• Nie Znaleziono Wyników

Les polynômes de Faber dans les familles compactes de fonctions univalentes bornées

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Share "Les polynômes de Faber dans les familles compactes de fonctions univalentes bornées"

Copied!
10
0
0

Pełen tekst

(1)

ANNALES SOCIETATIS MATHEMATICAE POLONAE Series I: COMMENTATIONES MATHEMATICAE X X (1977) ROCZNIKI POLSKIEGO TOWARZYSTWA MATEMATYCZNEGO

Séria I: PRACE MATEMATYCZNE X X (1977)

J. S

ladkowska

(Gliwice)

Les polynômes de Faber dans les familles compactes de fonctions univalentes bornées

Soit F T1 0 < T < 1, une famille de fonctions holomorphes et uni­

valentes dans le cercle unité TJ = {z: \z\ < 1} de forme

( 1 ) . / ( « ) = M + . . . ,

remplissant les conditions

(a) |/(«)| < 1 pour 0 e TJ,

<P)

h > T .

Ces familles ont été introduites par Z. Charzynski dans [1].

La famille F T, contrairement à la famille Sx de fonctions univalentes de la forme (1), remplissant uniquement la condition (a), est compacte au sens de la convergence presque uniforme. Si donc 0 ( f ) est une fonction­

nelle définie et réelle au moins pour les fonctions f e F T et continue dans F T, alors il existe au moins une fonction f TeFT telle que

0 { f T) = вирФ(/).

feFji S o i t P o s o n s

u — v

(2) M(u,v)

= = l o g ~ —

— — - , (u, v)eU x U f { u ) - f { v )

et

(3) .N{u, v) = - log (1-/(©)/(%)), (%,v)€Ü XTJ,

où M (u , v) et N (u, v) sont des branches de logarithmes telles que, lorsque u et v tendent vers zéro, alors M ( u , v ) tend vers — LogZq, N (u, v) tend vers zéro. M(u, v) et N( u, v) sont des fonctions holomorphes des variables u , v et u , v dans le bicylindre TJ x TJ, ayant les développements

00

M ( u , v ) = ^ amnumvn

(

4

)

(2)

et

■OQ

(5) N { u , v ) = £ bmnUmVn-

m,n= 1

Considérons à présent deux formes

(6)

P ( x )

=

N a>mnXmXn

m,n—l

et

N

(7) Q{x) = ^ bmnxmxn, N ^ l .

~ m,n= 1

La forme (6) est quadratique, la forme (7) est une forme d’Hérmite, parce que la matrice (amn) est symétrique et la matrice (bmn) est une matrice d’Hérmite. Considérons la fonctionnelle

N

(8) 0 { f ) = Te{P(x) + Q{x)} = re{ £ (ат Л ^ п + ^ А я п},

m,w= 1

N

où a?n . . . , æ N sont des nombres arbitraires complexes, ] ? \xk\2 > 0. Cette

k=l

fonctionnelle est évidemment continue dans 8 U alors dans chaque famille F T, 0 < T < 1.

Eeprésentons maintenant les expressions (6) et (7) sous formes (9) P ( X) = - J — f f M( u,v) p( u) p(v) — - -

J J U V

Г1 Г2 et

(

10

)

Q(x) = 1

4

7Г2

f J N(Uj v)fA{u)fil{v) ri r2

du dv и v ’

/л(и)

N

У Д jj—à uj j=i et |w| = rlf 1\: |t?| = ra, 0 < < r2 < 1.

