• Nie Znaleziono Wyników

Continuité modulaire des fonctions d’un sous-espace d’Orlicz (I)

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Share "Continuité modulaire des fonctions d’un sous-espace d’Orlicz (I)"

Copied!
9
0
0

Pełen tekst

(1)

ANNALES SOCIETATIS MATHEMATICAE POLONAE Series I: COMMENTATIONES MATHEMATICAE XXVIII (1989) ROCZNIKI POLSKIEGO TOWARZYSTWA MATEMATYCZNEGO

Séria I: PR ACE MATEMATYCZNE XXVIII (1989)

M a m a d o u b a T o u r e (Conakry, Guinee)

Continuité modulaire des fonctions d’un sous-espace d’Orlicz (I)

Résumé. Dans le présent exposé, nous nous proposons de généraliser certaines conclusions obtenues par A. Kamiriska dans [2].

1. Introduction. Soit E un espace euclidien de dimension finie et de norme |-|. Nous supposerons que E est muni de la mesure de Lebesgue.

Soit T une partie Lebesgue-mesurable de E. Désignons par I la a- algèbre des parties Lebesgue-mesurables de T.

Soit (us( ))ses une famille de fonctions définies sur T, à valeurs dans [0, + 00 ), Lebesgue-intégrables sur T et dont les indices s décrivent un en­

semble abstrait.

Pour toute partie Г -mesurable A de T, posons fi (A) = sup fis{A)

seS

où, pour tout s e S,

l * s { A ) = { a s ( 0 d t . A

De toute évidence, fi sera une sous-mesure non négative, complète et non atomique sur Г.

Désignons par N l’ensemble des entiers positifs.

Supposons qu’il existe une suite (7J) de parties Г-mesurables de T telles 00

que, pour tout ie N , ц(%,) < +oo, Tt <=^Ti+1 et que T = [j Tt.

i = 1

Supposons, par ailleurs, que pour tout ie N , pour toute suite (A„) de

00

parties Г-mesurables de Th telles que A„ zd A„+1 pour tout n e N et П An n — 1

= 0 , nous avons

lim fi(A„) = 0.

И -► 00

Soient X un espace réel séparable de Banach, de vecteur nul в et J 1 la <r-

algèbre des parties boréliennes de X.

(2)

362 M a m a d o u b a T ou re

1.1. D

é f i n i t i o n

. Une fonction q>\ X x T -+[0, + o o ) sera appelée une q>- fonction, s’il existe une partie Г-mesurable T0 de T, de mesure ц{Т) = 0 et

telle que:

(i) (p(9, t) = 0, pour tout t e T — T0;

(ii) (p{ — x, t) = (p(x, t) pour tous x e X et t e T —T0;

(iii) q>(ux + üx, t) ^ u<p(x, t) + ü(p(x, t), pour tous x, x e X , u , û ^ 0 , м + м = 1 et t e T — T0;

(iv) la fonction x^>(p(x, t) est continue sur X, pour tout t e T —T0;

(v) la fonction (x, t) -><p(x, t) est x ^-mesurable.

Seront d’importance les conditions suivantes:

( + ) Pour toute partie Г -mesurable A de T, de mesure (x{A) < +oo et tout x e X

v(/l) = sup I”as(t) cp(x, t)dt < + oo.

seS A

(+ + ) Pour tous x eX, e > 0, il existe S > 0 tel que, pour toute partie Г- mesurable A de 7^ de mesure ц(А) <ô, v(A) < e.

Désignons par M(T, Z) l’espace vectoriel de toutes les fonctions t ->x(t), définies sur T, à valeurs dans X et Г-mesurables.

Pour toute ^-fonction q>, la relation

( 1 ) (*(•)) = sup J'as(0<p(*(f)> t)dt

se S T

introduit un pseudomodulaire convexe sur M ( T ,X ) (cf. [3]).

Notons

I?0(T, X) = {x(-)eM(T, X): ^ (x (-)) < +ooj,

LT {T, X )= (x(')eM (T, X): 3 a > 0 , ^{ax(-)) < + oo}.

