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Les problemes de subdiviosion stratigraphique du Houiller Crcovio-Silésien a la lumiere de la mégaflore

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R O C Z N I K P O L S K I E G O T O W A R Z Y S T W A G E O L O G I C Z N E G O A N N A L E S D E L A S О С I E T E G E O L O G I Q U E D E P O L O G N E Тош (Volume) XXVir - 1967 Zeszyt (Fascicule) 1 K raków 1967

S T A N IS Ł A W Z B IG N IE W S T O P A

LES PROBLEMES DE SUBDIVISION STRATIGRAPHIQUE DU HOUILLER CRACOVIO-SILESIEN A LA LUMIERE

DE LA MEGAFLORE

S o m m a i r e . A pres avoir dessine a grands traits le s cadres n a tu r e ls de la su b d iv isio n stra tigrap h iq u e du H o u iller C r a c o v io -S ilesien l ’au teu r p r e c ise le s d etails d e cette su b d iv isio n en s ’a p p u y a n t sur les resu lta ts obtenus par 1’ś tu d e p o u s s ś e de la m śg a flo re . L ’a n a ly se de la su b d ivision e s t e ffe c tu e e en correlation so ig n śe avec l e s c h śm a in te r n a tio n a l eu rop een dresse par le s congres con secu tifs de stra tigrap h ie ca rb o n ifere de H eerlen.

IN T R O D U C TIO N

Le Houiller Cracovio-Silesien fait ipartie superieure d ’une des plus puissamtes series diastrophiques d’Europe centrale — celle du D evonien et du Carbonifere dćposee du cóte d ’Est des Sudetes orientales et au Nord des Carpathes.

La puissance du Carbonifere depasse ici en somme 11 000 m etres. Son profil stratigraphique se differencie tres oaturellem ent en trois parties:

la serie, en principe marine, de Culm a la base (ca 3500 m), la serie para­

lique avec de la houille et sans calcaires (ca 3500 m) en-dessus et la serie lim nique avec de la houille au som m et (plus de 4000 m). L es deux dernie- res peuvent etre prises' ensem ble comme Houiller Cracovio-Silesien, d’age de Namurien et de W estphalien.

Ce profil reflete revolu tion du bassin depuis la phase marine par rćtappe d ’oscillatioms repetees de la mer jusqu’au stade fiin-al d ’un bassin lim nique, a Tissue de la sedim entation transform e en terre ferm e par l ’orogenie asturienaie.

U ne position particuliere dans ее profil, a la base m enie de la serie lim nique, occupe le groupe de puissaintes couches de houille dit a n t i c l i ­ n a l , dont la puissaince ine depasse pas 200 m. De cause de sa grande richesse en houille le groupe anticlinal etait de tradition un excellen t repere stratigraphique soigneusem ent recherche par les miineurs. La serie p a r a l i q u e sous-jacente me cantient que des veines de charbon de puis­

sance restreinte; c ’est le groupe dit marginal, parce qu’il s’etend le long de la marge du bassin. La serie l i m n i q u e recouvrante, nomm ee s у n- c 1 i n a l e , d ’une puissance de plus de 4000 metres, se cantonine dans les synclinaux; elle contient un im portant inombre de couches de charbon parfois vraim ent epaisses.

Cette subdivision m agistrale tripartite du Houiller est basee sur des criteres de facies et de lithologie ainsi que de pratique miniere. Les unites stratigraphiques subordoninees etaient d ’abord creees d ’une maniere semblable.

Dans la serie paralique on a largem ent utilise des niveaux a faune marine pour tracer les lim ites stratigraphiques, ce qui a contribue a une

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stabilisation de la subdivision stratigraphique, accrue par le fait historique d’un accord sim ultane de quatre stratigraphes renommes publiamt en cette m em e annee 1928 (W. P e t r a s c h e c k ; V. S u s t a ; K. P a t t e i s k y e t J. F o l p r e c h t ) . On n ’a depuis discute que des decalages des lim ites entre les quatre segm ents em principe acceptes imiversellemeint: les cou­

ches de P etfkovice (en poloinais Pietrzkow ice) a la base, les couches de Hrusov (Gruszów), les couches de Jaklovec (Jaklowiec), et les couches de Poruba (Poręba) au sommet; les deux prem ieres s’unissent en couches d ’Ostrava imferieures et les deux suivantes — en couches d ’Ostrava supe- rieures. Une proposition de passer d ’une subdivision par quatre parties a une nouvelle subdivision tripartite a ete faite par A. M a k o w s k i (1937).