Nous constatons que la fonctionelle (8) a en chaque point f * F T la différentielle [2] de forme

(11) L{h) = re

47Г2 / / h(u) — h(v) du dv

—— — —— f*{u)n{v)--- (- f ( u ) - f ( v ) и v

+ 47Г2 / / /(^)fe(p) +f (y)h{u) 1 ~f (v )f (u)

fi{u)/i{v) du dv и

où h = h(z)eH et Я désigne la famille de toutes les fonctions h = h (z)

holomorphes dans le cercle TJ. En outre il résulte de (11) que L(h) ne

(3)

Polynômes de Faber 207

s’annulle pas identiquement en aucun point de la famille F T — par ex.

elle ne s’annulle pas pour h = f — et on voit aisément que, prise au point quelconque de la famille F T, elle s’étend à la famille linéaire G* de toutes les fonctions méromorphes dans le cercle U possédant des pôles situés tout au plus aux points de l’anneau E* = {z: r < \z\ < 1} où r — max (rx, r2). La frontière de l’ensemble E* contient la circonférence {z: \z\ = 1}

et aucun point de cette circonférence n’est pas un point d’accumulation des points essentiels [1] de l’ensemble complémentaire de E*.

On peut donc appliquer à la fonctionnelle (8) le théorème fonda­

mental (corollaire II) [2] de Z . Chaizynski et W. Janowski. Il résulte de ce théorème que si

(12) w = f = f { z )

appartenant à la famille F T est une fonction pour laquelle la fonctionnelle (8) atteint sa valeur la plus grande, alors

I. Il existe sur la circonférence {z:.\z\ = 1} un arc ouvert C tel que la fonction (12) reste analytique sur cet arc et le transforme en arc D de la circonférence {w: \w\ = 1 } .

II. On a pour chaque point zeC l’équation

<*> © 2® ( / ( ' ) ) “ ^ ï l ( ' ) ’ où

аз» ®t(w) = # Ь ( / ( а ^ ) ] + я [ и ж ) > ® ) ] - 2 $ ,

1 -f wl

(15) _ * ( " - * )

(16) E(h) = L (h) — iL (ih),

(17) JD (h) = L(7i) + iL(ib), h = h(z) = ьЩ, L(li) est la différentielle (11) au point (12),

(18) U = Min i |D [ y , { m , e - ‘“)} + i> [y (/(0 ,« "')]).

0^y<2n

C désigne ici la variable apparante de l’opération, tandis que w et z jouent dans (13) et (14) le rôle des paramétres.

III. Les fonctions (13) et (14) prennent sur {w: \w\ = l } e t {

0

: \z\ = 1}

respectivement les valeurs réelles non négatives.

IV. / ' ( 0) = T.

Y. L’équation (*) a lieu pour chaque zeE*. D ’après (16) et (17)

(19) D(h) + D(nh) = 2L(h).

j + £ [ v (C, *)/' (£)]- 2 $ ,

(14) З Д = D | y ( t , - ) / ' ( £ )

(4)

Vu (13), (14), (15), (19) et (11) les fonctions 5R(w) et 51 (s) pour \w\ = 1 et \z\ = 1 respectivement prendront la forme

(20)*

et

(

21

)

99l(w) = 2re L L .

I 4

tc

2 f f /---y r w l---7T\F f* ( w - f ( u ) ) ( w - f ( v ) ) 2w2 — --- b du dv и v 4us A r0 f f w - f ( u ) ) ( l - w f ( v ) ) 2wf(u)f(v)

< --- du dv ) ju(u)p(v) — 2^}

и v

A A

u f {u) z + u f { u ) - f { v ) e - u

+ vf'(v) z-\-v

f ( v ) - f ( u ) z - v

/Ll(u){J,(v)

du dv U V

1

Г

Г I

} ( u ) v f ' { 0 ) z + v

i n 2 1 1 h - m m г - *

f(v)uf'(u) z-\-u 1 ---du dv I --- = ---U (ад)/

1

(

0

) ---—

1 - f( v) f( u) z - u ] U V \ -2<p.

Soit à présent F m(t) le polynôme de Faber de degré m pour la fonction 1 lf(z), c’est-à-dire un polynôme de degré m tel que dans un certain entourage du point

0

= 0 nous avons le développement

(

22

)

1

0

m

oo

\ ^ s>

n = l

On sait que dans un entourage suffisamment petit du p oin t.£ = 0 oo

(23)

1 о з ( 1

-</(£)) = -

^ ~ ( F m (t) +

rnam0)Cn

d ’où

O O

/

1

\

\ '7

(24) Fm\f(z)J ~ Z ^ 2

j

mamnZ ’ m >

1

et

(25) F m( M ) = ^ ^ К п ^ п- ш а т0,

îl= 1

m >

1 .