LT (T, X) est l’espace modulaire correspondant au pseudomodulaire con­

vexe (1): c’est un espace généralisé d’Orlicz (cf. [3]).

Remarquons que la relation

(2) ||x(-)IU = inf \u > 0: &Д*(-)/м) < *}

introduit une norme sur IT {T, X).

Pour toute partie A de T et pour toute h e T, posons A ± h = {t±h: t e À \

et pour toute fonction x( )eM (T , X)

+ si t e T n ( T - h ) ,

h (0, ailleurs.

(3)

Continuité modulaire des fonctions d'un sous-espace d'Orlicz (/) 363

Pour toute fonction x ( ) e M ( T , X ), pour tous heT, <5 > 0, posons (3) £(„,*)И*)) = 6*(**(')) = SUP .f as(t)(p(x(t + h), t)dt

seS Т Ы Т - И )

et

(4) "b (*(•)) = sup e(<M) (*(•)) •

\h\^ô

Les relations (3) et (4) définissent des pseudomodulaires convexes sur M(T, X ) et les relations

1И-)Н(*,л) = inf lu > 0: Qi<p,h ) ( x ( - ) / u ) < 1 j,

||x(-)lb = inf lu > 0: ms(x (‘)/u) < 1 î, des semi-normes sur les espaces modulaires correspondants.

Pour toute fonction x (-)e M (T ,X ), pour tous h e T et S > 0, nous devons avoir

||x(-)lb = sup ||x(-)||(V,w.

\h\^ô Sera d’importance la définition suivante:

1.2. D

é f i n i t i o n

. Une fonction x ( ) eIf{T, X) sera dite g^-continue si, pour tous a > 0, e > 0, il existe <5 > 0 tel que, pour tout h e T, \h\ < <5, nous avons

IM *)-x(-)ll* <«•

Désignons par EV(T, X) la fermeture dans I f (T, 2Q, au sens de la norme (2), de l’ensemble de toutes les combinaisons linéaires des fonctions de la forme x x a ( ‘),

o u

x e X et X a ( ) e s t l a fonction caractéristique d’une partie X- mesurable A de 7^ de mesure p(A) < + 00 .

2. Résultats.

2.1. L

e m m e

. Si une (p-fonction q> satisfait à la condition ( + ), alors, il existe une suite (x„(-)) de fonctions simples, telles que x n( ) e L 0(T, X) pour tout n e N et que, pour tout t e T, l'ensemble des valeurs x„(t), neN, soit partout dense dans X.

D é m o n s tra tio n . Soit (Xj) une suite partout dense dans X; Pour tous i , j e N , t e T, posons

Xij(t) = XjXrft)

où ( f ) est la suite des parties de T, introduite plus haut.

En vertu de la condition ( + ), pour tous i , j e N , nous avons бЛхи(')) = SUP I' as{t)(p{xj, t)dt < +oo

se S n

Commentationes Math. 28.2

(4)

3 6 4 M a m a d o u b a T ou re

i.e. хи {‘) £l?0(T, X). Par ailleurs, pour tout teT, il existe i0 e N tel que te T iQ: alors xt j{t) = Xj, pour tout j eN, il suffit de poser x„{t) = xinj n{t) où ((in, j n)) est la suite de tous les couples d’entiers positifs, pour avoir la conclusion du lemme.

2.2. L

e m m e

. Soit (pSt„)snlsN une famille de mesures non négatives, définies sur I telle que, pour tout n e N, pn = sup psn représente une sous-mesure non

seS

atomique. Soi (y„(-)) une suite de fonctions non négatives, définies sur T, telles que, pour tous ne N, e > 0, il existe <5 > 0 tel que, pour toute partie X- mesurable A de T, de mesure pn(A) < ô, nous ayons

sup |'y„(t)dpS'„(t) <£,

seS A

et que, pour tout n e N,

sup f y„(t)dps>n(t) ^ 2"-<xn

seS T

où (a„) est une suite de nombres réels non négatifs.

