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Definitions generales de la puissance active reactive et apparente dans un systeme a deux fils

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(1)

INSTITUT NATIONAL ROUMAIN POUR

L ’ÉTUDE DE L ’AMÉNAGEMENT ET DE L ’UTILISATION DES SOURCES D ’ÉNÉRGIE

CONFÉRENCE INTERNATIONALE DES GRANDS RÉSEAUX ÉLECTRIQUES À HAUTE TENSION

C O M IT É D ’É T U D E S P O U R L ’A M É L IO R A T IO N D U F A C T E U R D E P U IS S A N C E

DÉFINITIONS GÉNÉRALES DE LA PUISSANCE ACTIVE, RÉACTIVE ET APPARENTE DANS UN SYSTÈME À DEUX FILS

par

Dr. Ing. Stanislaw Fryze

P r e f M N u r à l'E c o le P o ly tech n iq u e à Lw ôw (P o lo g n e)

Considérons une source de courant I, qui alimente un récepteur II inconnu (fig. 1). Pour simplifier nos consi­

dérations nous négligeons la résistance, l ’inductance et la capacité des fils de connexion et les pertes des appa­

reils de mesure. La tension U» et l ’intensité Jt sont des fonctions du temps arbitraires, périodiques, monovalentes et de même fréquence f — -.

Le voltmètre thermique V indique la tension efficace:

o

l ’a m p e r m è t r e t h e r m i q u e A l ’intensité efficace:

F ig . 1

(2)

4 O r f in it io n s g e n e r a le s d e la p u is s a n c e a c t iv e , r e a c

et un wattmètre électro-dynamique la puissance moyenne:

*T i *T

il il

P = Pt. d t = UtJt.dt

T •' T.'

Nous appelions cette puissance la puissance active et la désignons par Pw . Le produit U.J est la puissance a p ­ parente, que nous marquerons par P,. Le quotient

/ = P w

U . J U . J P w P.

s ’appelle le facteur de puissance. Il est toujours ce qui est facile à démontrer par l ’inégalité de Schwarz.

D ’après Schwarz nous avons 1 fT

T . ! 1Ut J t. dt

d ’où vient

I f 1 , 1 fl fT . ÿ j u;. dt . ÿ J Jt. dt

P U. J, ou / ^ 1.

(1 )

Cette inégalité se transforme en égalité, si le q u o ­ tient

U * D

— = R = const Jt

est une gr a n d e u r constante, indépendante du temps.

On a dans ce cas

p _ U * __ Pw U Jt J- J

et atteint sa valeur maximale, 1 = 1. Si le quotient

£ - * •

est une fonction du temps, A devient plus petit que 1 et nous avons

P w P w

u = J 7 r J = « r r

La valeur Uw = U.A = -j— resp, Pwÿ- représente la tension U

une valeur minimum de

-r-r

-.— - T q u ’il faut fournir pour

l ’intensiteJ n

b

(3)

tiv e e t a p p a r e n t e d a n s un s y s tè m e à d e u x f il s >

produire une certaine puissance active Pw , étant donnée 1 ’intensité J

tension U ’ Nous désignons cette valeur minimum comme tension active U w

intensité active Jw et la considérons comme valeur efficace de la fonction

TT T P w

Uyet-jj-'Jt respectivement Jwt = ÿ y U» (2) Nous décomposons maintenant chacune de nos fonctions Ut et J* en deux fonctions composantes:

Ut = U wl + U b t = j, +

ubt

(3 )

Jt = Jwt "f- Jbt = • Ut -j- Jbt (4 )

1 f 1

Poso n s ces valeurs dans 1 ’ équation Pw — ™ IUt Jt. dt et nous A • '

o obtenons :

1 j ’T

P w - j j Uwt Jt • dt + j, j Ubt J t > dt

o o

i f r 1 C 1

Pw — rji

j

Ut Jwt. dt + ÿ

J

Ut Jbt. dt

o

En substituant dans ces équations les valeurs de Uwt et Jwt tirées de (2), nous recevons

" fuwt Jt. dt = Pw = Uw. J , ^ J Ut Jwt- dt = Pw = J w U (5)

o o

j* Uwt Ubt • dt = 0 ÿ j jwt Jbt • dt = 0 ( 6 )

o o

Les dernières relations énoncent, que les fonctions composantes Uwt et Ubt resp. Jwt et Jbt sont orthogonales.

