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Sur une famille de fonctions holomorphes dans le cercle unité

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ANNALES

UNI VEESITATIS MAEIAE CUEIE-SKŁODOWSKA LUBLIN - POLONIA

VOL. XXI, 8 SECTIO A 1967

Zespół Matematyki, Wyższa Szkoła Inżynierska, Lublin InstytutEkonomii Politycznej 1 Planowania, UniworsytotMarii

Curie-Skłodowskiej, Lublin

FILIP FRANCISZEK JABŁOŃSKI et ANDRZEJ WESOŁOWSKI

Sur une familie de fonctions holomorphes dans le cercie unitę

0 pewnej rodzinie funkcji holomorficznych w kole jednostkowym

О некоторой фамилии голоморфных функций п единичном круге

1. Soient Ke = {z: |«| < g} et Ke = {z: |»| < g}. Par S(ß,(p) nous désignons la classe des fonctions F(z) = z-\-a2z2 +holomorphes dans KY et satisfaisant à la condition:

(1.1) Ee|e-<’^^-J>/îcos99, 0 < ß < 1, ~ J < ? < y

Cette classe a été introduite, pour /3=0, par L. Spaëek [3] et appelée la classe des fonctions ^-spiralées. Elle est composée de fonctions univalentes et constitue une sous-classe de la classe bien connue $. De la définition il résulte que $ (/?, ç>) c $ (0, ç?) <= $. Désignons encore par P la classe des fonctions p(z) = 1+pjZ+... holomorphes dans et telles que (1.2) Eep(«) > 0 pour ieKl

Par C (A, y, ß, <p) nous désignons la classe des fonctions f(z) = z + b2z2 +.,., holomorphes dans Ai et satisfaisant à la condition:

(1.3) Ee^-^J^Acosy 0<A<l, _^<y<^, Feg(ß,<p).

Il est à remarquer que la classe C(0, 0,0,0) constitue une sous-classe introduite par Bazilevié [1], de la classe des fonctions presque convexes classiquement normées. Si <p = 0, la classe <7(A, y, ß, <p) constitue la classe, étudiée plus tôt par E. Libéra [2], qui constitue pour A, y, ß fixés, une sousclasse de la classe des fonctions presque convexes.

(2)

92 Filip Franciszek Jabłoński et Andrzej Wesołowski

Dans ce travail nous déterminons le rayon exact de convexité, nous établissons une limitation exacte du module de la dérivée, supérieure et inférieure, dans la classe des fonctions C(Â, y, jS, 99) et nous trouvons la fonction extrémale.

Les résultats obtenus dans ce travail fournissent, pour 99 -> 0 comme corollaires, les résultats correspondants établis par E. Libéra [2] pour la classe de fonctions qui a été l’objet de son étude. En imposant des conditions aux limites aux autres paramètres, nous obtenons comme conséquences quelques résultats classiques.

2. Dans ce chapitre, nous nous proposons de déterminer le rayon de convexité exact dans la classe G (A,y, (i, 99) et de trouver une limitation exacte, supérieure et inférieure, du module de la dérivée.

Lemme 1. Si F(z) e S(/9, 99), on a, pour z e Kr, 0 < r < 1, la limitation exacte

zF\z) (2,1)

F(_z)

(2,2) F(z) =

l + r2ei’’(e’’’-2j3cosç>) 1 —r2

2r(l—jS)cos99 1-r2

---j- est la fonction extrémale (1—2)2(1_p)cos’,c

Démonstration. La définition de la classe $(/?, 99) implique l’existance d’une fonction p(z)eP telle que

. zF'(z)

(2,2') eVf ——— = (1 — /?) cos 9;-p («)+/? cos 99 — i-sinç?.

