle acquise p en d an t les stages pratiques.

A to u te époque de création ou de révision des plans nous avons m is l’accent su r la nécessité d ’un app rentissage sérieu x de deux la n ­ gues vivantes.

Du caractère de l’école à laq u elle a p p a rtie n t la F acu lté il a tout n a tu re lle m e n t résu lté q u ’une p a rtie im p o rtan te de l ’h o raire d ’é tu d e fu t consacrée à l ’e n tra în e m en t sp ortif des élèves; je rev ie n d ra i à cette question p ar la suite.

Je voudrais m a in te n a n t dire quelques m ots sur le rôle que jou aien t ou jou en t les m atières p articu lières ou leu rs blocs dans la form ation de spécialistes en tourism e, to u t en su g g éran t les changem ents so uh ai­ tables (le bloc de sciences socio-politiques excepté).

L e g r o u p e d e m a t i è r e s s o c i o - p é d a g o g i q u e s est consitué par la psychologie, la pédagogie, et la sociologie. Dans les p ro ­ gram m es (R am ow e plany... 1980) de psychologie enseignée ju sq u ’à p ré ­ sen t dans n o tre section l ’accent é ta it m is su r les problèm es de trav ail et de repos; la pédagogie com prenait les questions générales, l’éducation sportive, la didactique, les m éthodes p articu lières d ’enseignem ent (de sports?), l ’andragogie. La sociologie ten a it com pte su rto u t des questions de tem ps libre et de loisirs.

En é tu d ia n t ces program m es nous avons constaté q u ’ils ne serv ent pas précisém ent l ’o b jectif principal; les a u te u rs particu liers tâto n n en t en ch e rc h a n t sans trop de succès des contenus qui seraien t les plus proches du tourism e. Ce m anque de cohérence, ce d é fa u t d ’idée-m aî- tresse dans les disciplines hum aines enseignées, ce choix assez som ­ m aire de contenus liés au tourism e, nous les avons rem a rq u é s depuis le début. C ette situation est due au trop faible ap port des pédagogues d ’éducation p hysique (la situation est m eilleure dan s les universités) à l’élaboration des enseignem ents to u ristiq ues et aux recherches qui s ’y

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ra tta c h e n t; le faible in té rê t accordé p a r les p rin cipaux centres de pensée pédagogique (par ex. l ’Ecole su p érieu re de pédagogie) au tourism e de tous les groupes sociaux y est aussi pour quelque chose. On d e v ra it organ iser pério diq uem ent des discussions e n tre enseignants en m atières générales et ceux qui s ’occupent de m atières spécifiques au secteur „tou rism e” .

L a psychologie et la pédagogie d ev raien t serv ir la mise en p ratiq u e des contenus enseignés, aider à év aluer convenablem ent les phéno ­ m ènes, comm e par exem ple celui du tourism e in tern atio n al, à procéder aux in te rp ré ta tio n s psycho-sociales de l’essence d u tourism e, à p révoir les changem ents de m en talité consécutives au p atronage des en trep rises de tra v a il qui o ffre n t aux gens des m odèles to u t p rêts de loisirs et de repos. Nous attend o ns de savoir e n tre a u tre s quels dangers la m assifi­ cation du tourism e e n tra în e -t-e lle pour le psychism e de l ’hom m e, q u e l­ les sont les b a rrière s qui font obstacle à la p ratiq u e du tourism e.

Des su jets tels que la connaissance du patrim oine national ou la rev u e historiq ue des expressions de la c u ltu re to u ristiq u e peu v en t avec su c­ cès com pléter le bloc des m atières pédagogiques. L ’augm entation a u to ­ m atiq u e du no m b re d ’h eu res consacrées a u x m atières dites psycholo- gico-pédagogiques — comm e le v o u d raien t le G K K F iT et le Conseil de l ’E nseignem ent S u p é rie u r de C u ltu re P h y sique — se ra it en c o n tra ­ diction avec le besoin d ’une form ation intensive, économ ique et effi­ cace. On p eu t a jo u te r que la sociologie qui fait p a rtie du bloc des scien­ ces socio-politiques ne d e v ra it pas o m ettre les questions liées d ire c te ­ m e n t au phénom ène touristiq u e, m ais les expliquer et les in te rp ré te r sur une toile de fond des besoins sociaux considérés de façon globale.

L e b l o c d e s c i e n c e s n a t u r e l l e s (bio-médicales). De m êm e que pour le groupe précédent, la p a rt des sciences bio-m édicales dans la form ation de cadres pour le tourism e doit son im portance au c a ­ ra c tè re g énéral de l ’école, qui est celle d ’éducation physique. C ette form ation s ’étaye su r une connaissance approfondie de l’hom m e, de son développem ent individuel et philogénétique, et de celles p arm i les caractéristiq ues de son en v iron n em en t qui o n t un im pact direct su r son é ta t biologique, ses aptitudes, sa santé, sa résistan ce aux m aladies, etc. D ans les p rem ières versions du plan d ’é tu d es en tourism e fig u raien t cinq m atières: le développem ent biologique de l ’hom m e, la physiologie du tra v a il et du repos, l ’écologie et la sociologie, l ’alim en tation des touristes et ses principes, et l ’hygiène.

C ertains contenus é ta ie n t stric te m e n t conform es au x exigences du profil de cette spécialisation (l’alim en tatio n des touristes), d ’a u tre s d é ­ passaient de loin la possibilité de réception de l ’é tu d ia n t (lim itée e n tre au tre s p ar le nom bre d ’heu res de cours) et e n tra ie n t dans les détails

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bien au-delà des besoins réels, comme p ar exem ple la physiologie. En 1981 la F acu lté de tourism e et de recréatio n de l’Académ ie cracovicnne a ré d u it sensiblem ent le nom bre d ’h eu res destinées à ce groupe de m atières et in tro d u it de nouvelles dénom inations pour trois su jets de base adoptés (cf. le plan annexé). Nous somm es p artis du principe que si l ’éducation physique doit véhiculer de vastes contenus p a ra-m éd i­ caux p ré p a ra n t à l ’enseignem ent p ratiqu e, dans les professions to u ri­ stiques le tra v a il d irect avec les gens occupe m oins de place, et s ’il a lieu, il a p lu tô t un caractère d ’action générale; p ar conséquent les cours bio-m édicaux d e v ra ie n t ê tre stricte m e n t déterm in és et réduits.