Autrem ent, la subdivision de la serie limindque, privee d’horizons-gui- des marins et elaboree par des auteurs en principe individuellemeint, etait soum ise a de nom breux chamgements parfois tres im portants et lomgtemps discutes. C’est surtout darns cette serie que les m ethodes biostratigraphi- ques et plus specialem ent les m ethodes phytostratigraphiques omt trouve des applications fructueuses.

La flore du Houiller Cracovio-Silesien est depuis lomgtemps remommee par sa richesse. Apres les śtudes fondam entales de D. S t u r (1875— 77, 1888) c ’etait H. P o t o n i e qui aborda des etiudes paleobotamiques syste- m atiques et publia em 1896 un essai de la subdivision floristique du H ouil­

ler. Em 1913 W. G o t h a m a daninę umie caractśristique paleobotanique biem fondee de quelques unites stratigraphiques du Houiller de la Haute Silesie.

Au sommet du H ouiller W. G o t h a n a defini a l ’aide de la flore urn horizon mouveau dit les couches de Chełm com m e 1’Equivalent de la Zome superieure de R. Z e i l l e r (1886) du Bassin du Nord de la France.

D es recherches phytostratigraphiques dams motre Bassin etaient pour- suivies ensuite par des differents auteurs, p. ex. B . R y d z e w s k i (1913, 1915, 1919), W. G o t h a m (1928, 1937, 1952), V. S u s t a (1928), K. P a t- t e i s k y (1928, 1933, 1937, 1960), W. G r o p p (1933), J. J a r o s z et T. B o c h e ń s k i (1930), T. B o c h e ń s k i (1931, 1933, 1952), S. Z. S t o- p a (1936— 9, 1954— 64), V. H a v l e n a (1953, 1961, 1964), E. P u r k y - ń o v a (1957— 62).

Jusqu’a la derniere dizaioe d’aninees, quand la palynologie houillere a pris l ’essor dams le Bassin, la flore etait le m oyen principal du travail phytostratigraphique.

En temamt compte de differenciation lithologique dans le profil om ótudiera la subdivisioin stratigraphique du Houiller C racovio-Silesien a la lum iere des criteres floristiques.

L A LIM ITE FL O R IST IQ U E EN TR E LE G RO UPE M A R G IN A L ET LE G RO UPE A N T IC L IN A L

Urn fait fomdamental pour la phytostratigraphie du H ouiller Cracovio- -S ilesien c’est le chamgement brusque dams la com position de flores entre le groupe marginal (Namurien A) et le groupe anticlinal (Namurien B).

D efini pour la prem iere fois par W. G o t h a m (1913), ce changem ent a etć depuis etudie par de differents auteurs qui omt precise som caractere et sa position stratigraphique. D ’apree les arguments qui etaient precises par l’auteur dams quelques travaux publics emtre 1954 et 1962 nous situomis

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cette lim ite dans la surface de mur de la couche repere 510. La flore de Sphenqpteridees a petites pinnules, avec Sphenopteris adiantoides S с h 1 о t h. et les Lyginopteridees nom breuses d’au-dessous de la couche 510 est rem placee par la flore de Pteridophylla a grandes pinnules et de Sigillaria, avec Sphenopteris michaeliana G o t h , et Mariopieris beneckei P о t. (la form e neglecta H u t h. pro sp. у comprise) d ’au-dessus de cette с ouch e-rep ere. Dans la flore plus ancienme on a determ ine dernierem ent quelques form es — precurseurs de la flore plus jeune; et dans cette der- niere, de l’autre cote, on trouve encore quelques formes plus anciennes persistantes. On peut supposer que ce changement brusque de flore est cause partiellem ent par des conditions changees de sedim entation et d ’ecologie des plantes.

D ’apres les caracteres floristiques, cette lim ite stratigraphique entre le groupe marginal et le groupe anticlinal peut etre clairem ent definie theoriquement, aussi bien que verifiee dans la pratique sur le terrain — tant elle est visible et tranchanite.