Alors, il existe une suite strictement croissante (nk) d’entiers positifs et une suite (Ak) de parties X-mesurables mutuellement disjointes de T, telles que, pour tout к e N

sup f ynk(t)dpSt„k(t) = <x„k.

seS À k

D é m o n s tr a tio n . Ce lemme s’établit de la même façon que le lemme 1.3 de [1].

2.3. T

h é o r è m e

. Si une tp-fonction satisfait aux conditions ( + ) et (+ + ) , seront équivalentes les conditions suivantes:

(I) Toute fonction x {•) e E9 (T, X) est g^-continue.

(II) Il existe une partie X-mesurable T0 de T, de mesure p(T0) = 0, des constantes к > 1 et 3 > 0 telles que, pour tout h e T, \h\ < ô et tout s e S, il existe une fonction non négative t ~+fh,s{t), X-mesurable sur T, telle que, pour tous x e X , s eS, h e T, \h\ < ô et t e ( T —T0) n(T+h), nous ayons

(5) as (t — h)(p (x, t - h ) ^ a s (t) q> (kx, t) + f Ks (t)

sup sup f f h s (t)dt < + o o .

|Л|^<5 seS T r i ( T + h)

(III) Il existe des constantes positives K et ô telles que, pour toute fonction x (-)e E * (T ,l0

(6) ||X(-)IU ^ X||x(-)IU-

(5)

Continuité modulaire des fonctions d'un sous-espace d'Or liez ( I ) 365

D é m o n s tra tio n . Nous allons établir les implications consécutives suivantes: (II) => (III) => (I) (II).

(II) => (III). Supposons que la condition (II) ait lieu et que d = sup sup f fh,s(t)dt > 1-

|/i|$<5 seS T n ( T + h)

Alors, pour toute fonction x ( ) g £ </>(T, X ), tout heT, \h\ ^ ô, de l’inégalité (5), nous pouvons avoir

0 (*, a )(OAO*(-)) < в А кх ('■))+1- Par conséquent

mô((l/d)x(-)) ^ e„(foc(-))+l.

Ce qui nous permet d’avoir

||x(-)||a < 2 M ||x (-)||,.

Il suffit, alors, de prendre K = 2kd, pour avoir l’inégalité (6).

Pour d 1, la conclusion est triviale.

(Ill) => (I). Supposons qu’ait lieu la condition (III) i.e. pour toute fonction x(*) eE^iT, X) ait lieu (6).

Prenons une fonction x ( ) e M ( T , X) de la forme

m

0) x(t) = X XiXAiit), t e T,

i = 1

où, pour tout i = 1 ,2 ,..., m, xt eX , ц(А{) < +oo et At n A} = 0 pour i Ф j.

Pour tous heT, t e T n (T + h ), nous aurons

m

xh {t) = X x a Ai-h(t)- i= i

Pour tout a > 0, il vient m

0 * ( e ( * * ( ■ ) - * ( • ) ) ) < Z SUP J as(t)<p(am\Xi\,t)dt i= 1 seS (Ai-h)âAi

où (А( —h) A Ai est la différence symétrique des ensembles A( — h et At. Soit e un nombre positif arbitraire. En vertu de la condition (+ + ), il existe <5 > 0 tel que, pour tout heT, \h\ ^ ô et pour tout i = 1, 2, ..., m, nous avons

sup J as(t)(p(am\Xi\, t) < e/m.

seS (A i~ h ) A A i

Par conséquent, pour tout heT, \h\ ^ <5, nous aurons

• )- * (') )) < e.

(6)

366 M a m a d o u b a T ou re

Nous avons ainsi établi que toute fonction x ( ) e M ( T , X ) de la forme (7) est ^-continue.

A présent, prenons une fonction quelconque x ( ) e E ( T , X ) et un nombre positif arbitraire г. En vertu de la définition de ^ ( T , X) il existe une fonction x(-), x ( ) e M ( T , X) de la forme (7), telle que

(8) ||x(-)-3c(-)IU < e/3 m ax (l,K ).