En profitant du domaine de variation de la fonction p (2) dans la classe P pour z fixé nous obtenons la conclusion du lemme 1, puisque ce domaine de variation est un cercle dont le diamètre, situé sur l’axe réel, a ses

1r 1 + r

extrémités aux points ——, --- , et que le cercle (2,1) s’obtient 1 + r 1 —r

du précédent par une homothétie, une translation et une rotation conve­

nable, comme le montre la relation (2.2').

Lemme 2. Si F(z)e$({}, p), on a, pour zeKr, la limitation exacte (2,3) 1 —r2+2r(l-/Î)cos99(rcos99— 1) zF'(2)

1-r2 < Ee

1 — r2 +2r (1 —/?) cos 99(r cos 99+1) 1-r2

(3)

Sur une famille de fonctions holomorphes ... 93

|«| = r. L'égalité est réalisée, respectivement à gauche et à droite, pour z = r par la fonction

0 < 0 < 2?r (2,4) ^o(«) - _ 2ei»)2(l-/3)C0S?>c’'P

Dans le premier cas, il y a lieu de poser 0 = rp, où y) = 2arctgll-r (l + r'+ rCtg2»’

[

1 —

r

— Ctg I — + — Il.In œ\~|

Démonstration. L’inégalité (2,3) résulte directement du lemme 1.

Il suffit donc de prouver que l’égalité dans (2,3) est réalisée au point z,

|z| = r. Nous allons le faire pour z = r. Pour la fonction F0(z) F0(z) =

_ 2gî'0)2(l-/3)co3?>et'? S (ß, g>) on obitent

-, rF'olr) rcos(œ+w) —r2cosœ „ „

(2,5) Rez x = 1+2(1—/î) cos ?>• ———-— --- où 0 = y F0{.r)

De (2,1) on tire

zF'(z) (2,6) min Be - - v 7

F,S(fi.v) F(z)

l + r2 —2rcos^

1 — r2 +2r (1 —ß)cos(p(rcos<p —1)

1-r2 |»| = r

9>

Dans (2,5) on peut choisir 0, jusqu’ici arbitraire, de telle manière que el second membre de (2,5) soit égal au second membre de (2,6). Pour cela, on résout l’équation:

(2.7) l+2(l-flcoS?î^±rh±^

l + r2—2rcosy

1 —r2+2r(l — /JJcosç+rcosç;— 1) 1-r2

Dont on tire, après des transformations simples, bien que pénibles, l’équation:

(2.8) -j/lrTtgj) -# où »-tg|

D’où

(2.9) = 2arctg^-^ctg-^J

ce qui achève la démonstration du premier cas pour la fonction F0(z), 0 =V-

(4)

94 Filip Franciszek Jabłoński et Andrzej Wesołowski

Pour démontrer le second cas il suffit, comme précédemment, d’égaler les seconds membres des égalités:

rF'a(r) , rcos(œ + f) — Г2 COS 09

(2,10) Ее

°, J-

= 1 +2 (1 -ft)cosy et

(2,H) zF (z)

max Be ■ — F (z)

1 — r2— 2rcosç>

1 — г2 +2r (1 — fi) cos <p (r cos <p +1 )

~Г-г2

0 = t

|z| = r que l’on obtient de (2,1). De même que dans le premier cas, on en tire l’équation

(2,12) où tg t

2 = X

(2,14)

Par conséquent

(2,13) t = 2 arc tg ctg .

ce qui achève la démonstration du second cas pour la fonction F0(z), 6 = ip.

Lemme 3 [2]. Soit p(z)ep, ze Kr, 0 < r < 1. Pour tout nombre complexe y, Be?? > 0, on a la limitation

______________________ I I — f*2r (1 r)[l+ r + (l —rjBerç] ’ 11

Théorème 1. Si f(z)eC(y,ji,y,(p), le rayon r0 de convexité dans cette classe est la plus petite racine positive de Véquation:

(2,15) (1 -21) [2 (1 -ft) cos2<p -l]r3 - {1 -2 (1 -/3) [cos2ç> -

— (1—2Â)cos<p]+2(l—Â)}r2 — [1+2(1— ft)cos<p]r+l = 0 sp'Çg)

p(z)+»/

La fonction extrémale est de la forme :

(2,16) /o(») = f---

1- 1 —— ----

dz, J (1 -ze,'v)2(1-«cos’,e ’tl _2Â)]

pour 0 = ip, où ip est défini par la relation (2,9).