De (22) et (24) il découle en particulier que

cmn = mamn, m , n ^ 1.

(5)

Polynômes de Faber 209

D ’autre part, en calculant ensuite la dérivée (23) par rapport à t, nous obtenons

(26) 1 - t m

O O

=

1

+ V — с и г .

j

L

u

m

Mettant dans (26) successivement t = 1/w, Ç — u, Ç = v et t — w, C = v, nous avons

(27)

(28)

(29) et (30)

w 1 1 , / 1 \

--- 7ГТ = 1 + A w — f(u) m w --- Ч \wj - » >

_ y ü y ( I L m

w —f(u) m w m\w)

m = l

w w - f { v )

wf{v)

OO

= i + У — - к Z -/ m w \wJ

l - w f ( v )

w

V — wF'm(w)vm.

m

En trouvant la dérivée par rapport à и et v et и et v, pour (4) et (6) de la même façon et en tenant compte de \u\ — r1 < r 2 = l'y], nous obtenons

(31)

(32)

(33) et (34)

uf'(u)

oo m

f . , ,, . = - J V ® j - V m ( y a mnvn)um, / ( * ) - / ( * ) f=i £ i i ' â '

, r i \ o o OO OO

- и Щ г т = Z

uf'{u)f{v)

j*=

О

П—

1 771— 0

OO oo

1 / (®)f (u) m=l n—l

U

v f ' W W 1 - f ( v ) f ( u )

oo m

= £ n ( J £ b mnunl)vn.

n = l m—l

Mettant ensuite (27)-(30) à (20) et (31)-(33) à (21), nous avons après simples calculs

(35) 9W(w) =

2

/ V ( — i — F'm(— — ^ ^ (м > )]\ - Щ

\ m ,w \w m JJ

m = l ' '

14 — Roczniki PTM — Prace Matematyczne X X

(6)

pour \w\ = 1 et

W = 1 TO= 1

V

+ re J > : ^ H- ^niïi ) 1 ~)~

m , n = * l V - l N N - k

“b I ~Ь ЬтпЯ'т+к'*'п)^ ^ ~b

A=l w=l m=l

N - l N N - k

Y V Y

" Ù I ^ ( ^ m n ^ m + k ‘^ n ~ ^ ~ ^ m n ^ m + k '^ n ) j % ! ^ >

k= 1 n= 1 m = l '

pour |г| = 1 et

V

(37) «p = Min I У /Ж ^ , / , - ie~iyF'm(e~iv) - ieiy F'm{e~iy) 0«£у<2я \ ' У \ W fïl

= Min 4

0<2/<2rc

4 2 ( m e - ^ ( e - ^ ) I J I > 0 . m=l m

Prenons en considération la fonction

N

f(y) = У - ? , И

j

\ m + - m Fnie-*)/

TO= 1 ' '

C’est une fonction réelle, continue et périodique au période 2тг ; sa dérivée

Ф (y) =

N /

2 — i e - ivF'm{e~iv) --- ieiyF m(e~iy)

m m

doit être égale à zéro pour un у0е[0, 2-л:). D ’où et de (37) nous déduisons que

(38) ф = 0 .

De plus, comme on le constate d’après (36), la fonction 9t(«) est une fonction rationnelle, ayant des pôles de degré tout au plus 2N uni­

quement aux points

0

= 0 et

0

=

0 0

. Elle est, vu III, non négative sur {z: \z\ = 1}.

En tenant compte II, (3Ô), (36) et (38) nous constatons en difinitive

que :

(7)

Polynômes de Faber 211

La fonction (12) pour laquelle la fonctionnelle (8) atteint la valeur la plus grande dans F T remplit dans l’ensemble E* и G la relation

(39) 1 xm

m i f( z) Frm(f(z) où 91(2) est la fonction décrite par la formule (37).