Notre décomposition (3) et (4) rend ainsi possible la dé­

rivation des équations carrées de la tension et de 1*in­

tensité :

(4)

D é f in itio n s g é n é r a i s * d s 1* p u is a s s e « a c t iv « . r é * «

d ’où résultent les formules cherchées, qui ne contiennent que dès valeurs efficaces:

U 2 = U w + U Ï, ( 7 )

J ' - J w + J b ( 8 )

De ces égalités suit l ’équation carrée de la puissance, qui possède la forme identique à celle, connue pour les courants sinusoïdaux. On a ‘.

U a J " = (U W + U b ) . J 2 = U 2 ( J W + J i )

o ù

U w J = U . J w = P w

Or nous posons

U b J ^ U . J b = P b

et recevons

P a = P w + P b ( 9 )

P o u r examiner la signification physique des équations (7), (8) et (9) (encore tout-à-fait formelles), il faut d i s c u t e r les fonctions:

P t = U t . J t ( 1 0 )

6t R* = ^ t (11)

J*

N o t r e dé c o m p o s i t i o n de (3) et (4) entraîne aussi la d écom­

p o s i t i o n de (10) et (11) en deux fonctions composantes:

P t = U w t J t + U b t J t = P j , + P ^ t ( 1 2 )

P t = U t J w t + U » J b t = P “ » + ( 1 3 )

p i _ P w t 2 p l i

Pw

tt2

^ W t ~ j l * J t W t J J Ï * U »

_ U t U w t , U b t P w U b t _ U w U b t « *

J » J t J t J 2 J t = j J t w 1 R b t ( 1 4 )

1 _ J t J w t J b t P w , J b t J w J b t _ x t . - 11 / i t x

~ R * U » “ U , + U , U 2 _ Ù r Ü t " G w b t ( ^

Dans ces fonctions sont valables:

J Jpi,

î. . dt =

^ J

Uwt Jt. dt = P w = U w J = J ‘ R i

| J p ” . ^ U, Jwt- dt = P W = U. J w = U G ” o

(5)

et

U w •* « W « W » t» dans un i j n t i m i à d«ux fils

I ^ — T J Gb* ^ ^ “ . / S i ^bf dt =» 0

O O o

ÿ dt = ÿ J U» Jbt- dt =- jj j"ut G“ , dt = 0 T

o

L * i n t e r p r é t â t i o n physique des équations (14) et (15) m o n t r e que notre r é c e pteur inconnu II (fig. 1), indépendam­

ment de son état interne, peut être remplacé par de u x éléments et mis en série (fig. £)

~ Z 1 ~ 1

R w = - 0 et R bt = mis en parallèle (fig. 3)

G w G bt

L a p a r t i e hachée se comporte d'une façon analogue à une r é s i s t a n o e ohm i q u e fixe, dont la g r andeur dépend uni-

J

ri*, a rif. 3

quem e n t de la p uissance active Pw et de la valeur efficace du courant J

-— -— ---:----. Elle consomme tout le travail aotif fourni de la t e n s i o n U

p ar la s o u r c e ^ l e transformant en autre forme d'énergie.

C'est pourquoi nous appellerons cette partie du récepteur la p a r t i e active.

L'au t r e partie se comporte comme une résistance ohmique p é r i o d i q u e m e n t variable. L ’énergie absorbée par elle p e n ­ dant la durée d'une période est égale à zéro. Donc elle n ' a b s o r b e aucune énergie, ou bien elle rend à la source p e n d a n t la partie prochaine de la période celle, q u ’elle a reçue pendant la première partie de la même période.

Nous appellerons cette partie du récepteur la partie réac­

tive, et

la tension à ses bornes Ub la tension réactive.

le courant Jb qui passe par elle le courant réactif.