Un g ran d m érite rev ie n t ici au professeur Z. D r o z d o w s k i (1986), lequel a accom pli un trè s im p o rta n t tra v a il dans le b u t de d éterm iner les contenus en m atière d ’anthropologie d ev an t faire p a rtie des connais­ sances d ’un spécialiste en tourism e. Z. Drozdow ski estim e à ju ste titre que l ’activité touristique, concern an t les aspects bio-sociaux de l’o rg a ­ nism e hum ain, dem ande à ê tre ratio n n elle; l ’o rg anisateu r du tourism e a égalem ent besoin d ’inform ations su r les divers m ilieux hum ains réc e p ­ teurs. Il fau t re g re tte r que les re p ré se n ta n ts d 'a u tre s disciplines bio- -m édicales (su rto u t de la physiologie et de l ’hygiène) aien t si peu p a r ti­ cipé non seulem en t au processus didactique, m ais aussi au x études de phénom ènes liés aux m igrations (p. ex. intercontinentales), et com pris dans le cycle: voyage — tourism e — san té — hygiène — alim entatio n — dangers — conséquences, etc.

D ans l ’ensem ble, le choix des contenus écologiques a p p a ra ît comme le m ieux réussi, car d ’une p a rt il reflète les progrès de la science accom ­ plis dans ce dom aine, et de l ’a u tre il fo u rn it au fu tu r org an isateu r du tourism e les connaissances biologiques de base sur le m ilieu n a tu re l et la dépendance de l ’hom m e v is-à-vis des lois écologiques. Cet enseigne­ m en t m et l ’accent sur les c a ractéristiq u es n a tu re lle s de la Pologne et sur les principes de protection de la n a tu re . L ’hygiène et l’alim entation fournissen t des in form ations concernant l ’influence du m ilieu su r l’o rg a ­ nism e, les types de m ilieu n a tu re l indiqués selon l ’é ta t de santé, l ’h y ­ giène des établissem en ts de tourism e et de recréation , l ’al:m entatio n ration nelle, les besoins en énergie, l ’hygiène m entale. Ces m atières, bien enseignées, co n trib u en t à la bonne q u alité des services touristiques.

P our résu m er les rem arq u es concernant le bloc de sciences n a tu r e l­ les, il fau t rele v er que les efforts des disciplines particu lières destinés à perfectio nn er les program m es d ’é tu d es tou ristiqu es dans les A cadé­ mies d ’éducation p hysique sont trè s inégaux. P a r conséquent l ’a rrê té du p résid ent du G K K FiT im posant des propo rtion s déterm inées d ’heures de cours pour les m atières particu lières, selon lequel 15% du tem ps d ’études rev ie n d ra it aux sciences n atu relles, doit ê tre considéré comme

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p u rem e n t u tilita ire pour les enseignants eux-m êm es. C ette situ ation nous a obligés à proposer l ’incorporation de la géographie, que nous considérions comme su je t de spécialisation, dans le bloc de sciences n a ­ tu relles. Le bloc en question exige de tem ps en tem ps une analyse d ’ensem ble, car nous observons dans certains cas la tendance à ré p é te r les m êm es contenus dans le cadre de différentes m atières d ’enseignem ent.

L e s d i s c i p l i n e s d e s p é c i a l i s a t i o n so nt toutes r e la ti­ v em en t nouvelles; leu rs dénom inations, p e u t-ê tre pas to u jo urs à juste raison, sont celles de disciplines classiques au x quelles on a ajo u té un ad jectif „ to u ristiq u e ”, p ar exem ple: organisation et gestion de tourism e, d ro it du tourism e, économie du tourism e, en trep rise touristiq ue, etc. Comme je l’ai déjà dit, on d ev rait considérer une p a rtie de ces discipli­ nes comme base théoriq u e pour l ’enseignem ent de services touristiques. Ces disciplines de spécialisation se p rése n ten t aussi sous form e de p lu ­ sieurs blocs dont des contenus d ev raien t faire l ’o b jet d ’analyses d ’en ­ sem ble et ê tre p ro gram m és comm e com plém entaires.

On distingue ainsi le bloc économ ico-o r g a n is a tio n a l où en tren t: l’économie du tourism e, l ’organisation et la gestion de tourism e, le d roit du tourism e, l ’en trep rise touristiqu e. D ans le second bloc de disciplines, qui d e v ra it fonctionner su r les m êm es principes, e n tre n t: la géographie du tourism e, l’am énag em en t touristiq u e, la connaissance du patrim oine, l’histoire de la c u ltu re et de l ’a rt. Ces deux groupes sont liés par des contenus m éthodologico-techniques tels que: les services touristiques, l ’inform ation et l ’inform atique, la technique de tra v a il du guide et de l ’accom pagnateur de groupes, un cours fac u lta tif optionnel de spéciali­ sation (hôtellerie) — et des contenus théoretico-m éthodologiques: théorie du tourism e, m éthodes d ’analyse statistiq u e, cours d ’introduction, sém i­ n aires et prosém inadres.

Il m ’est im possible de p rése n ter ici les contenus de ces enseig ne­ m ents et les caractériser en détail. J ’estim e que l ’on p e u t p a rle r de deux aspects lo rsq u ’il s ’agit de défin ir les besoins de form ation appropriés pour les adeptes du tourism e: p rem ièrem en t, les spécialités se sont d é­ veloppées à un tel point que l ’on p e u t les d étach er des disciplines tra d i­ tionnelles. On p e u t aussi considérer cette question sous l ’aspect de la p én u rie de recherches, de publications, et s u rto u t de synthèses scientifi­ ques qui au ra ien t pu servir de m atiè re pou r les m anuels académ iques. G iâce aux deux facultés de tourism e existantes on note dans ce dom aine quelques progrès, à savoir des tex tes d ’enseignem ent pour p lu sieurs m a ­ tières de spécialisation (droit du tourism e, connaissance du patrim oine п а - t. onal, inform ation, services touristiques, économ ie du tourism e, et su rto u t géographie et écologie) et certains tex tes d ’appoint pour les tra v a u x p r a ti­ ques. Ceci est p o u rta n t bien insu ffisan t: il n ’y a point de références à la

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litté ra tu re m ondiale, tous ces m a té ria u x v ieillissent vite p a r suite à l ’e s­ sor dynam ique du phénom ène to u ristiq u e — ils d e v ra ien t par conséquent ê tre rap id em en t actualisés. Les rech erches relativ es au tourism e prévues dans le P rog ram m e cen tral de rech erches fondam entales pour les années 1986— 1990 d ev raien t p e rm e ttre d ’in v en to rie r de nou veau x faits, relations et interdépendances, et d ’o p érer des sy nthèses qui en rich iraien t les con­ ten us de l’enseignem ent dispensé dans les écoles sup érieu res en question. A u jo u rd ’h u i déjà a p p a ra ît la nécessité de faire de l ’h istoire du to u ­ rism e une discipline autonom e, de créer des cours de m éthodique du tourism e pour handicapés, d ’organisation et de program m ation du to u ­ rism e social, enfantin et juvénile, d ’organisation hôtelière etc. R este o uvert le problèm e du tourism e in te rn atio n a l qui dem ande des cadres sach ant organiser la réception des v isiteu rs é tra n g e rs ainsi que program m er, desservir et organiser les voyages vers l ’é tra n g er.

