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View of Humanist Tendencies in Polish Philosophy in the 15th and 16th Centuries

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Academic year: 2021

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JA N C Z E R K A W S K I L ublin

LES TENDANCES HUMANISTES

D A N S LA P H IL O S O P H IE P O L O N A IS E A U X X V e E T X V Ie S IE C L E S

A l'U niversite de C racovie aux X V e et X V Ie siecles, la p h ilo s o p h ie etait enseignee avant tout a la faculte d'arts. Au X V e siecle on appelait cette faculte ,,1'ecole d'A ristote” . La matiere principale des cours etait co m p o see d'o euvres d'Aristote ou de textes des com m entateurs celebres de ses ecrits. Les matieres du domaine - dans un sens tres large - de Sciences philologiąues et exactes ne se situaient qu'en m arge des cours aristoteliąues. Des le d ebut du X V e s., on commentait des textes d'Aristote essentiellem ent sous 1'influence des represen- tants de via m oderna. Dans les annees soix an te-d ix de ce siecle, les maitres cracoviens ont com m ence a pra tią u er la philosophie dans la ą u e lle un certain lien avec des courants de via antiąua restait visible. II faut attacher ce change- ment a 1’introduction, a cette epoque-la, dans de nom breuses universites euro- peennes, de ce que l'on appelle „aristotelism e c h r e tie n ” , c'est-a-dire de 1'aristotelisme coordonne aux verites de la foi chretien n e et interp re te a la maniere thomiste, scotiste ou albertiste.

Le developpement im portant de la philosophie scolastique a l'Universite de Cracovie, inspiree par les courants de via a n tią u a , se situe a la fin du X V e et au debut du XVIe siecles. II est lie aux noms des m aitres tel que Jan de Głogów (mort en 1507), Jakub de Gostyń (m ort en 1506), Jan de S tobnic a (mort en 1518 ou 1519), Michał Falkener de W rocław (mort en 1534). L'oeuvre de ces scolastiques indiquait le principal profil doctrinal de l'universite jusqu'a la fin du XV e siecle et aussi, d'une certaine maniere, dans la pre m ie re m oitie du X V łe siecle. L 'epanouissem ent de la production philosophique ecrite m ore schola stico coincide avec l'epoque ou la litterature antique suscitait un grand interet - donc avec un des symptómes de 1'humanisme renaissant. Les traces de l'humanisme, en tant que formation intellectuelle specifique, apparaissaient

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dans la production des maitres cracoviens, deja dans les annees trente du XVe siecle. C et h um anism e coexistait avec une scolastiąue vivante et dynamiąue. L a n aissanc e de Thumanisme dans la culture polonaise etait tres etudiee, nous n'a llons donc pas re peter ici des faits connus. N ous allons nous concentrer a m o n trer des ch a n g em en t dans 1'enseignement de la philosophie, a l'Universite de C rac o v ie des la fin du X V e ju sq u 'au m ilieu du X V Ie siecles.

Des la fin du X V e siecle on a change et m odifie le program me d 'enseignem ent de la philosophie; ces changem ents et modifications se tradui- saient par 1'augmentation successive du nombre de cours „litteraires” , destines avant tout a com m en ter des auteurs antiąues divers (les oeuvres de C icerone etaient particulierem ent populaires) et des humanistes de 1'Europe Occidentale. Par ailleurs on a m odifie l'enseignem ent meme et la maniere de com m enter les oeuvres d'A ristote, ce processus restant lie a la reception de 1'aristotelisme renaissant. O utre 1'aristotelisme scolastiąue, au debut du XVIe siecle une nou- velle versio n de 1'aristotelisme, elaboree par un celebre philosophe et theolo- gien franęais J ac ąu es Lefevre d'E staples ( F aber Stapulensis), suscitait un grand interet. C ette nouvelle version, epuree des com m entaires scolastiąues, etait propa gee a C racovie par Jan Schilling (m ort en 1518) et par son disciple Grzegorz de Stawiszyn (mort en 1540). La reception large des tendances huma­ nistes a la faculte d'arts etait favorisee par, generalement, une attitude ouverte des celebrites de la sco lastiąue cracovienne de 1'epoąue.