Pour tout h e T, \h\ ^ ô, des inégalités (6) et (8) il résultera que

(9) l|Xfc(')-*fc(*)ll* < £/3-

Par ailleurs, puisque la fonction x ( ) est -continue, il existe <50 > 0 tel que, pour tout heT, \h\ ^ ô0, nous avons

(10) ll*„(-)-*(-)IU <e/3.

Des inégalités (8), (9) et (10), il résultera que, pour tout heT,

\h\ ^ min(<5, S0), nous avons

I M - ) - x (Oil* ^ llxh(-)-Xh(-)ll<p + llxJ-)-x(-)H<p + llx(-)-x(-)llç) < s.

Ce qui établir que la fonction x ( ) est ^-continue.

(I) => (II). Pour tous n e N, s e S, posons J S (t)

C sup {as(t — h)<p(x, t — h) — as(t)(p{n2n x, t)}, si t e T n(T + h),

_ ) x e X

[ 0, ailleurs.

Envisageons la condition suivante:

(IV) II existe n0 e N tel que

sup sup f f ^ so)(t)dt

<

4

-

0 0

.

|fc|« 2-n0 se5 T

Remarquons que la condition (IV) implique la condition (II).

A présent, nous allons supposer que la condition (II) n’ait pas lieu mais que toute fonction x ( - ) e F ( r , X) soit -continue. Nous en déduirons que la condition (IV) ne peut être vérifiée: par conséquent, pour tout ne N, il existe hneT, \hn\ ^ 2~”, tel que

(11) sup ifh"ls(t)dt>n.

seS T

Depuis le lemme 1.2 de [1], pour tous n e N , seS, nous avons / $ ( 0

f sup {as( t - h n)(p(xk(t), t - h „ ) - a s(t)(p(n2nxk(t), f)}, si te T n (T + h „ ),

0, ailleurs.

(7)

Continuité modulaire des fonctions d'un sous-espace d'Or liez (/) 367

où (xk(-)) est la suite des fonctions simples du lemme 2.1.

Pour m, neN, s e S, posons ( 12 ) FÇ J’W

r max {0, a jr -h jc p (2 ~ " xk(t), t-h „ )-a jl)(p (n x k(t), ()},

= < si t e T n(T+h„), к = 1, 2, ..., m,

L 0, ailleurs.

Remarquons que pour tous ne N , seS, t e T n ( T + h „) et pour m ->oo, nous avons

(13) n : ? ( t ) s f C ( t ) -

Mais, en vertu de (11), il existe s0 eS tel que, pour tout n e N j,f$ s0(t)dt > n.

T

Depuis (13), pour tout ne N , nous pouvons alors choisir mne N tel que (14)

T

Pour tout neN , posons

Bn,k = \ t e T n { T + h n)\ as( t - h n)(p(2~nxk( t ) ,t - h „ ) - a s(t)(p(nxk(t), t)

= F[m nf ( t )1

où к = 1, 2, ..., m„ et seS.

Pour tout neN , notons

*1 (t), si t e B nA, к- 1

xk(t), si t eBnk— (J BnJ, /с = 1 ,2 ,..

7=1 -, m„,

o, ailleurs.

En vertu de la condition ( + ), pour tout neN , nous avons x„(-)еН0{Т, X). Par ailleurs, par construction, nous aurons

(15)

= \as( t~ h n)(p(2~nx n{t), t - h n) - a s(t)(p(nx„(t), t), si t e T n { T + h n),

(0, ailleurs.

Pour tout neN , posons

y„(t) = (p(2 nxn(t), t - h n), 0 ,

si t e T n(T+h„),

ailleurs.

(8)

368 M a m a d o u b a T o u re

Depuis (14) et (15), pour tout neN, il vient sup [as(t — h„)yn{t)dt > n.

seS T

En tenant compte de la condition (+ + ), nous pouvons alors appliquer le lemme 2.3 avec, pour tous s e S, n e N

VsAA) = $as( t - h n)dt.