Sans développer ce su jet, je m e b o rn erai à conclure q u ’en ce qui concerne le tourism e in te rn atio n a l actif et passif nous attend on s to u ­ jours l ’opinion des économ istes s u r la ren ta b ilité de ce tourism e pour n o tre pays, su r n o tre bilan en devises, su r le drain age du m arché par le dollar du m arché noir, su r le rôle des com ptes bancaires individuels en devises etc. Les cadres les m ieux p rép arés sont d ’ailleu rs incapables de s’opposer à la tran sfo rm atio n sy stém atiq u e de l ’échange touristiqu e in te rn atio n a l en échange com m ercial.

Une nouvelle période s ’o u v re d e v an t les facultés de tourism e, où il fa u d ra it réaliser une m eilleu re in tég ratio n de contenus enseignés dans les blocs p articu liers, au g m en ter l ’intensité du processus d ’ensei­ gnem ent et é p a rg n e r du tem ps, c ré e r des spécialisations a u x m atières optionnelles.

La m odernisation et l ’am élioration du processus didactique dans les écoles su p érieu res dem ande l ’intro d u ctio n d ’un systèm e d ’o rd in ateu rs; il f a u t ég ale m e n t in tro d u ire la théorie et la p ratiq u e de l ’hôtellerie, le m arketing, un exam en d ’E ta t o bligatoire de la connaissance d ’au m oins une langue vivante.

L ’Académ ie cracovienne d ’éducation physique sera à m êm e de ré a ­ liser ces projets: on y organise un c e n tre d ’inform atique, on p rép are des enseignem ents en m atière d ’hôtellerie avec des tra v a u x p ratiq u es dans un hôtel qui sera attach é a l ’école; une chaire de m ark eting va ê tre fondée. La F acu lté de tourism e s ’est assurée la collaboration de d eux professeurs enseignants q u i en tre p re n d ro n t une activité d ’enseigne­ m e n t et de recherch e dans les sections m entionnées. Le perfectio n n e­ m ent du plan et des program m es d ’étu d e dem andera le tra n s fe rt d ’une p a rtie d e fonds: les cam ps sportifs très o n éreu x dev ro nt céder de la place à certaines form es d ’éducation to u ristiq ue indispensables. Cela de­

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m and era aussi le chan g em en t du systèm e de re c ru te m e n t à l ’Académie qui ne m e ttra it plus l’accent su r les capacités sportives des candidats. Ce n ’é ta ie n t que certain s p arm i les p ro jets envisagés qui tra d u ise n t la com préhension des besoins de l ’heure, des nouvelles circonstances dans lesquelles nous devons p ré p a re r des spécialistes en tourism e.

A n n e x e I P l a n d ' e t u d e s d e l i c e n c e (8 s e m e s t r e s ) d a n s l e s f a c u l t é s d e t o u r i s m e et d e r é c r é a t i o n d e s a c a d é m i e s d ' é d u c a t i o n p h y s i q u e à C r a c o v i e , P o z n a ń , e t W r o c ł a w (1976) H e u r e s M a t i è r e s t o t a l c o u r s t r a v a u x d i r ig é s 1 2 3 4 S o c i o - p o l i t i q u e s E c o n o m i e p o l i t i q u e 60 30 30 F o n d e m e n t s d e s c i e n c e s p o l i t i q u e s 90 45 45 F o n d e m e n t s d e p h i l o s o p h i e et s o c i o l o g i e m a r x i s t e --l é n i n i s t e 122 61 61 P r o b l è m e s c h o is is d e p h i l o s o p h i e o u s o c i o lo g i e 56 28 28 328 164 164 F o n d a m e n t a l e s E v o l u t i o n b i o l o g i q u e d e l 'h o m m e 45 15 30 P h y s i o l o g i e d u t r a v a i l e t d u r e p o s 75 30 45 H y g i è n e 74 44 30 M é t h o d e s d ' a n a l y s e s t a t i s t i q u e 103 50 53 O r g a n i s a t i o n e t g e s t i o n 87 29 58 E c o lo g ie , s o z o l o g ie ; b i o m é t é o r o l c g i e d u t o u r i s m e 93 41 52 P s y c h o l o g i e e t s o c i o l o g i e d u t r a v a i l e t d u r e p o s 60 30 30 P é d a g o g i e s o c i a l e et a n d r a g o g i e 42 14 28 E t n o g r a p h i e , h i s t o i r e d e l 'a r t 58 29 29 637 282 355 S p é c if i q u e s à la d i r e c t i o n P r o p é d e u t i q u e d e t o u r i s m e et d e r é c r é a t i o n d ' é t u d o s 60 30 30 E c o n o m i e d u t o u r i s m e 75 39 36 G é o g r a p h i e d u t o u r i s m e 105 60 45 I n f o r m a t i o n e t p r o m o t i o n t o u r i s t i q u e 56 28 28 D r o i t du t o u r i s m e e t j u r i d i c t i o n s o c i a l e 60 30 30 T r a n s p o r t s t o u r i s t i q u e s 45 15 30 A m é n a g e m e n t t o u r i s t i q u e et r é c r é a t i f 71 28 43 S é m i n a i r e d e l ic e n c e 101 — 101 C o u r s m o n o g r a p h i q u e 15 15 — E d u c a t i o n p h y s i q u e 256 — 256

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A n n e x e I (suite) 1 2 3 4 E n s e i g n e m e n t m i l i t a i r e 246 — , 246 1090 245 845 L a n g u e r u s s e 210 — 210 L a n g u e o c c i d e n t a l e 426 — 426 636 636 M a t i è r e s d e s p é c i a l i s a t i o n 569 — 569 T o t a l d ' h e u r e s d ' é t u d e 3260 691 2569 T r a v a u x d e t e r r a i n (2 sem.) E c o l o g i e , s o z o l o g ie , b i o m é t o o r o l o g i e d u t o u r is m e ; e t h n o g r a p h i e , h i s t o i r e d e l 'a r t; h y g i è n e e t p r o p h y l a x i e C a m p s D 'é t é — 3 s e m a i n e s ; d ' h i v e r — 3 s e m a i n e s ( + 1 s e m a i n e é v e n t u e l l e e n t r e d e u x s e m e s t r e s ) ; i t i n é r a n t — 2 s e m a i n e s S t a g e s p r a ti q u e s « D ' o r g a n i s a t i o n d e m a n i f e s t a t i o n s t o u r i s t i q u e s e t r é c r é a t i v e s — a p r è s le c a m p itin é -r a n t (4 s e m a i n e s ) ; d e d i p l ô m e — 4 s e m a i n e s ; à l ' é t r a n g e r — 2 s e m a i n e s a Un stag e p ra tiq u e o u v rie r de 4 sem ain es e st o b lig a to ire p o u r tous les é tu d ia n ts a v a n t le com m encem ent de la p re m iè re a n n ée d ’étu d e s.