Vers la fin du X V e et au debut du XVIe siecles, Jan de Głogów etait un des savants cracoviens les plus connus. Une grandę partie de l'oeuvre du mattre de G łogów , bien qu'elle soit ecrite m orę schola stico , interessait les propagateurs de la nouvelle orientation. L'interet porte vers l'Antiquite, a cette epoque-la, c o incidait souvent avec 1'attention favorable accordee aux Sciences naturelles et m a th em atiąu e s, et en p articulier aux Sciences a stronom iąue s et astrologi- ques. Et dans ce dom aine, Jan de Głogów - comme M ichał Falkener de W roc­ ław - etait une autorite incontestable. L'U niversite de C racovie etait a cette epoque-la, un im portant centre des Sciences astronomiąues. On pouvait y com- parer seulem ent des centres scientifiąues du nord de 1'Italie. M. Kopernik, sans doute a C racovie deja avait obtenu la formation m athem atiąue et astronomiąue ąui lui a permis de presenter 1'heliocentrisme comme vera im ago m im di. U faut m entionner ici 1'interet que Kopernik accorde a la poesie et 1'interet que K ocha­ nowski porte vers 1'astronomie. P ar ailleurs S tanisław Hozjusz, en tant que j e u n e poete et ad m ira te u r de l'oeuvre d'E rasm e de Rotterdam, a ecrit ąueląues

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Jan de S trobnica propageait le scotisme; ii a ecrit quelques traites scolasti- ques qui ont ete imprimes. II a ecrit aussi un petit livre consa cre a la gram- maire speculative, donc a la discipline contrę laquelle les h u m a n iste s de l'epoque s'acharnaient particulierem ent. P ourtant c'etait dans cette oeuvre qu'il explique que d'apres lui la base de la connaissance du latin aurait du etre donnee p ar la lecture des oeuvres des poetes, des orateurs et des historiens antiques; des recherches subtiles sur m o di sig n ific a n d i n'etant que purem ent theoriques et auxiliaires. Ce point de vue caracterisait bien 1'attitude intellec- tuelle de ce scotiste. II etait scolastique, il ecrivait des traites typiquem ent scolastiques mais en meme temps il assim ilait des idees nouvelles: il utilisait des traductions renaissantes des textes d'A ristote, il com m en tait pend a n t les cours des oeuvres de C icerone et de Yirgile et aussi celles d u n hum anistę italien Leonardo Bruni Aretino, mais ses propres traites scolastiques precedait des dedicaes, finem ent stylises a la langue de Cicerone.

Jakub de Gostyń etait un albertiste lie au neoplatonism e. II donnait des cours de rhetorique et de poetique dont 1'object se constituait, a cote des textes traditionneis de la scolastique, des textes (tels que p. ex. les O des d'H orace), qui lui perm ettait de parler de lui-meme com m e du savant qui con sc ie m en t joignait des methodes et des idees hum anistes aux scolastiques. De m em e, il choisissait T im aios de Platon com m e m atiere de ses cours de philosophie, a cóte des textes d'Aristote. Dans ses ecrits il se servait du style scolastique mais il savait - tout comme Jan de Strobnica - u tiliser le style h u m anistę raffine. II n'est pas sans importance qu'il s'interessait a l'oeuvre de G iovanni Pico M iran- dola.

Tout au long de vingt premieres annees du XVIe siecle, on peut parler d'une coexistence pacifique de la scolastique et de 1'humanisme a l'U niversite de Cracovie, puisque le plus souvent les m em es representants de la faculte d'arts s'interessaient parallelem ent a ce qui etait ancien et a ce qui etait nouveau.