A

Nous en déduisons qu’il existe une suite strictement croissante (nk) d’entiers positifs et une suite (Ak) de parties Z-mesurables, mutuellement disjointes de

T, telles que pour tout k e N , Ak c T n { T + h „ k) et

(16) sup f as(t-h„k)(p(2~nkxnk(t), t-h „ k)dt = 2~4 nk.

seS A k

Considérons la fonction

00

Ш = Z *nk(t)XAk (t)

fc = 1

) est la fonction caractéristique de tout ensemble Ak.

Soit a une constante positive arbitraire: nous allons choisir к suffisam­

ment grand tel que nk > a. Par ailleurs, depuis (12), nous avons as{ t-h j( p (2 ~ nx„(t), t - h n) ^ as{t)(p(nxn(t), t) pour tous seS, neN , t eTn(T + h„).

Posons

xm(t) = Z xnk(t)XAk(t), t e T, fe= i

où m est un entier positif quelconque.

Depuis (16), nous pouvons avoir

&Да(*(-)-*т(-))) < Z SUP J 00 as(t)(p(nkx nk{t), t)dt Л = т+ 1 Afr

oo

< £ sup f as ( t - h„k) <p (2~4 x„k (t), t - h„k) dt fc= m+ 1 seS Afç

^ f « J 2 - K

к = m + 1

Nous en déduisons que х(*)е£*(Г, X).

Mais, nous allons établir qu’une telle fonction ne peut être q 9--continue.

En effet, soient a et S des constantes positives arbitraires: nous allons choisir

deux entiers positifs i et k0 tels que a > 2 ~ \ \h„k\ < <5 et nk — i ^ l pour

(9)

Continuité modulaire des fonctions d'un sous-espace d'Orlicz (I) 369

к ^ k0. Par la convexité de (p, depuis (16), nous pouvons avoir (*(')) ^ sup f as( t - h nk)q>(axnk{t), t-h „ k)dt

ses Ak

> 2"fc~'sup f as{t-h„k)(p(2~nkx nk{t), t-h „ k)dt = 2~l nk.

ssS Afc

En définitive, ||x(-)||(5 = + o o : la fonction x ( ) ne peut alors être ^-continue.

Contradiction.

Références

[1] A. K a m in sk a , O n c o m p a r is o n o f O r lic z s p a c e s a n d O r lic z c la ss e s, Functiones et Approx.

11 (1981), 113-125.

[2] —, O n s o m e c o m p a c tn e s s c r ite r io n f o r O r lic z s u b s p a c e E 0 (Q ), Comment. Math. 22 (1981), 245-255.

[3] J. M u s ie la k , W. O r lic z , O n m o d u la r s p a c e s , Studia Math. 18 (1959), 49-65.

Cytaty

Powiązane dokumenty

Dans le cas particulier où /(z) est holomorphe et ne s’annule pas, le théorème sur la dérivée logarithmique montre aussi qu’inverse- ment T(f) ne croît pas sensiblement plus

Désignons encore par 8C, S*, K, K, S**, 8* les sous — classes de fonctions $ ou T qui représentent le cercle unité respectivement sur des domaines convexes, étoilés,

2° Considérant l’équation (1) dans le domaine des fonctions à valeurs dans un espace convenable de suites convergentes, nous obtenons, comme conséquence des théorèmes

Dans ce travail nous nous occupons de problèmes étroitement liés au travail [1], c’est — dire des relations entre la subordination en domaine et en module des fonctions f(z) et

Dans le cadre de cet article, nous nous proposons d’analyser la peur par le biais, cette fois-ci, de l’analyse des traductions du grec vers le français mais aussi à travers un

Nous nous proposons de présenter le fonctionnement de ce master dans le présent volume intitulé: Enseignement/apprentissage des sous-sys- tèmes des langues romanes, car

Soit X un r´ etracte absolu de voisinage topologiquement complet dans lequel tout Z-ensemble est un Z-ensemble au sens fort , et soit Y un sous-espace de X tel que X \ Y soit

D ugue, Arithmetique des lois de probabilites,