A n n e x e 11 P l a n d ' é t u d e d e la d i r e c t i o n „ T o u r i s m e " F a c u l t é d e t o u r i s m e e t d e r é c r é a t i o n A c a d é m i e d 'E d u c a t i o n P h y s i q u e H e u r e s M a t i è r e s t r a v a u x to t a l c o u r s d i r ig é s 1 2 3 4 E n s e i g n e m e n t d ' i n t r o d u c t i o n 15 — 15 15 — 15 S o c i o lo g i e g é n é r a l e 60 30 30 P h i l o s o p h i e 56 28 28 E c o n o m i e p o l i t i q u e 90 26 64 T h é o r i e d e la p o l i t i q u e 83 35 48 C o u r s o p t i o n n e l 0 33 33 322 152 170 P s y c h o l o g i e 60 30 30 P é d a g o g i e 56 28 28 116 58 58 E l é m e n t s d e b i o lo g i e d e l ' h o m m e 1' 45 15 30 E c o l o g i e 78 26 52

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A n n e x e II (suite) H y g i è n e e t a l i m e n t a t i o n e n t o u r i s m e T h é o r i e d u t o u r i s m e 0 M é t h o d e s d ' a n a l y s e s t a t i s t i q u e G é o g r a p h i e d e t o u r i s m e H i s t o i r e d e la c u l t u r e e t d e l ' a r t O r g a n i s a l i o n d u t o u r i s m e D r o i t d u t o u r i s m e C o n n a i s s a n c e d u p a t r i m o i n e A c c u e i l t o u r i s t i q u e et s e r v i c e s E c o n o m i e d u t o u r i s m e E n t r e p r i s e t o u r i s t i q u e P r o b l è m e s d e t o u r i s m e a u c h o ix '' A m é n a g e m e n t t o u r i s t i q u e I n f o r m a t i o n t o u r i s t i q u e P r o s é m i n a i r e S é m i n a i r e d e l ic e n c e L a n g u e é t r a n g è r e J L a n g u e é t r a n g è r e il F o r m e s d e r é c r é a t i o n : G y m n a s t i q u e e t e x e r c i c e s e n m u s i q u e J e u x s p o r t i l s et r é c r é a t i f s A t h l é t i s m e R é c r é a t i o n a q u a t i q u e R é c r é a t i o n d ' h i v e r i n s t r u c t i o n m il i ta i r e , d é l e n s e c iv i l e h o m m e s f e m m e s I o t a l h e u r e s h o m m e s f e m m e s 44 22 22 167 63 104 87 58 29 72 29 43 129 58 71 98 42 56 104 52 52 50 26 24 46 23 23 96 47 49 65 26 39 66 22 44 22 22 — 75 36 39 42 14 28 952 455 497 38 — 38 85 — 85 123 — 123 489 — 489 235 — 235 724 724 106 . . 106 192 — 192 70 — 70 58 — 58 39 — 39 465 — 465 180 _ 180 150 — 150 3 064 728 2 336 3 034 728 2 306 C a m p s L a m p d é t é l ix e — u e s p o r l s a q u a t i q u e s , a p r è s le 2e s e m e s t r e , 21 j o u r s C a m p d ’h i v e r l ix e — d e s p o i t s d 'h i v e r , a u c o u r s d u 4L' s e m e s t r e , 14 j o u r s C a in p i t i n é r a n t d ' é t é — d e c o n n a i s s a n c e d u p a t r i m o i n e , a p r è s les e x a m e n s d u 4* s e m e s t r e , 14 j o u r s C a m p i t i n é r a n t d ' é t é a p r è s les e x a m e n s d u 6e s e m e s t r e , 14 j o u r s

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A nnexe II (suite) S t a g e s p r a t i q u e s D ' o r g a n i s a t i o n et d e p r o g r a m m a t i o n , a p r è s l e s e x a m e n s d u 4e s e m e s t r e , 4 s e m a i n e s . C e s t a g e p e u t ê t r e e f f e c t u é e n t i è r e m e n t o u p a r t i e l l e m e n t d u r a n t l e s s a m e d i s e t les d i m a n c h e s e n o r g a n i s a n t d e s o c c u p a t i o n s p o u r l e s é c o l i e r s P r o f e s s i o n n e l I — 4 s e m a i n e s d u r a n t l e 5e s e m e s t r e P r o f e s s i o n n e l II — 4 s e m a i n e s d u r a n t l e 7 e s e m e s t r e D e lic e n c e , a c h e v é a v a n t l e 7e s e m e s t r e , 4 s e m a i n e s a v a n t le c o m m e n c e m e n t d e s c o u r s Les c h a n g e m e n t s d e d é l a i s s o n t a d m i s p o u r l e s s t a g e s d e l i c e n c e et p r o f e s s i o n n e l II T r a v a u x d e t e r r a i n d u r a n t le s e m e s t r e G é o g r a p h i e d u t o u r i s m e , 1 s e m a i n e H i s t o i r e d e l a c u l t u r e et d e l 'a r t, 1 s e m a i n e E c o lo g ie , 1 s e m a i n e E x c u r s i o n d ' e n s e i g n e m e n t p r a t i q u e p o u r l ' a c q u i s i t i o n d u b r e v e t d ' o r g a n i s a t e u r de to u r i s m e , 2 j o u r s A c c u e i l t o u r i s t i q u e e t s e r v i c e s , 1 s e m a i n e C i r c u i t t o u r i s t i q u e , 1 s e m a i n e A m é n a g e m e n t t o u r i s t i q u e , 1 s e m a i n e B r e v e t s p r o f e s s i o n n e l s o b t e n u s d u r a n t la p é r i o d e d ' é t u d e s O r g a n i s a t e u r d e t o u r i s m e — l e s c o n n a i s s a n c e s n é c e s s a i r e s s o n t a c q u i s e s d u r a n t les c o u r s d e s 1er — 4e s e m e s t r e s et p e n d a n t u n e e x c u r s i o n s p é c i a l e d e d e u x j o u r s ( s a m e d i — d i m a n c h e ) a u 4e s e m e s t r e U n e x a m e n d ' a p t i t u d e d o i t ê t r e p a s s é d e v a n t u n e c o m m i s s i o n r e c r u t é e p o u r l ' a c a d é m i e p a r l ’i n s t i t u t d e T o u r is m e , a u t o ­ r i s é p a r la D i r e c t io n g é n é r a l e d e la S o c i é t é P o l o n a i s e d e T o u r i s m e I n f o r m a t e u r d e t o u r i s m e — les c o n n a i s s a n c e s n é c e s s a i r e s s o n t a c q u i s e s g r â c e a u x e n s e i g n e m e n t s s p é c i f i q u e s à la b r a n c h e „ t o u r i s m e " , s u r t o u t l a m a t i è r e „ i n f o r m a t i o n t o u r i s t i q u e " e n s e i g n e e d u r a n t l e 8° s e m e s t r e . L 'e x a m e n e s t p a s s é d e v a n t u n e c o m ­ m is s i o n r e c r u t é e p a r l ’i n s t i t u t d e T o u r i s m e d e p a r l ' a u t o r i s a t i o n d u C o m i t é G é n é ­ r a l d e T o u r i s m e L es d e u x b r e v e t s d o i v e n t ê t r e o b l i g a t o i r e m e n t o b t e n u s p a r t o u s les é t u d i a n t s T r a v a u x f a c u l t a t i f s D e s t r a v a u x f a c u l t a t i f s s o n t p r é v u s ( p é d a g o g i e , a p t i t u d e s p r a t i q u e s , b r e v e t d e g u i d e ou a c c o m p a g n a t e u r d e g r o u p e s etc.) a u x q u e l s o n p e u t d e s t i n e r 100—150 h e u r e s d e c o u r s e t t r a v a u x d i r ig é s , p e n d a n t la d e u x i è m e e t t r o i s i è m e a n n é e d ' e t u d e s i l e u r r é p a r t i t i o n e s t d e 3— 6 h e u r e s p a r s e m a i n e . L e u r p r o g r a m m e e s t c h a q u e fo is é t a b l i p a r l e C o n s e i l d e F a c u l t é e t a p p r o u v é p a r le r e c t e u r .