Démonstration. La définition (1,3) de la classe des fonctions С (1, y, ft, (p) implique que

zf'tz]

- = е’у(1 — l)cosyp(z) + ei7(2cosy — ïsiny)

(5)

Sur une famille de fonctions holomorphes ... 95 Prenant les logarithmes et dérivant par rapport à z on a:

(2,16') Donc (2,17)

*/"(*) /'(*)

«J1'(») «P'(»)

1-2 tgy-

min Ee

J1 (2) p (2)+^’ )j = 1-2 — I

*/"(*))

> min Ee 1 zF'(z)\

— max zp'(z) /'(*) J F'g(P,q>) E(2) / ptp P(?)+ri

r2 + 2r (1 — ß) cos p (r cos ep — 1 )

1-r2 I2I = r < 1

ce qui résulte directement de (2,1).

Du lemme 3 on tire, en posant Ee?;

1-2 max 2p'(2) 2r(l—2)

I2I = r < 1.

p<p p(z)+r) (1 —r)[l + r(l—22)] ’

En tenant compte des deux dernières inégalités et de (2,17) on obtient:

<2’18) Ke(1+7w)

1 —r2+2r(l — ß)cos(p(rcos<p— 1) 2r(l2)

(1 —r)[l + r(l—22)] |2| = r < 1.

Il en résulte, en réduisant au même dénominateur, que dans le cercle Kr les fonctions de la classe <7(2, y, /?, 99) sont convexes, r0 étant la plus petite racine positive de l’équation (2,15). Nous allons maintenant prouver que r0 est le rayon de convexité dans la classe considérée. Pour cela il suffit de montrer que la fonction (2,16), qui appartient àlaclasse C(2, y, q , <p), ne peut être convexe dans un cercle de rayon plus grand que r0. De (2,16) on tire

2/0'(2) zp'0(z)

(2,19)

/ô(*) Eo(2)

Po(«) + 1-2

_ zeiO)2(l-p)coBq>e La définition de la fonction p(z) entraîne

e £(/S, <p), Po(») = y1+z

(2,20) rp^(r) 2r(l—2)

Po(r) +

(1 —r)[l +r(l—22)]

1-2 1 +

/#F(*)K 1

\ F(z) K

<

1+

FoW =

(6)

96 Filip Franciszek Jabłoński et Andrzej Wesołowski

En tenant comte du lemme 2 et des formules (2,19), (2,5), (2,6), (2,7), (2,9), et (2,20) on obtient pour la fonction /0(s):

= min Be max

ptp

«P'W

c’est-à-dire

(2 21) BeVl r^'^\ = l-r2+2r(l-l)cosp(rcosy-l)

\ ' 1-r2

2r(l-A)

“ (1 —r)[l+r(l—2A)]

En réduisant le second membre au même dénominateur on voit que le numérateur est le premier membre de l’équation (2,15), par conséquent sur le cercle |»| — r0 on a

Ee 1 + rfÿ(r)\

f0(r) I = 0 pour r = r0.

Donc r0 est bien le rayon de convexité dans la classe C (A, y, /?, ç>) ce qui achève la démonstration du théorème 1.

Nous établirons maintenant une limitation de la dérivée dans notre classe.

Théorème 2. Si /(«) e C(2, y, fi, (p), on a pour ze Kr, 0 <1 la limitation exacte:

_ j.j(l-^(l-cosç>)cosç,+ l (2j22) ^_>,)(i-/3)(i+c°Sçi)cosç[p_|_r(i_21)]

(1 - ^-(i-Wi+oosrlcow.-i [1 + r (1 _2A)]

(y r)(l-/»)(l-CO8y)C0S9>

où la fonction extrémale est (2,16).