Comme 0 < гг < r2 < 1 sont des nombres arbitraires, alors r = m a x ^ r a ) est de même un nombre arbitraire de l’intervalle (0,1) et, par conséquent, la fonction (12) remplit l’équation (39) dans l’anneau {z: 0 < \ z \ < 1}.

Il est évident par (39) que la fonction 91(2) a dans le cercle U unique­

ment les racines de degré paire et, vu sa symétrie par rapport à la circon­

férence {

2

: \z\ = 1}, il en est de même pour les racines situées à l’exterieur du cercle TJ. Enfin les racines situées sur la circonférence {

2

: \z\ = 1}

sont paires également, car 91(2) > 0 pour \z\ = 1. Extrayant les racines des deux membres de (39), nous obtenons

(40) m 1

1

'

/(*) ^ l » /М , “ \/(*), — */(*) K i m ) = — з а д ,

m ' 4 zr

9 1

x(

2

) =

1

/

9 1

(

2

) est une fonction rationnelle, ayant des pôles de degré tout au plus N uniquement aux points

2

= 0 et

2 = 0

o. De plus, i m ^ i (

2

)} = 0 pour \z\ = 1, alors est de forme

= E

N

JV + ~t~ E0 + ... + EN' v2V

où E 0 est réelle. En comparant les coefficients à

2

1 de deux membres de (40), vu (24) et (25), nous déduisons que E 0 = 0.

En calculant ensuite l’intégrale de (40), nous avons

N

(41) V — F m

\ m \f(z)

— iEN 1

~ ~ N 2

* + • • • +

N zN + C.

D ’autre part, comme la partie singulière du premier membre de (41)

est de forme

(8)

alors le second membre de (41) est de forme

(42) >' + — zm\ + C .

N

y / &m ^ Я'т ^ Z

j

\ m zm m m—1

De pins nous constatons que imO = 0 . C’est la conséquence évidente de la condition I. Enfin nous voyons par (42), (41), (24) et (25) que

N

Bécapitulant ce qui précède, nous avons l’équation (43)

* /

2 - m Tm\f(z)

1 \ xn, _ + — F

m

N

= Y ( ^ z ~ m + - ^ - z m\ + C

X „ jL j \

m m

pour 0 < \z\ < 1.

Calculons à présent la valeur de la fonctionnelle (8) pour la fonction (12).

Posant à cet effet (24) et (25) dans (43) et comparant les coefficients de zn de deux membres de l’équation ainsi obtenue, nous avons

N

r i _ X„

Z

j

( ® m V + » m U = ---- pour 1 < П < N

,£ i П

(44) et (45)

N

X (æmamn + Xmbmn) = 0 Р0Ш> n > N -

Multipliant (44) par xn et sommant les relations ainsi obtenues pour n — 1, N, nous avons

N N .

(4 b) 0 ( f ) r e j { ^mn^m^n ~"b

П

m ,n = l n —l

Ainsi nous avons prouvé le

Th é o r è m e

1. Dans la famille F T il existe des fonctions extrémales f — f i z) pour les quelles la fonctionnelle (8) atteint sa valeur la plus grande.

1° Chacune de ces extrémales satisfait à V équation

2 ( m F Xm „-m | m X™ m 1

N

®m0 5

où F m(t) est le polynôme de Faber de degré m pour la fonction

m

N

amo z log

m

et im j l 1 amoxm\ = 0,

(9)

Polynômes de Faber 213

2 °

Four ces fonctions

N

<Hf) = > ,

\xrt n

3° Le coefficient bx du développement de toute fonction extrêmale est égal à T.

En outre, de l’égalité (46) nous pouvons déduire l’inégalité de Grunsky- Nehari-Singh [3], [4] pour la classe F T pour tout T e(0, 1) et de cette façon pour toute classe Sx. Ainsi nous avons le

Th é o r è m e 2 .

Soient x x, . .. , xN des nombres complexes arbitraires et f une fonction arbitraire de la classe Sx. Soit (amn) et {bmn) les matrices définies par les formules (4) et (6). Alors

N N

f

\ 1

_ ) V

1

\x J 2

(47) “b ^mrfi'mAn)j ^ ~ •

m,n — 1 n = l

L ’estimation (47) est exacte et, de plus, il existe pour tout T e ( 0 , l ) dans la famille Sx une fonction f dont le premier coefficient bx est égal à T, pour laquelle l’inégalité (47) devient l’égalité. Cette fonction remplit l’équation (43).