a Un cours au choix; les é tu d ia n ts au d é b u t du 7e sem estre c h isissen t u ne ou deu x p arm i Iea m a tiè re s su iv an tes:

— pro b lèm es é co n o m iq u es choisis, — pro b lèm es fo n d am en tau x de l'é th iq u e , — fondem ents de la th é o rie d es relig io n s, — pro b lèm es choisis de so ciologie de la cu ltu re, — pro b lèm es ch o isis de ph ilo so p h ie de l ’art, — h isto ire p o litiq u e de la P ologne d epuis 1918,

— re la tio n s in te rn a tio n a le s con tem p o rain es, p ro b lèm es choisis.

Selon le n om bre d 'o p tio n s to ta lis é e s le ou les co u rs dans u ne ou deu x m a tiè re s ch o isies sont d isp en sé s p ar s u ite à u n e d écisio n du doyen. La p ré se n c e au cours e st o b lig a to ire , san s exam en to u te fois.

b A vec des é lé m e n ts d 'a n a to m ie , с A vec l'h isto ire du tourism e.

d Le program m e e st fix é chaque a n n ée p a r le C onseil de la F a c u lté , à la d em ande du d o yen, sous form e d 'u n c o u rs (ou cy cle de cours) ou d eux. La p ré s e n c e au co u rs e st o b lig a to ire . Pas d 'ex am en ,

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A n n e x e III P r o j e t d e p l a n d ' é t u d e s p o u r la d i r e c t i o n „ t o u r i s m e e t r é c r é a t i o n ” A c a d é m i e d ’E d u c a t i c n P h y s i q u e d e C r a c o v i e (1987) M a t i è r e s t o t a l H e u r e s c o u r s t r a v a u x d i r ig é s 1 2 3 4 E n s e i g n e m e n t d ' i n t r o d u c t i o n 15 — 15 S o c i o - p o l i t i q u e s S o c i o lo g i e 60 30 30 P h i l o s o p h i e 60 36 24 E c o n o m i e p o l i t i q u e 100 50 50 T h é o r i e d e la p o l it i q u e 48 24 24 S é m i n a i r e “ 33 33 — 301 173 128 P é d a g o g i c o - p s y c h o l o g i q u e s P s y c h o l o g i e 60 30 30 P é d a g o g i e 56 28 28 M é t h o d e s s c i e n t i f i q u e s 38 — 38 M é t h o d i q u e d u t o u r i s m e 45 15 30 M é t h o d i q u e d e l a r é c r é a t i o n 42 14 28 241 87 154 D e s c i e n c e s n a t u r e l l e s E v o l u t i o n b i o l o g i q u e d e r h o m m e 6 87 29 58 E c o l o g i e d e l ' h o m m e e t s o z o l o g ie 78 26 52 B i o m é t é o r o l o g i e 33 11 22 H y g i è n e 44 22 22 A l i m e n t a t i o n 22 11 11 G é o g r a p h i e t o u r i s t i q u e d e la P o l o g n e 87 29 58 C o n n a i s s a n c e d u p a t r i m o i n e 63 25 38 414 153 261 S p é c i f i q u e s à la d i r e c t i o n d 'é t u d e s D ro it 52 26 26 O r g a n i s a t i o n e t g e s t i o n 104 52 52 E c o n o m i e d u t o u r i s m e et d u r e p o s 66 33 33 I n f o r m a t i o n e t i n f o r m a t i q u e 56 26 28 H i s t o i r e d e la c u l t u r e e t d e l ' a r t 100 50 50 S t a t i s t i q u e A m é n a g e m e n t t o u r i s t i q u e e t r é c r é a t i f 75 36 39 S é m i n a i r e d e l ic e n c e 94 ____ 94 E d u c a t i o n p h y s i q u e e t r é c r é a t i o n a c t i v e 547 41 506 L a n g u e é î r a r . g è r e I 243 243

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La f o r m a t i o n t o u r i s t i q u e à l 'A c a d e m i è d 'E d u c a t i o n P h y s i q u e 99 - : r. ■ л A n n e x e III (suite) i 2 3 4 L a n g u e é t r a n g è r e 11 184 184 I n s t r u c t i o n m i l i t a i r e ( s a n i ta r ia t , d é f e n s e ) 176 — 176 ...-...-... 1 697 266 1 431 S p é c ia l it é „ t o u r i s m e " 77 44 33 T h é o r i e d u t o u r i s m e 56 28 28 E n t r e p r i s e t o u r i s t i q u e 66 22 44 F i n a n c e s e t c o m p t a b i l i t é 44 22 22 G é o g r a p h i e t o u r i s t i q u e d ' E u r o p e 56 28 28 T r a v a i l d e g u i d e et d ' a c c o m p a g n a t e u r d e g r o u p e s -e n l a n g u -e é t r a n g è r -e 97 — 97 C o u r s a u ch o ix c 22 22 — S é m i n a i r e e n l a n g u e é t r a n g è r e 66 66 484 166 318 S p é c i a l i t é „ r é c r é a t i o n " S p o r t s r é c r é a t i f s d 349 — 349 F o r m e s s o c i o - c u l t u r e l l e s d e r é c r é a t i o n 44 22 22 T h é o r i e d e la r é c r é a t i o n 56 28 28 M a t i è r e a u c h o i x 44 22 22 493 72 421 T o ta l S p é c i a l i t é „ t o u r i s m e " 3 152 845 2 307 S p é c ia l it é „ r é c r é a t i o n ” 3 161 751 2 4 1 0 C a m p s C a m p d ' é t é fix e — d e s p o r t s a q u a t i q u e s , a p r è s le 2e s e m e s t r e , 21 j o u r s C a m p d ' h i v e r f i x e — d e s p o i l s d 'h i v e r , a u c o u r s d u 3e s e m e s t r e , 14 j o u r s C a m p d ' h i v e r ‘II; p o u r la s p é c i a l i t é „ t o u r i s m e " a v e c a p p r e n t i s s a g e d ' u n e l a n g u e é t r a n g è r e , p o u r la s p é c i a l i t é „ r é c r é a t i o n " s p o r t i f C a m p d ' é t é i t i n é r a n t — 10 j o u r s a p r è s l e s e x a m e n s d u 2e s e m e s t r e S t a g e s p r a t i q u e s , b r e v e t s p r o f e s s i o n n e l s , t r a v a u x fa c u l t a ti f s , t r a v a u x d e t er ra in , cf. le p i a n II