Démonstration. Soit f(z) e(7(2, y, p, (p). On sait que

„|l+£Ü>|

1 /'(*> I = 1+r-log|/'(2)|, z = reiv, 0 < T < 2n, 0< r <1 or

et

min \ / (*) / \ / (S) Z

< max Be

/).»>)

(i + £V)\

\ /'(*> /

(7)

Sur une famille de fonctions holomorphes ... 97 En outre, la relation (2,16)' entraîne directement les inégalités

min Ee

f'CV.Y.P.r)

max Ee d’où l’on tire:

/i+îŒ)

\ /'(») /

I /'(*) I

min Ee

F'S(ß,v)

+ max Ee

F'$(ß.<p)

[zF’(z)\

\ F& ) /zF'(z)\

\ F(z) I

— max pcP +maxpcP

P^)+V ZP'(*) PW+1J

(2,23) min Ee/gF'(z)\

\ F(z) / max

p<P

gp'(g)

p(z)+y < 1 + r dr logl^^)l s.F'(«)

< max Ee — +max

F'S(ß.<p) F(z) pip

zp’M p(g)+y En tenant comte de (2,6), (2,11) i (2,14) on obtient de là:

2(1-Wco8y^?.-1--- ____________ <Ai„gir(,)i l-r* (1 - r)[l + r(l-21)] dr SIJ 1 ”

< 2(W)cos,»i 2(1-2)

(l-r) [l+ r(l—22)]

Intégrant dans l’intervalle <0,r> on obtient la limitation (2,22). La dé­

monstration précédente montre directement que (2,16) est la fonction extrémale si l’on tient compte respectivement des égalités (2,9) et (2,13).

3. Dans cette partie de notre travail nous déduirons, comme cas particuliers, quelques corollaires du théorème 1.

Corollaire 1. Si f(z) e 0(2, y, fi, 0),f(z) est une fonction convexe dans Kr<), où rQ est la plus petite racine positive de Véquation:

(12/?)(l —22)r3—(362+42/?)r2 +(2/î—3)r+1 = 0 La fonction extrémale est la fonction

ï (l+^ù-^[1 + 2(1-22)]

Ce résultat a été obtenu en 1964 par E. Libéra [3].

Corollaire 2. Si f(z)eC(O,y,(},<p), f(z) est une fonction convexe dans Kr<), où

(1 — /?)cos<p+l— /(1— j?)(2 — /?cos<p)cosç>+2 T° 2(1 -jS)CO8aç>-l

est racine de Véquation:

[2(1—/?)cos2ç>—l]r2—2[(1 —/î)cosç>+l]r+l = 0

T — Annales

(8)

98 Filip Franciszek Jabłoński et Andrzej Wesołowski Ce résultat est exacte pour la fonction

1-z dz

si l'on pose zel6 — re'v, p étant défini par (2,9).

Corollaire 3. Si f(z)eC(c,y,0,p), f(z) est une fonction convexe dans Kr<), où r0 est la plus petite racine positive de l'équation:

r3(l —2A)cos2ç>+[cos2<p—2(1 —2A)cosç>—2(1 —A)]r2 —(2cosç9+l)r+l = 0 Ce résultat est exacte pour la fonction

/»(«) = ---j---dz J (l-ze*’)2008*’ ^[1 + 2(1-21)]

si l'on pose ze'° = retv, p étant défini par (2,9).

Corollaire 4. Si f(z)eC(P,y,p,p), f(z) est une fonction convexe dans Kr0, où r0 est la plus petite racine positive de l'équation :

(1 —2/5) [2 (1 —/3)cos2<p —l]r3 — [1 —2 (1 —/3) (cos2ç) — cos<p + 2/3cosç> —l]r2

— [1 —2(1 —/J)cosç>]r+1 =0 La fonction extrémale est la fonction (2,16) avec  = p. En posant encore 2 = p = 0, on obtient:

1 + cosç)—Vl +2 COS99 + sin2çj

’"o = cosz2ç9

et, si A — p = 0 et p = (),»•„ = 2-/3, la fonction extrémale étant la fonction de Koebe f0(z) = --- -2-.