(6)

D é fin itio n s g én éra les de la p u issa n ce a ctiv e, ré a c

La fig. 2

La ^ — 2 m °ntre, que pour alimenter un récepteur qui contient un element réactif avec une puissance Pw par une

intensité J , . tension U

~ tT données, il faut une -— — --- — — — - qui doit etre

tension U intensité J n

, la tension active U w = Pw J

plus grande que . . •. parce qu'il

l'intensite active JW = P W/U U = \/uîr + Ui, > U w T

est --- — . . La puissance apparente P» de la gene- J 1 J w -|- J b Jw

ratrice est plus grande que la puissance active Pw c o n ­ sommée par le récepteur, parce q u ’on a

Ps = V 'P w T Pi» > Pw

Nous voyons que la grandeur Pb a ici la même sig n i f i ­ cation que la puissance réactive dans les courants s i n u ­ soïdaux. Cette valeur est une mesure de 1 ’ augmentation d ’in­

tensité respectif de tension, nécessaire pour la p r o d u c ­ tion d'une certaine puissance active Pw en présence d ’un élément réaotif. C ’est pourquoi nous appelons cette gran-

raie pour elle est le produit des valeurs efficaces de l'intensité et de la tension d ’un élément réactif pur, une période est nulle.

D ’a illeurs il faut remarquer, que dans les circuits à tension et intensité p é r iodiques et de même fréquence, chacune des trois puissances (c. à. d. active, réaotive et apparente) peut être exprimée comme produit des valeurs efficaoes de la tension et de l'intensité d ’un élément.

Dans le cas d ’un pur élément actif (R^ fig. 2 resp. G“ fig- 3) ce produit donne la puissance active

P w — UwJ resp. P w = U J w

pour un pur élément réactif (RJt fig. 2, resp. G “ fig. 3|, il en résulte la puissance réactive

Pb — UbJ resp. Pb — UJb

et pour un élément arbitraire Rt nous obtenons en général la puissance apparente P» = U J . De ces trois puissances seulement la puissance active Pw dépend de la fonction P t =. U t Jt de manière, qu'elle est égale à zéro, l o r s q u ’il y a Pt — 0.

(7)

•* a p p a ren te «tans un • y s t i m i à d eu x fila $

La puissance réactive Pb et apparente P, doivent être d iff é r e n t e s de zéro, même dans le cas où P» = 0, lorsque les fonctions U» et J» ne sont pas nulles, c. à. d. lorsque

Ut ^ 0 et Jt^ 0 .

t

Dans l'exemple qui suit, nous verrons, que la puissance réactive Pb et apparente P, ont des valeurs différentes de zéro b i e n qu ' o n y ait

E x p é r i e n c e : Nous mettons en série une résistance oh- mique R, = 7 , 0 8 ü, un interrupteur rotatif sans pertes et un gros fil métallique, dont

la r ésistance est infiniment petite, et nous les c o n n e c ­ tons a ux born e s d'une source de courant con t i n u sans r é ­ sistance, dont E = 122,5 V

(fig. 4). Nous constatons que le w a t t m è t r e W ne donne presque a u cune déviation, bien que l'ampermètre t h e r ­ mique m o n t r e A = 10 Amp et le v o l t m è t r e t h e r m i q u e

V = 100 V o l t s 1). La puissance active est alors infiniment petite ejb il n'existe plus aucune p u l s ation de l'énergie.

Mais p o u v o n s - n o u s aussi affirmer que la puissance r é a c ­ tive est égale à zéro? Jamais! La source fournit donc un c o u r a n t . efficace de 10 Amp. et montre à ses bornes une t e n s i o n efficace (qui est égale ici à la F. E.

M. de la source) de 122,5 Volt. Si elle est dimensionée pour une puissance de 1,225 kW, elle ne peut plus a l i ­ menter a u c u n autre récepteur. L'interrupteur avec le gros fil métal l i q u e se comporte ici exactement comme une bobine d'in d u c t a n c e idéale aux bornes d'une source si n u ­ soïdale: il charge la génératrice avec le courant, n'ab s o r ­ bant pas d'énergie. Nous sommes obligés alors de le c o n ­ sidérer comme un élément réactif, et le produit de valeurs efficaces d ’intensité et de la tension (10 A. 100 V 1.000 VA) comme une puissance réactive.