L A P O SIT IO N P H Y T O ST R A T IG R A P H IQ U E D U SOM M ET D U H O U ILLER

Dans la serie lim nique la flore est un m oyen prefere de travail strati­

graphique. U ne applicationi brillante a -t-elle trouvee dans la question de l’age des sedim ents de sommet du profil du Houiller Cracovio-Silesien.

Depuis le travail d e l ’auteur (1936) on les range au W estphalien D sous le nom des c o u c h e s d e L i b i ą ż . Dans quelques publications recentes (1955— 63) on a discute de nouveau la lim ite inferieure des couches de Libiąż.

Les documents paleobotamiques tires des carottes de nombreux forages rćcemmemt executes dans le territoire situe a l’Est de Libiąż ont ete de­

term ines par J. В e d in a r z et publies dans le travail de Z. D e m b o w ­ ski e t A . O b t u ł o w i c z (1960). II parait utile de rappeler ici la succes­

sion des veines de houille dans le profil de Libiąż (d’en bas vers le haut):

P aw eł (Paul, nr 202), A leksy (Alexis, 201 ou 119), Wiktor (Victor, 118), Józef (Joseph, 117), Zygm unt (Sigismond, 116), et «Setny» ou «na 100 m»

(a’ 100 m). La flore au toit de la veine A leksy a ete constatee dans les 21 forages, doint seulem ent six ont у domne la forme Neuropteris (Mixo- neura) ovata H o f f m . d’ailleurs sans aucunes form es-precurseurs de flore du Stephaniem. Neuropteris attenuata L. et H. (rarinervis В u n b.) a etó constate dans les 13 forages, ce qui indique une frequence de N. attenuata deux fois plu s granide en comparaison avec N. ovata. Parmi les form es qui l’accompagnent il n ’y a aucune espece precurseur de S te- phanien, tandis que les especes du W estphalien С s’y rencontrent d ’ordi- naire. Done la flore de la couche A leksy peut etre determimee comme appartenant au W estphalian C. Cette conclusion est renforcee par le fait que deja au toit de la premiere couche sous-jacente J. B e d n a r z a de­

term ine trois formes differentes du genre Lonchopteris (parmi eux L. ru ­ gosa B r g t . ) . Au toit de la veine Wiktor (118) aucune trace de N. ovata n ’a ete constatee, de m em e que rien de form es stephanienines. Cependant N. attenuata у est presente ce qui indique son age de W estphalien C. Au toit de la veine Joseph N. ovata m’est m entionne qu’une seule fois; aucune forme precurseuir de Stephainien n ’y figure, mais Neuropteris attenuata non plus, ce qui caracterise la flore de la veine Joseph comme transitoire entre le W estphalien С et le W estphalien D. Ce n ’est qu’aux toits des couches Zygmunt et S etn y que Neuropteris ovata devient un Element

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permanent et frequent, tandis que N europteris attenuata n ’y parait que d’une m aniere sporadique.

L’analyse des doninees floristiques nouvelles de J. B e d n a r z con- firm e done la just esse du classem ent de la flore du toit de la veine Victor (118) a Libiąż dans le W estphalien C.

L’unite stratigraphique ainsi definie (couches de Libiąż = W estpha­

lien D) atteimt son m axim um d ’epaisseur, depassant 400 m, dans la cointree a l’Est de Libiąż. Le Neuropteris ovata H o f f m. en grande frequence est uin fossile-guide dains la -riche association floristique de couches de Libiąż, qui comtiemt em outre des precurseurs de la flore de Stephamien comme p. ex. des Pecopteridees frequentes, A lethopteris grandini, Aletho- pteris costei, de prem ieres Odontopteridees typiques, et des form es de W estphalien comme p. ex. Sphenophyllum voisin de Sphenophyllum emarginatum B r g t., Sphenopteris neuropteroides B o u 1., Neuropteris scheuchzeri H o f f m .