a Les é tu d ia n ts au d éb u t du 7e sem estre c h o isissen t u n e ou deu x parm i le* m a tiè re s su iv an te* : — p ro b lè m e s éco n o m iq u es choisis,

— p ro b lèm es fo n d am en tau x de l'é th iq u e , — fondem ents de la th é o rie d es relig io n s, — p ro b lèm es choisis de la sociologie de la c u ltu re, — p ro b lèm es choisis de p h ilo so p h ie de l'a rt, — h isto ire p o litiq u e de la P ologne d ep u is 1918,

— re la tio n s c o n tem p o rain es in te rn a tio n a le s, pro b lèm es choisis.

Selon le nom bre d 'o p tio n s to ta lis é e s , les cours d an s u ne ou deux m a tiè re s ch o isies sont dispensé* p a r su ite à u ne d écisio n du d o yen. La p ré se n c e au co u rs e st o b lig a to ire . Pas d ’exam en.

b .A vec é lé m en ts d 'a n a to m ie et de p h y sio lo g ie.

с Le program m e e st fix é ch aq u e a n n ée p a r le Ç onseil de la F a c u lté à la dem ande d u doyen, sous form e d 'u n co u rs (ou cy cle de cours) ou deux. La p ré sen c e au cours o b lig a to ire . A ucun exam en,

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B IB L IO G R A P H IE D r o z d o w s k i Z., 1986, A n t r o p o l o g i a clla s t u d i u j ą c y c h t u r y s t y k ę , M o n o g r a f i e , P u d r ę c z n ik i , S k r y p t y A W F w P o z n a n i u n r 29, s. 142. O r ł o w i c z M., 1970, M o / e w s p o m n i e n i a t u r y s t y c z n e , O s s o l i n e u m , W r o c ł a w , s. 564. P e t e к L., 1969, S p r a w o z d a n i e z d z i a ł a l n o ś c i Z a k ł a d u T e o r i i i M e t o d y k i N a r c i a r s t w a i O b o z o w n i c t w a W S W F w K r a k o w i e , „ R o c z n ik N a u k o w y " , t. 8, K r a k ó w , s. 9 7 . R a m o w e p l a n y i p r o g r a m y s t u d i ó w m a g i s t e r s k i c h na w y d z i a ł a c h t u r y s t y k i i r e k r e a c j i a k a d e m i i w y c h o w a n i a H z y c z n e g o . K i e r u n e k t u r y s t y k a , 1980, G K K FiT, s. 16— 22. doc. d r T e o f i l a J a r o w i e c k a W p ł y n ę ł o : K a t e d r a T u r y s t y k i 15 g r u d n i a 1989 W y d z i a ł R e k r e a c j i i T u r y s t y k i A k a d e m i i W y c h o w a n i a F i z y c z n e g o w K r a k o w i e Al. P l a n u 6 - l e t n i e g o 62a 31-571 K r a k ó w (P o logne) T r a d u i t p a r A n n a W o l i c k a S T R E S Z C Z E N I E W a r t y k u l e w y k a z a n o j a k t u r y s t y k a i r e k r e a c j a p o w o li, a le s y s t e m a t y c z n i e w y o d r ę b n i a ł y się z d y d a k t y k i k u l t u r y f iz y c z n e j, n a j p i e r w j a k o o d d z i e l n y p r z e d ­ m io t n a u c z a n i a , p ó ź n ie j j a k o s a m o d z i e l n y k i e r u n e k s t u d i ó w , az p o w y o d r ę b n i e n i e się o d d z i e l n e g o W y d z i a ł u T u r y s t y k i i R e k r e a c j i . F o r m y i t r e ś c i n a u c z a n i a z t u r y s t y k i w k r a k o w s k i e j A k a d e m i i W y c h o w a n i a F i z y c z n e g o z m i e n i a ł y się w c ią g u la t. J a k o p i e r w s z y e t a p t e j d z ia ł a l n o ś c i n a le ż y u z n a ć o k r e s , w k t ó r y m t u r y s t y k a b y ł a t r a k t o w a n a j a k o k s z t a ł c e n i e d o d a t k o w e . W k o ń c u l a t 6 0 - ty c h w U c ze ln i t e j u r u c h o m i o n o s p e c j a l i z a c j ę z t u r y s t y k i n a s t u ­ d i a c h n a u c z y c i e l s k i c h . F a k t t e n z n a c z y p o c z ą t e k d r u g i e g o e t a p u w w y p r a c o w y w a niu p r o l i t u k s z t a ł c e n i a s p e c j a l i s t ó w z z a k r e s u t u r y s t y k i . P r o g r a m n a u c z a n i a o b e j ­ m o w a ł d o ś ć o g r a n i c z o n ą l ic z b ę g o d z in (180— 200) w r a m a c h k s z t a ł c e n i a o g ó l n e g o z w y c h o w a n i a f iz y c z n e g o . S t u d i a t e j e d n a k n i e z b y t o d p o w i a d a ł y z a p o t r z e b o w a n i o m n a s p e c j a l i s t ó w z z a k r e s u t u r y s t y k i z p o w o d u p r z e w a g i d y s c y p l i n b i o lo g i c z n y c h , b r a k u g e o g r a f i i, b a r d z o n i e w i e l k i e j ilo ś ci p r z e d m i o t ó w z w i ą z a n y c h z n a u k a m i h u ­ m a n i s t y c z n y m i , p r o b l e m a m i k u l t u r a l n y m i , z n i e w y s t a r c z a j ą c y m n a u c z a n i e m j ę z y k ó w o b c y c h . N a s t ę p n i e n a z a w o d o w y c h s t u d i a c h z a o c z n y c h u t w o r z o n o o d r ę b n y k i e r u ­ n e k — r e k r e a c j ę . W I J 7 j r. u r u c h o m i o n o W y d z i a ł i u r y s t y k i i R e k r e a c j i . A n a l o g i c z n e w y d z i a ł y p o w s t a ł y t a k ż e w A W F w P o z n a n i u i W r o c ł a w i u . N a l e ż a ł o w i ę c w y p r a c o w a ć p r o g r a m n a u c z a n i a t u r y s t y k i j a k o o d d z i e l n e g o k i e r u n k u s t u d i ó w . W e w o l u c j i p r o g r a m ó w n a u c z a n i a na w y d z i a ł a c h t u r y s t y k i i r e k r e a c j i A k a d e m ii W y c h o w a n i a F i z y c z n e g o m o ż n a w y d z i e l i ć t r z y o k r e s y : 1) od u t w o r z e n i a w y d z i a ł ó w do r o k u 1981; 2) o b e j m u j ą c y l a t a 1981— 1987; 3) t r w a j ą c y o b e c n i e , w k t ó r y m w y p r a c o w u j e się n o w e p r o g r a m y s tu d i ó w .