E en résulte, vu (47), (46) et Sx = U que chaque fonction

0<ЗГ<1

f e F T pour laquelle la fonctionnelle (8) atteint sa valeur maximale dans la famille F T est en même temps la fonction pour laquelle cette fonction­

nelle atteint sa valeur maximale dans la famille Sx.

Inversement, comme on le sait [6], si f(z) = bxz + holomorphe dans U, satisfait dans TJ à l’équation de forme (43), on im C = 0 et F m(t) est le m-ième polynôme de Faber pour la fonction 1 //(«), alors f e S x et pour cette fonction la fonctionnelle (8) atteint sa valeur maximale.

En résumant ce qui précède on trouve le résultat suivant :

Th é o r è m e

3. Dans la famille Sx il existe pour tout T e (0 , 1) des fonctions extrémales de forme f(z) — Tz + . .. , pour lesquelles la fonction­

nelle (8) atteint la valeur la plus grande. Afin que f soit une fonction extrê­

male par rapport à la fonctionnelle (8) dans la famille Sx il faut et il suffit qu’elle remplisse l’ équation (43), où im<7 = 0 et F m (t) est un m-ième polynôme de Faber pour la fonction 1 lf(z).

Bibliographie

[1] Z. C lia r z y iis k i, Sur les fonctions univalentes bornées, Diss. Math. (Rozprawy Mat.) ' 2 (1953), p. 1-57.

[2] — et W . J a n o w s k i, Sur Véquation générale des fonctions extrémales dans la famille des fonctions univalentes bornées, Ann. Univers. M. Curie-Sktodowska

4 (7) (1950), p. 41 -5 6 .

(10)

[3] Z. N e h a r i, Some inequalities in the theory of functions, Trans. Amer. Math. Soc.

75 (1953), p. 256-289.

[4] V . S in g h , GrunsTcy inequalities and coefficients of bounded schlicht functions, Ann.

Acad. Soi. Fenn. Ser. A I 310 (1962), p. 1-22.

[5] J. â la d k o w s k a , Les polynômes de Faber dans la théorie des fonctions univalentes bornées, Demonstratio Matin 7 (1) (1975), p. 99-112.

INSTITUTE OF MATHEMATICS, SILESIAN TECHNICAL UNIVERSITY AT GLIWICE

Cytaty

Powiązane dokumenty

Wyszomirski spotykał się z Marianem Podkowińskim, z którym jadał obiady w „Czytelniku” przy ulicy Piotrkowskiej. Po pół

prowadzi do wniosku, iż przepisy te odnoszą się do zakładów górniczych położonych (lub powstających) w Polsce. Wśród kwalifikacji personalnych, od których

1 A. Szastyńska- Siemion, Muza z Miiyleny. Traduit par Xavier Chantry... Ces vers devoilent une beaute et un chamie de la fillette presque tangibles. Ils pre- sentent ses

1952.. LES ORIGINES DE LA CONCEPTION DE LA „SANATIO IN RADICE“ DANS LA DOCTRINE CANONIQUE On peut dire qu’à certains égards, la sanatio in radice du mariage

tion de savoir si, lorsque /(z) représente le cercle ,z| &lt; 1 sur un domaine étoilé par rapport à l’origine, zp f (z) est-elle nécessairement p-valente ou au moins en

définie et réelle dans la famille F, différenciable en chaque point de la famille FT , dont la différentielle ne s'annule identiquement dans aucun point de la famille

The predictive strategy (e.g. Enterprise Asset Management System or Condition Monitoring Software), people skills and knowledge of the assets (e.g. historic maintenance data

Dla przykładu możemy nadmienić, że wojowników chowano z mieczem, który kładziono im „pod głowę, a ich tarcze na ich ko- ści” (Ez 32,27), a proroków z płaszczem, jak było