La logique et la philosophie de la naturę etaient le dom aine des scolastiques de l'epoque, l'ethique et la m etaphysique - bea ucoup moins. Les adeptes uni- versitaires des litterae hum aniores s'interessaient avant tout a la gram m aire, a la rhetorique, a 1'epistolographie et a la poesie. P our cela les etudes litteraires et scolastiques n'etaient pas encore com prises co m m e deux system es d'enseignem ent concurrentiels., Suivant la nouvelle tendance et de centres d'interets nouveaux, on a introduit au program me d ‘etudes des m an u els h u m a ­ nistes de la grammaire et de 1'epistolographie et on elargissait progressivem ent le nom bre d'oeuvres des auteurs antiques a lire.

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S eulem ent, plus au moins des le m ilieu des annees vingt du X V Ie s on ob- serve des signes des conflits entre des partisans de 1'education scolastiąue et ceux de 1'education hum anistę. II d eva it exister sans doute certains declen- cheurs de ce phenom ene . L e są u e ls? D'une m aniere generale, aussi bien rh u m a n is m e que la sco lastiąue ont subi des transform ations importantes. L'hum anism e, p rogressivem ent cessait d'exister seulement en tant qu'une ecole de g ra m m a ire et de rhe torią ue, il reprenait la form ę d'une doctrine qui posse- dait sa propre conception de com m ent on pratiąue la philosophie, differente de la c o n c ep tio n scolastiąue. Apres le depart de la faculte d'arts de Jan de Głogów, de M ichał Falkener de W rocław et de Jan de Strobnica, la scolastiąue craco v ien n e restait sans une seule individualite scientifiąue. La reception pro- gressive de la litterature a n tiąu e et 1'influence des hum anistes etrangers - d 'E rasm e de R otterdam avant tout - ont provoque, aussi bien parmi les etu- diants que dans le corps enseignant, une m odification des idees sur ce qui etait im portant dans une culture.

P o u r p r a tią u e r la p h ilosophie les scolastiąues ulilisaient la logiąue, les h um anistes - la philologie et la rhetoriąue. Les ecrits des scolastiąues etaient prives de tout p arem ent rhetoriąue, les distinctions et les syllogism es y domi- naient. L 'in dividualite litteraire de la form ation h u m anistę est la plus facile a d iscrim iner et a decrire. Elle se manifestait com m e 1'imitation des auteurs anti- ques.

L a philosophie etait pour les scolastiąues une science theoriąue, egalement dans sa partie pratiąue (com prenant 1'ethiąue individuelle et sociale). Le philo- sophe-scolastiąue enseignait les bases de 1'art de penser (la logiąue), les fonde- ments de la co n n a issa n ce du m onde (la philosophie de la naturę), une concep­ tion generale du monde (la m etaphysiąue) et les fondements theoriąue du com- po rtem e n t (1'ethiąue). Le rationalism e (theoretisme) propre a la scolastiąue, d o m in an t dans tous les courants de sa pensee, a penetre toutes les disciplines p h ilo so p h ią u e s, p ra tią u ees selon la conception aristotelienne de la c o n n a is ­ sance scientifiąue.

Les hum anistes ont pose d evant la philosophie de taches nouvelles et de nouvelles methodes de connaissance, adaptees a ces taches. Deja au XVe siecle en Italie, et au XVIe siecle dans d'autres pays, dans des universites on donnait le nom des „hum anistes” aux personnes qui donnaient des cours composant des stu d ia h u m a n ita tis: gram m aire, rhetoriąue, p o e tią u e et philosophie morale. C ette derniere discipline designait 1'etendu et le caractere de leurs interets p u re m e n t philo so p h ią u es. E rasm e de R otterdam , qui dans la premiere moitie du XVIe siecle etait le porte-parole et le propagateur de ces tendances

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nouvel-les, appelait „ph ilo so p h e” „non celui qui connait bien la d ialec tiąu e , la phy- sique et les m athem atique, mais celui qui possede des idees nettes sur ce qui est honnete et malhonnete et dont l'esprit dom ine les p a s s io n s ” . Le p erfec tion- nement morale de 1'homme a 1'aide d'une persuasion rhetorique, etait 1'objectif de 1'erasmienne philosophia Chisti. Des modeles de vie et des exemples vivants etaient, dans le domaine de la morale, beaucoup plus efficaces que des theories ethiques raffinees. La philosophie devait etre avant tout une sagesse qui for- mait 1'homme, et un outil du p erfectionnem ent m orale de l'in d iv id u et de la societe.