’) E x e m p le n u m é r iq u e à la f in .

(8)

10 D é fin itio n s g é n éra le s dé la p u issa n ce a c tiv e , ré a c

C ’est d ’accord avec nos considérations précédantes, parce q u ’en ce cas le facteur de puissance 1 est forcé de devenir plus petit que 1, si le quotient

Ut

est une fonction du temps. Dans notre exemple c'est v r a i ­ ment le cas. Dans le moment où l'interrupteur ferme le trajet du courant, la tension aux bornes du voltmètre est infiniment petite, cependant que l ’intensité prend une valeur de 17,3 A (fig. 5).

Dans un autre moment, où le circuit est interrompu, la tens i o n aux bornes du voltmètre atteint une valeur de 122,5 Volt, oependant que l'intensité est nulle. La r é s i s ­ tance de notre r é c e pteur est alors, théoriquement, infi­

n i ment grande. Pendant la durée d ’une rotation de l ’in- UJP

0

terrupteur rotatif, la ré- Uzs/22.s sistance de notre récepteur

change de nulle à l'infini.

On a alors Ut = R t et la puis- Jt

sance réact ive doit se p r é s e n ­ ter, ce qui a lieu en effet.

Dans la pratique se p r é ­ sente un cas pareil, q uand u n inducteur avec un interrup- 'ÿjP teur sont alimentés par un r é ­

seau à courant continu. Ces inducteurs sont utilisés dans Röntgen. D a n s cette disposition de 10 kW et de 200 Volt de ten- Deprèz montre 50 Amp, pen- donnera une valeur plus

J*17¿

1

Pt =0

ng. s

le service de tubes d ’une pu i s s a n c e (aotive) sion du réseau, l ’ampermètre dant q u ’u n ampermètre thermique

grande, p ar exemple 71 Amp. Si la tension du réseau est constante (U* = const)# u n appareil Deprèz montre la même valeur q u ’u n a ppareil thermique, c. à. d. 200 Volt. Le w a t t - mètre doit m o n t r e r 10.000 W. Le facteur de puissance est

0,704 UJ 200.71 ' la p u i s s a n c e apparente:

Pw 10.000

P- ~ T - 0/704 * 1 4 ’2 k V A et la puissance réactive:

Pb = 1 Pi - Pw ^ V 14,2 J- 10- ar 10 kVar

(9)

liv e i t a p p a r e n t e d a n s un s y s tè m e à d e u x f il s 11

Mais cela signifie que pour alimenter un tube de Röntgen de 10 kW il faut un générateur à courant continu de presque 15 kW et on doit calculer les lignes d'alimentation non pour 50 Amp., mais pour 71 Amp.

La pu i s sance réactive non plus ne dépend pas en général de pulsat i o n s de l'énergie du champ magnétique (bobines), resp. électrique (condensateurs), comme le montre l ’exemple suivant:

Nous branchons une bobine de réactance, dont l'induc­

tion est L et la résistance ohmique R a ux bornes d'une source du courant, dont la tension est sinusoïdale avec une composante continue convenablement grande (diagramme fig. 6). La puissance réactive a une certaine valeur et nous observons aussi des pulsations de l'énergie dans le champ magné t i q u e de la bobine. Remplaçons maintenant la bobine de réactance par une

r é s i s t a n c e variable, qui donne la même allure de la ten s i o n et de l'intensité dans le circuit et nous r e ­ mar q u o n s que l'allure de la f o n c t i o n de puissance P t et la p u i s sance réactive Pb sont restées les mêmes, malgré q u'il n ' y a p l u s a u c u n e p u l s a t i o n d ' é n e r g i e (ab­

sence de bobine d ' i n d u c ­ tion). Donc ayant les mêmes comportements extérieurs et la même p u i s sance réactive le r é c epteur peut contenir à son intérieur aussi bien 0

une résistance ohmique va- n*. • riable qu'une bobine d ' i n ­

duction, c. à. d. un élément qui produit des pulsations d'énergie dans son champ magnétique. On peut appliquer des considérations analogues pour un condensateur.