(!+«)

Corollaire 5. Si f(z)eC(|, y, j, 0), f(z) est une fonction convexe dans K 0, où r0 = v2 —1. La fonction extrémale est

fo(?) =

—«+21n(l+«).

Corollaire 6. Si f(z)eC(0, y, P, 0), la fonction f(z) est convexe dans

Kr„, où ________

2-p-]/pi-2p+S

’° ~ 1—2/3

pour p = I, = j. La fonction extrémale est la fonction (2,16) avec A = 0 et p = 0.

(9)

Sur une famille defondions holomorphes ... 99 RÉFÉRENCES

[1] Bazilevié, I. E., Обобщение одной интегральной формулы для подкласса однолистных функций. Матем. сб. 64 (100): 4, 628-630.

[2] Libera, R., Some radius of convexity problems. Duke Math. J. 31 (1964), 143-158.

[3] Spaôek, L. Pfispivek k teorii funkci prostych. Câsopis Pest. Mat. a Fys. 62 (1932), 12-19.

STRESZCZENIE

W pracy tej zdefiniowano klasę funkcji f(z) = z + b2z2 +..., holo­

morficznych w Jfj i spełniających warunek:

Reie-*’'-^-^-} > Acosy, 0<A<l l J

— — < y < F(z)e , <p). Klasę tę oznaczono przez C(A,y,/9,ę>) 2 2

W zdefiniowanej klasie znaleziono dokładny promień wypukłości, do­

kładne oszacowanie modułu pochodnej od góry i od dołu oraz podano funkcję ekstremalną.

РЕЗЮМЕ

В работе определен класс функций /(г) = г+Ь2г2 + ..., голо­

морфных в и удовлетворяющих условию Асову, 0<А<1,

Этот класс обозначен через С(А, у,/?, ?>). В определенном классе установлены точный радиус выпуклости, подробная оценка модуля производной сверху и снизу, а также экстремальная функция.

(10)

UNIWERSYTET MARII CURIE-SKŁODOWSKIEJ

*

Nakład 750 egz. Ark. wyd. 8.

Ark. druk. 6.25. Papier druk. sat.

kl. III80 g. Oddano do składania 20 V 1971 r. Druk ukończono

w lipcu 1972 r.

Zam. nr 654/71

* WROCŁAWSKA DRAKARNIANAUKOWA

(11)

ANNALES

U N I V E R S IT AT I S MAKIAE C U K I E-S K Ł O D OW S K A

VOL. XIX SECTIO A 1965

1. Z. Bogucki: On a Theorem of M. Biernacki Concerning Subordinate Functions.

O twierdzeniuM. Biernackiego dotyczącym funkcji podporządkowanych.

2. Z. Bogucki and J. Waniurski: On a Theorem of M. Biernacki Concerning Convex Majorants.

O twierdzeniu M. Biernackiego dotyczącym majorant wypukłych.

3. R. M. Goel: On the Partial Sums of a Class of Univalent Functions.

O sumach częściowych pewnej klasy funkcji jednolistnych.

4. F. F. Jabłoński et Z. Lewandowski: Caractérisation de certaines classes de fonctions holomorphes par la subordination modulaire.

Charakteryzowanie pewnych klas funkcji holomorficznych w terminach podporządkowania modułowego.

5. Z. Lewandowski: On some Problems ofM. Biernacki Concerning Subordinate Functions and on some Related Topics.

O pewnych zagadnieniach M. Biernackiego dotyczących podporządko­

wania funkcji i pewnych problemach pokrewnych.