II faut noter que les resultats dus a une telle vision de la p h ilo s o p h ie n'etaient pas pour celle-ci exclusivem ent avantageux. Le p ra cticism e philoso- phique invitait facilement a ne pas respecter des taches purem ent cognitives de la philosophie. L'epoque des humanistes n'etait pas la periode d'epanouissem ent de la speculation philosophiąue.

Les ecrits humanistes cracoviennes de l'epoque dont on parle ici, sont riches et divers de point de vue de leur thematique. Ils com prennent des introductions et des com m entaires des oeuvres des auteurs antiques, des m a n u e ls de gram- maire, de rhetorique et d'epistolographie, aussi que de nom breuses productions dont le caractere reste pedagogique et ethique. Le didactism e et le ton m orali- sateur sont tres caracteristiques pour ces ecrits. En le j u g e a n t il faut p o urtant prendre en consideration le fait que qu'ils es sayaient de creer un pro g ram m e educatif different du program m e traditionnel. Szym on M a ry c ju sz de P ilzno (mort en 1574), Jan de Trzciana (mort en 1567), W ojciech N o w opolc zyk (mort en 1559) et Mikołaj Gelasinus (mort en 1580) etaient les representants les plus celebres de cette conception hum anistę de pratiquer la philosophie.

Szymon Marycjusz de Pilzno, auteur d'un excellent ouvrage pedagogique De scholis sen academ iis (1551), etait un des critiques les plus radicaux du modele de 1'education philosophique elabore vers la fin du M oyen Age. L 'a u te u r etait un partisan ferme et consequent d'un lien etroit entre les etudes philosophiques et les besoins et aspirations de la societe. Les etudes p h ilo so p h iq u e s dev a ie n t etre avant tout une ecole de la vie civique et form er des gens utiles p o u r 1'Etat polonais. Marycjusz soumet tout le program m e educatif a 1'idee d'un bon fonc- tionnement de 1'Etat. Les idees de M arycjusz etaient propagees par son disciple Mikołaj Gelasinus.

L'ouvrage de Jan de Trzciana De natura ac dignitate h om inis (1554) n'a pas de lien direct avec 1'enseignement de la philosophie a l'Universite de Cracovie mais les idees qu'il co ntient restent im portantes p o u r fo rm u ler les tendances doctrinales qui dom inaient a la faculte d'arts (artium ) puisque Jan y enseignait

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p e n d a n t une ąuin za in e d'annees. A l'epoque de la R enaissance, la ąuestion de la dignite de l'hom m e faisait objet des discussions particulierem ent vives. Jan de T rzciana, dans son ouvrage, prend en com pte pre sąue toutes ces raisons p h ilo s o p h ią u e s et th eo lo g iąu es de la dignite de 1'homme que bon rencontre dans la litterature de la Renaissance. D'une m aniere particuliere, il souligne la p osition centrale de 1'homme dans l'univers, ses talents creatrices, sa Redemp- tion p ar le C hrist et sa destination a la vie eternelle. Jan de Trzciana n'envisageait pas d'hom m e dans la perspective de son utilite a TEtat polonais, bien que ce m o tif ne lui soit pas com pletem ent inconnu. Son ideał, c'est 1'homme-createur de la culture et l'etre d'une profonde piete interieure, le chre- tien qui change le visage du m onde (perfectionne l'oeuvre creatrice de Dieu), qui lit avec passion la Bibie, les Peres de 1'Eglise et les cłassiques de la littera­ ture antique, qui aim e la paix et qui consolide 1'amour parmi les hommes. Des motifs tres divers de la science de 1'homme - puises dans la litterature antique, p atristique mais aussi scolastique - ont ete integres dans D e n atura ac digni- tate hom inis puisqu'ils etaient domines par Tidee hum anistę du developpem ent u niversel de 1'homme et par 1'affirmation sereine de la vie, par aspiration a la solidarite universelle des hom m es qui peut se realiser seulem ent si le compor- te m e n t des hom m es sera digne des etres „crees a 1'image de D ieu ” , donc des etres raisonnables et libres.