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W a n e k s a c h d o a r t y k u ł u z a m i e s z ' z o n o t r z y p r o g r a m y n a u c z a n i a . P i e r w s z y (1) b ył r e a l i z o w a n y p rz ez w s z y s t k i e w y d z i a ł y t u r y s t y k i i r e k r e a c j i A W F w P o l s c e ( K r a k ó w , P o z n a ń i W r o c ł a w ) . N a s t ę p n y (Ii) b y ł w p r o w a d z o n y w 1981 r. t y l k o p r z e z u c z e ln i ę k r a k o w s k ą . I w r e s z c i e o s t a t n i (Ш) j e s t n o w y m p r o j e k t e m ( p a ź d z ie r n ik 19«'/) o p r a c o w a n y m nr/t-./. W y d /. ia ł T u r y s t y k i i R e k r e a c j i A W F w K r a k o w i e . W p i e r w s z y m o k r e s i e , p l a n p r z e w i d y w a ł u t w o r z e n i e t r z e c h s p e c j a l i z a c j i po d r u ­ gim r o k u s t u d i ó w : a) o r g a n i z a c j i i o b s ł u g i r u c h u t u r y s t y c z n e g o , b) h o t e l a r s t w a i c) r e k r e a c j i . W w y n i k u k i y t y k i , a t a k ż e d o s k o n a l e n i a k s z t a ł c e n i a s p e c j a l i s t ó w z z a k r e s u t u r y s t y k i u t w o r z o n o w k r a k o w s k i e j A W F z p o c z ą t k i e m l a t 8 0 -ty ch d w a n i e z a l e ż n e k i e r u n k i s t u d i ó w : t u r y s t y k ę i r e k r e a c j ę z o d r ę b n y m i p r o g r a m a m i n a u ­ c za n ia . U w z g l ę d n i a j ą c z a p o t r z e b o w a n i e s p o ł e c z n e n a s p e c j a l i s t ó w p o s i a d a j ą c y c h t e o r e ­ t y c z n e i p r a k t y c z n e p r z y g o t o w a n i e d o p r a c y w b i u r a c h , p r z e d s i ę b i o r s t w a c h t u r y ­ s t y c z n y c h , r ó ż n y c h j e d n o s t k a c h s o c j a l n y c h z w i ą z a n y c h z t u r y s t y k ą i o r g a n i z a c j ą w y p o c z y n k u , w p r z e d s i ę b i o r s t w a c h h o t e l o w y c h , w a d m i n i s t r a c j i c e n t r a l n e j i r e g i o ­ n a l n e j o p r a c o w a n o n o w ą w e r s j ę p r o g r a m u n a u c z a n i a w z a k r e s i e t u r y z m u (111). W a r t y k u l e o m ó w i o n o s z c z e g ó ł o w o z n a c z e n i e p o s z c z e g ó l n y c h p r z e d m i o t ó w lu b ich b l o k ó w ( s o c j o - p e d a g o g i c z n e , p r z y r o d n i c z e , b i o - m e d y c z n e , d y s c y p l i n y s p e c j a l i z a ­ c y jn e ) , k t ó r e o d g r y w a ł y l u b o d g r y w a j ą s z c z e g ó l n ą r o l ę w w y k s z t a ł c e n i u s p e c j a l i ­ s tó w , p o d k r e ś l a j ą c w a g ę z a r ó w n o teorii, j a k i p r a k t y k i . A u t o r k a z w r a c a u w a g ę , iż o t w a r t e p o z o s t a ł y j e s z c z e p r o b l e m y t u r y s t y k i m i ę d z y n a r o d o w e j , k t ó r a w y m a g a w y s o k o w y k w a l i f i k o w a n y c h k a d r . M o d e r n i z a c j a i d o s k o n a l e n i e p r o c e s u d y d a k t y c z n e g o w s z k o ł a c h w y ż s z y c h w y ­ m a g a j ą w p r o w a d z e n i a s y s t e m ó w k o m p u t e r o w y c h , t e o r i i 'i p r a k t y k i w z a k r e s i e h o ­ t e l a r s t w a , m a r k e t i n g u , o b o w i ą z k o w e g o e g z a m i n u p a ń s t w o w e g o z co n a j m n i e j j e d ­ n e g o j ę z y k a o b c e g o . N a l e ż a ł o b y z m i e n ić t a k ż e s y s t e m r e k r u t a c j i do A k a d e m i i W y ­ c h o w a n i a F i z y c z n e g o . S U M M A R Y T h e a r t i c l e s h o w s h o w t o u r i s m a n d r e c r e a t i o n w e r e s l o w l y b u t s y s t e m a t i c a l l y e m e r g i n g f r o m t h e d i d a c t i c s of p h y s i c a l c u l t u r e first a s a n i n d e p e n d e n t t e a c h i n g s u b j e c t , n e x t a s a n i n d e p e n d e n t f a c u l t y of s t u d i e s , to e n d w i t h t h e s e t t i n g u p of t h e i n d e p e n d e n t F a c u l t y ot T o u r i s m a n d R e c r e a t i o n . T h e fo r m s a n d c o n t e n t of t h e t e a c h i n g of t o u r i s m in t h e C r a c o w A c a d e m y oi P h y s i c a l E d u c a t i o n w e r e u n d e r g o i n g c h a n g e s o v e r y e a r s . T h e first s t a g e ot th is a c t i v i t y c a n b e c o n s i d e r e d t h e p e r io d in w h i c h t o u r i s m w a s t r e a t e d a s a s u p ­ p l e m e n t a r y e d u c a t i o n . In t h e l a t e s i x t ie s , t h e A c a d e m y b e g a n to o ffer s p e c i a l i z a ­ tio n in t u o r i s m w i t h i n t h e l r a m e w o r k of t e a c h e r - t r a i n i n g c o u r s e s . T h is fa ct m a r k e d t h e b e g i n n i n g oi t h e s e c o n d s t a g e in w o r k i n g o u t t h e p r o f i le of e d u c a t i n g s p e c i a ­ lis ts in to u r is m . T h e c u r r i c u l u m p r o v i d e d fo r q u i t e a l im i te d n u m b e r of t e a c h i n g h o u r s (180- 200) w i t h i n t h e p r o g r a m m e of g e n e r a l e d u c a t i o n in p h y s i c a l t r a i n i n g . T h e s e c o u r s e s w e r e , h o w e v e r , d e p a r t i n g c o n s i d e r a b l y f r o m t h e e x i s t i n g d e m a n d lo r s p e c i a l i s t s in t o u r i s m d u e to p r e d o m i n a n c e of b i o l o g y d i s c ip l i n e s , a b s e n c e of c o u r s e s in g e o g r a p h y , v e r y s m a ll n u m b e r of s u b j e c t s c o n n e c t e d w i t h t h e h u m a n i t i e s , c u l t u r a l p r o b l e m s , a n d i n s u l f ic i e n t e m p h a s i s on f o r e i g n l a n g u a g e s . N e x t , a s e p a r a t e s p e c i a l i z a t i o n in r e c r e a t i o n w a s o p e n e d w i t h i n t h e p r o f e s s i o n a l e x t r a - m u r a l s t u d i e s