U n signe unique de la présence ou du manquement de la p u i s sance réactive est la dépendance ou l'indépendance du quotient Rt du temps. Comme les termes: la puissance

J t

active, réactive et apparente sont égaux aux produits de vale u r s efficaces correspondantes, la forme de la courbe de l ’intensité et de la tension n ’a aucune influence sur le résultat j u s q u ’à ce que ces valeurs efficaces restent les mêmes. Pour établir la puissance réactive, l ’analyse

(10)

12 D é fim tio u » g én éral«» da la puii réae

h armonique n ’est pas nécessaire. On peut présenter un nombre infiniment g rand de fonctions de la tension et de l ’intensité J» et U t, pour lesquelles le facteur de p u i s ­ sance /. et les valeurs efficaces U et J sont les mêmes.

Nous calculons la puissance réactive facilement de la formule suivante:

Fi*. 8

u„

Jb

Pb = V'p. - Pw

ne dépendante même pas de la forme de la courbe, dont seulement l'oscillo- gramme peut nous renseigner sur son a l l u r e .

Des équations (7) et (8) résulte, que dans tous les circuits é l e c ­ triques, à condition comme au c o m ­ mencement, i n d é p e n d a m m e n t de la nature du courant, les valeurs e f f i ­

la tension

caces de active et réac- 1 ’intensité

tive s ’ajoutent géométriquement et à l'angle droit.

Désignant U = R, comme résistance

J

Uw T

apparente, — = R comme r é s i s t a n c e J

Ub »

active, — = Rb comme résistance réac-

J

tive J

et J

U = Gs c o m m e a d m i t t a n c e , TT = G “ c o m m e c o n d u c t a n c e , ~ = G?

U u b

comme susceptance, nous obtenons de (7) et (8)

R» = R? G- = G“ ' + G.w bn

(16) (17) Si nous voulons représenter g r a ­ phiquement les équations (7), (8), (9), (16), (17), nous obtenons cinq triangles r ec ta ng u­

laires (fig. 7, 8, 9, 10 et 11), puisque l'on a:

(11)

Uv» e t a p p a r e n t e d a n a un a y a te u ie a d e u x i ll s u

' et

Pb U b . J U . J b Ub Jb Rk 6 “

p.

u. j ~ u. j “ u ~ j ~ ~ ;'b = sin (f *19*

i

La s i gnification de comme cos 9 peut, aussi ici, être maintenue, où <p désigne l ’angle compris dans les triangles de la puissance, de la tension, de l ’intensité, de la r é ­

sistance et de la conductance.

Nous remarquons le complet accord de ces formules avec les équations compatibles des courants sinusoïdaux. Mais là, l ’angle ç> a outre la signification démontrée ci-dessus encore une autre signification, c ’est le décalage de p h a ­ ses. De même, la résistance réactive Rb en réseaux s i n u ­ soïdaux est liée avec L et C par la formule:

Rb = a» L w C

L a n o t i o n du déphasage ne se laisse pas évidemment t ransmettre sur les courants quelconques, elle n ’est v a ­ lable que pour les courants sinusoïdaux. De même dans les courants n on sinusoïdaux se pe r d le caractère positif (in- duotif) et nég a t i f (capacitif) de la puissance réactive.

Tout de même il est possible de compenser ici la puissance réactive par la mise des éléments en série ou en p a r a l ­ lèle. Il est visible des équations:

B. = R}, + Rk = (Ri, + Ri.) + (R*„ + R*J ( 80 )

et

G, = G j + G“ - (G» + 0 » ) + (g“ , + g£,| (21 ) q u ’u ne complète compensation de la puissance réaotive, provoquée par le récepteur 1, survient, quand l ’élément de c o m p e n s a t i o n 2 se conduit de telle manière que:

^blt + ^b2t “ 0 ou

g",, + g", = 0

Si ce n ’est pas le cas, la puissance réactive doit apparaître, mais on peut diminuer sa grandeur (compen­

sation partielle) par la connexion d ’un élément c o n ­ venable .