D ans la d e u x iem e m oitie du X V Ie siecle, d'apres 1’esprit de la philosophie de la Renaissance tardive, a l'Universite de Cracovie, la philosophie etait prati- que d'une m aniere eclectique. M em e si les com m entaires d'A ristote restaient au prem ier plan, on prenait en consideration egałement les idees du Platon, des stoiciens, des neo-platoniciens et aussi, d'une maniere selective, des classiques des la p h ilosophie scolastique.

T E N D E N C J E H U M A N I S T Y C Z N E W F I L O Z O F I I P O L S K I E J X V I X V I W I E K U

S t r e s z c z e n i e

N a r o d z i n o m h u m a n iz m u w kulturze polskiej pośw ięcon o wiele studiów. W artykule s k o n c e n ­ t r o w a n o się n a u k a z a n iu z m ia n w n a u c z a n i u filozof ii n a U niw ers ytecie K r a k o w s k im od k o ń ca w ie ku X V do p o ł o w y w ie k u X V I. W wie ku X V ora z w pierw szy m dw u d z ies to lec iu X V I wieku m o ż n a m ó w i ć o p o k o j o w e j k o e g z y s te n c ji s c h o las ty k i i h u m a n i z m u na k ra k o w s k iej ucze lni.

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D o m e n ą ó w c z e s n y c h s c h o l a s ty k ó w b y ła log ika i filo zof ia przyro dy. U n i w e r s y t e c c y z w o l e n n i c y

litter a e h w n a n io re s intereso wali się głó w n ie gramatyką, retoryką, e p is to lo g r a fią i poezją. S tu d ia

literackie i s c h o la s ty c z n e nie były t r a k t o w a n e j a k o k o n k u re n cy jn e sy s te m y n a u c z a n i a . D o p i e r o od p o ło w y lat d w u d z i e s ty c h X V I w. z a c z y n a j ą p o ja w ia ć się oz nak i w y ra źn y c h k o n f lik tó w m i ę ­ dzy z w o le n n ik a m i w y k s z t a łc e n i a s c h o l a s ty c z n e g o i h u m a n i s t y c z n e g o . H u m a n i z m s t o p n i o w o p rzy b ie rał p o sta ć o k re ślo n ej d o k try n y z własną, r ó ż n ą o d scholas ty cznej, k o n c e p c j ą u p r a w i a n i a filozofii. Tej znaczącej ew olucj i hum anizmu towarzyszył proc es stagn acji scholas ty ki. P o s t ę p u j ą ­ cy pro ces recepcji lite ratu ry starożytnej o raz w p ły w t w ó r c z o ś c i z a g r a n ic z n y c h h u m a n i s t ó w - p rzed e w s zy s tk im E r a z m a z R o t te r d a m u - p o w o d o w a ł z m i a n ę p o g l ą d ó w na te m a t tego, co je s t w k u ltu rz e w ażne. Skutki o w e g o p r z e w a r t o ś c io w a n i a n ie by ły d la filo z o fii j e d n o z n a c z n i e k o ­ rzystn e. F i l o z o f i c z n y p r a k ty c y zm h u m a n i s t ó w ła tw o s k ła n ia ł d o le k c e w a ż e n i a śc iśle p o z n a w ­ czy ch z ad ań filozofii.

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