(20)

T h e F a c u l t y of T o u r i s m a n d R e c r e a t i o n w a s o p e n e d in 1975. T h e c o r r e s p o n d i n g f a c u l t i e s w e r e a l s o o p e n e d in t h e A c a d e m i e s of P h y s i c a l E d u c a t i o n in P o z n a ń a n d W r o c ł a w . H e n c e , it b e c a m e n e c e s s a r y t o e l a b o r a t e t h e t e a c h i n g p r o g r a m m e ot t o u r i s m a s a s e p a r a t e a c a d e m i c s p e c i a l i z a t i o n . I n t h e e v o l u t i o n of t e a c h i n g p r o g r a m m e s i n t h e F a c u l t i e s of T o u r i s m a n d R e c r e a t i o n in t h e A c a d e m i e s of P h y s i c a l E d u c a t i o n t h e r e c o u l d b e d i s t i n g u i s h e d t h r e e p e r i o d s : 1) b e t w e e n t h e o p e n i n g of t h e F a c u l t i e s a n d t h e y e a r 1981, 2) c o v e r i n g t h e y e a r s 1981— 1987, 3) l a s t i n g till t o d a y a n d b e n i n g a p e r i o d d u r i n g w h i c h n e w c u r r i c u l a a r e b e in g e l a b o r a t e d . T h e a n n e x to t h is a r t i c l e c o n t a i n s t h r e e t e a c h i n g p r o g r a m m e s . T h e fi r s t of t h e m w a s f o l l o w e d first of a ll b y t h e F a c u l t i e s of T o u r i s m a n d R e c r e a t i o n of t h e A c a d e m i e s of P h y s i c a l E d u c a t i o n in P o l a n d ( C r a c o w , P o z n a ń a n d W r o c ł a w ) . T h e s e c o n d w a s i n t r o d u c e d i n 1981 o n l y b y t h e C r a c o w A c a d e m y . F i n a ll y , t h e t h i r d p r o g r a m m e is a n e w p r o j e c t s ( O c t o b e r 1987) e l a b o r a t e d b y t h e F a c u l t y of T o u r i s m a n d R e c r e a t i o n of T h e A c a d e m y of P h y s i c a l E d u c a t i o n in C r a c o w . I n t h e first p e r i o d , it w a s p l a n n e d t h a t t h r e e s p e c i a l i z a t i o n s w o u l d b e o p e n e d a f t e r t h e s e c o n d y e a r of s t u d i e s : a) o r g a n i z a t i o n a n d s e r v i c i n g of t o u r i s t traffic, b) h o t e l b u s i n e s s , a n d c) r e c r e a t i o n . A s a r e s u l t of c r it i c i s m a n d p r o g r e s s m a d e in t h e a c a d e m i c t r a i n i n g of s p e c i a l i s t s in t o u r is m , t h e r e w e r e o p e n e d i n t h e C r a c o w A c a d e m y of P h y s i c a l E d u c a t i o n t w o i n d e p e n d e n t a c a d e m i c s p e c i a l i z a t i o n s of t o u r i s m a n d r e c r e a t i o n w i t h s e p a r a t e c u r r i c u l a in t h e e a r l y e ig h t i e s . F i n a ll y , a n e w v e r s i o n of t h e c u r r i c u l u m in h e field of t o u r i s m ( O c t o b e r 1987) w a s e l a b o r a t e d in r e s p o n s e to t h e s o c ia l d e m a n d fo r s p e c i a l i s t s h a v i n g t h e o r e t i c a l a n d p r a c t i c a l b a c k g r o u n d fo r w o r k in t o u r i s t o ffices a n d c o m p a n i e s , d i f f e r e n t c o m p a n y - l e v e l u n i t s d e a l i n g w i t h t o u r i s m a n d o r g a n i z a t i o n of r e c r e a t i o n , in h o t e l c o m p a n i e s , a n d in t h e r e g i o n a l a n d c e n t r a l a d m i n i s t r a t i o n . T h e a r t i c l e d i s c u s s e s i n d e t a i l t h e i m p o r t a n c e of p a r t i c u l a r s u b j e c t s o r t h e i r b l o c k s ( s o c i o - p e d a g o g i c a l , n a t u r a l s c i e n c e , b i o - m e d i c a l s u b j e c t s a n d s p e c i a l i z a t i o n d i s c ip l i n e s ) , w h i c h u s e d to p l a y o r a r e p l a y i n g t o d a y a s p e c i a l r o l e in e d u c a t i n g s p e c ia li s ts , w i t h t h e s i g n i f i c a n c e of b o t h t h e o r y a n d p r a c t i c e b e i n g s t r e s s e d . T h e a u t h o r e s s p o i n t s o u t t h a t p r o b l e m s c o n n e c t e d w i t h t h e i n t e r n a t i o n a l t o u r i s m h a v e n o t b e e n s o l v e d y e t. O f c o u r s e , th is a r e a c a lls fo r h i g h l y - q u a l i f i e d p e r s o n n e l . M o d e r n i z a t i o n a n d i m p r o v e m e n t of t h e d i d a c t i c p r o c e s s in a c a d e m i c s c h o o l s m a k e it n e c e s s a r y t o i n t r o d u c e c o m p u t e r s y s t e m s , t h e o r y a n d p r a c t i c e in h o t e l b u s i n e s s , m a r k e t i n g , a n d o b l i g a t o r y e x a m s f r o m a t l e a s t o n e f o r e i g n l a n g u a g e b e f o r e a s t a t e c o m m i s i s o n s . I t w o u l d b e a l s o n e c e s s a r y to c h a n g e t h e s y s t e m of a d m i s s i o n t o t h e A c a d e m i c s of P h y s i c a l C u l t u r e . T r a n s l a t e d b y L e s z e k P o d b i e l s k i

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