6. Z. Lewandowski and J. Stankiewicz: On Mutually Adjoint Close—to Convex Functions.

O wzajemnie sprzężonych funkcjach prawie — wypukłych.

7. J. Stankiewicz: Some Remarks on Functions Starlike with Respect to Symmetric Points.

Pewne uwagi o funkcjach gwiąździstych względem punktów symetrycz­ nych.

8. M. Maksym: Relations entre les plans oscillateurs orientés de 15 types.

Zależności między zorientowanymi płaszczyznami ściśle stycznymi 15 typów.

9. M. Maksym: Les familles d’éléments plans P(M), généralisation des plans oscillateurs d’une courbe.

Rodziny elementów płaskich P (JM), stanowiących uogólnienie płaszczyzn ściśle stycznych krzywej.

10. M. Maksym: Sur la continuité des paratingensplans osculateurs d’une courbe.

O ciągłości paratyngensów płaszczyzn ściśle stycznych do krzywej.

11. J. Sowiński: Sur la congruence des surfaces dans lespace équiaffine.

O przystawaniu powierzchni w przestrzeni ekwiafinicznej.

12. D. Szynal: Certaines inégalités pour les sommes de variables aléatoires et-leur application dansl’étude de la convergence de séries etde suites aléatoires.

Pewne nierówności dla sum zmiennych losowych i ich zastosowanie w badaniu zbieżności szeregów i ciągów losowych.

(12)

Biblioteka Uniwersytetu MARII CURIB-SKŁODOWSKIBJ

w Lublinie

ANNALE!

U N IVER S I TAT I S MARIAE

VOL. XX SECTIO A

ei

CZASOPISMA

1. G. Labelle: On the Theorems of Gauss-Lucs

1967

O twierdzeniach Ganssa-Lucasa i Gi 2. F. Bogowski, F.F. Jabłoński, et J. Stanli

etinégalités des modules pour certaines classes de fonctions holomorphes dans le cercle unité.

Podporządkowanie obszarowe a nierówności modułów dla pewnych klas funkcji holomorficznych w kole jednostkowym.

3. J. Chądzyński and J. Ławrynowicz: On Homeomorphisms and Quasi- conformal Mappings Connected with Cyclic Groups of Homographies and Antigraphies.

O homeomorfizmach i odwzorowaniach quasi-konforemnych związanych z grupami cyklicznymi homografii i antygrafii.

4. Z. Lewandowski and J. Stankiewicz: On the Region ofVariability of log/'(z) for some Classes of Close-to-convex Functions.

Obszar zmienności log/' (z) w pewnych podklasach funkcji prawie wy­ pukłych.

5. J. Miazga, J. Stankiewicz and Z. Stankiewicz: Radii of Convexityfor some Classes of Close-to-convex Functions.

Promienie wypukłości pewnych podklas funkcji prawie wypukłych.

6. J. Stankiewicz: Quelques problèmes extrémaux dans les classes des fonctions a-angulairement étoilées.

Pewne problemy ekstremalne w klasach funkcji a-kątowogwiaździstych.

7. J. Stankiewicz: On some Classes of Close-to-convex Functions.

O pewnych podklasach funkcji prawie wypukłych.

8. A. Wesołowski: Relations entre la subordination et l’inégalité des modules dans le cas des majorantes appartenant a la classe N (p, 0: g).

Zależność między podporządkowaniem i nierównością modułów w przy­ padku majorant należących do klasy N (p,0,q).

9. A. Z murek: Sur les relations entre les plans oscillateurs à ^-dimensions d’une courbe dans l’espace euclidien à «.-dimensions.

Zależności między fc-wymiarowymi płaszczyznami ściśle stycznym krzywej w przestrzeni euklidesowej «.-wymiarowej.

Adresse:

UNIWERSYTET MARII CURIE-SKŁODOWSKIEJ BIURO WYDAWNICTW

LUBLIN Plac Litewski 5 POLOGNE

Cytaty

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