(12)

14 D e f in it io n s g é n é r a le s de la p u issa n ce a c tiv e , ré a e

A N N E X E

La table numérique appartient à la fig. 4 et 5, où est montré le schéma et le diagramme, qui se rapporte à l ' i n ­ terrupteur mis en série avec une F. E. M. E - 122,5 V. et une résistance R* — 7,08--. (Les courbes d'intensité et de t e n ­ sion sont indiquées idéales c. à. d. q u ’elles valent pour 1' i n ­ t errupteur sans pertes).

Tableau

T Fonction

i II III

V a l e u r s

1 Ut 0 122,5 122,5

2 Ui 0 15.009,25 15.006,25 U" = 10.004,16 U % 100,02 Volt

3 J* 17,3 0 0

4 Jt 299,29 0 0 J' = 99,763 J « ».«« * “ P-

5 Pt 0 0 0 P w = 0 Watt

6 Uwt 0 0 0 Uwt Jt - 0 Volt

7 UWt 0 0 0 ü w = » U w = 0 Volt

Ubt 0 + 132,5 + 122,5 Ubt = Ut - Uwt

u l t 0 15.006,25 16.006,25 Ub = 10.004,16 Ub s 100,02 Volt

10 Jwt 0 0 0

p

Jwt = g?. Ut = 0 Amp.

11 Jwt 0 0 0 J w = 0 J w = 0 Amp.

12 Jbt + 17,3 0 0 Jbt = J t — Jwt

13 Jbt 299,29 0 0 J b = 99,763 Jb = 9,969 Amp.

14 pwt1 0 0 0 P ^ moyen = 0

1S p 1bt 0

» «

P* moyen = 0

14 p 11

wt 0 0 o Pjj moyen — 0

17 pli

bt 0 0 0 «V

P fa moyen = 0

1S Rt 0 <T> ce

10 « w 0 0

0

0 o

R w = UwtTWt - 0Î->

Jt

20 Rbt 0 00 0 0

21 G, co 0 • 0

22 G “

0

0 °

0 r *^w t _ n -

Gw j j ° o

U t

23 Gbt cc 0 0

P w = 0 , P b = 9 9 9 V a r , P„ = 9 9 9 V A , ;w = 0, ;b = 1

(13)

t i * c e t a p p a r e n t e d a n s u n s y s tè m e à d e u x f il s IS

R é s u m é . De nos considérations il résulte, que les formules données plus bas, valables aux circuits sinu s o ï ­ daux, peuvent être maintenues aussi dans les systèmes non sinusoïdaux à deux fils, en cas de tensions et courants périodiques, monovalents et de même fréquence

La p u i s sance active:

i f T i rT

pw - j J Pt. dt - Y.) u ‘- dt =Uw. J - U . Jw

o o

La valeur efficace de la tension d'alimentation:

U = m dt

L a va leur efficace de l'intensité d'alimentation:

!

J - m dt

De ces trois grandeurs générales on peut calculer toutes les autres grandeurs:

La puissance apparente: P, = U. J

P P

Le facteur de puissance ( facteur actif ) :

i

= = eosr

Pu U . J La puissance réactive: Pj> = 1 Pi — PW = Ub. J = U. Ji>

Le facteur réactif: ;.b = Il — x2 = siny La tension active: Uw = U = Ucos<r

La tension réactive : Ub = U 11 — x* = U. ¿b = Usinr Le courant actif: JW = J. x = Jcos^

Le courant réactif: Jb = J Kl — x2 = J. xb = J. sin?’

Les décompositions d'un élément inconnu on deux parties selon (3) et (4) (fig. 2 et 3) donnent les décompositions uniques de la tension et du courant pour lesquelles oblige:

pw = ï f u w t J*. dt = Ut Jw*. dt =

V ~

fuÎrt-dt I ÿjjï. d t -

o _ _ o ' 0 ' 0

= y ^ J * ü t • dt ^ ÿ | Jwt.dt - U . J. 1 = U. J. cosr

ï / t r U . d t I ÿ p i . a t = L'ijôi.dt

n o » o * o

Pb

O sinv et

- U. J. /.b — U . J,

ÎUbt Jt. dt = 0 , I ü» Jm. d i * = 0 .

o o

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