En 1962 M. D o m a g a ł a a publie une contribution importante au probleme de la lim ite entre le W estphalien C et le W estphalien D dans le Houiller Cracovio-Silesiem. Elle a ramasse une flore nouvelle au toit de la couche de Chełm, qui servait autrefois a W . G o t h a m (1913) comme m odele pour ses couches de Chełm; elle a aussi macere des echamtilloms sillonnes de houille pris de cette couche. Elle a determ ine les form es sui- vanites:

1. Pecopteris typ. pseudovestita W h i t e = Pecopteris lamuriana H e e r (frequent), Neuropteris rarinervis B u n b . = Neuropteris attenua­

ta L. et H. et Sphenophyllum emarginatum B r g t. — done les formes caracteristiques pour le W estphalien C;

2. Pecopteris (Senjt.) plumosa A r t i s (frequent) et Neuropteris t e - nuifolia S c h 1 o t h. (assez frequent) dont l’optim um est dans le W estpha­

lien C et qui soinit senisiblement plus rares dans le W estphalien D;

3. Alethopteris decurrens Z e i 11., Sphenophyllum cuneifolium, S t b g., Pecopteris (Asterotheca) avoldensis C o r s i n qui sont lies plutót au W estphalien B, tandis que dans le W estphalien C ils sont deja plus rares. Seulememt Pecopteris avoldensis em est rencontre dans le W estpha­

lien D.

4. Alethopteris grandini B r g t . , Neuropteris scheuchzeri H o f f m . , Neuropteris linguaefolia P. B., N. cf. linguaenova P. B., une form e transi- toire entre Neuropteris ovata H o f f m . et N. heterophylla B r g t . , Lino- pteris obliqua B u n b. — des form es du W estphalien superieur (C et D).

5. Alethopteris costei Z e i 11. conmu du W estphalien D et du Stepha- nien.

Cette flore fut evaluee par M. D o m a g a ł a avec justesse comme association de W estphalien C superieur. D ’apres M. D o m a g a ł a la veine de Chełm serait identique a la veine A leksy de Libiąż.

L’etude de M. D o m a g a ł a prouve que les couches de Houiller pre- sentes a Chełm appartiemment au W estphalien C done la definition des couches de Chełm comme l’equivalent du W estphalien C dans le Houiller C racovio-Silesien (S. Z. S t o p a , 1936, 1957) s’avere parfaitem ent juste.

L’epaisseur des couches de Chełm au lieu de stratotype depasse 600 m.

La riche association floristique des couches de Chełm comtient des fossi- les-guides comme

Neuropteris attenuata L. et H. ( = rarinervis B u n b . ) , Neuropteris scheuchzeri H o f f m.,

Sphenophyllum emarginatum B r g t . ,

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Pecopteris lamuriana H e e r ( = typ pseudovestita W h i t e G o t h.)

et d ’autres form es im portantes comme Neuropteris heterophylla B r g t., Neuropteris tenuijolia S c h 1 o t h., Sphenopteris neuropteroides B o u l , Sphenopteris striata G o t h.,

Mariopteris sauveuri Ś t u r , les dermieres Lonch op t erid e e s

et les premiers echantillons de Neuropteris ovata H o f f m . au sommet.

L A S U B D IV IS IO N D E S A N C IE N N E S COUCHES DE R U D A ET LE PR O B LEM E DE L A LIM ITE feNTRE LE N A M U R IE N ET LE W E S T P H A L IE N D A N S L A H A U T E

SIL E SIE

La motion primordiale des couches de Ruda s’est form ee a la transition du X IX e au X X e siecle (1895— 1909), un peu fortuitem ent, par la reunion d’une petite serie g'reseuse bien developpee a Ruda Śląska, prise comme partie inferieure, et d’une petite serie schisteuse comme partie superieure.

Cettę heterogeneite des anicieninies coucheis de Ruda s’est averee encore plus accęnitUee quand l ’auteur avait prouve (1938, 1954) que la partie iinferieure des couches de Ruda contient une flore de Namurien C tandis que la flore de la partie superieure est deja d’age de W estphalien A. La lim ite parait etre situee un peu au-dessous de la veine-repere Antonina (Antoinette, actuellem ent veine 405). Et voici les plantes caracteristiques de la partie inferieure (les veines 420— 407): M ariopteris acuta B r g t., Mariopteris muricata Z e i l l . f. typica et Neuropteris gigantea S t b g . , a cote de Neuropteris schlehani S t u r eincore frequent, Pecopteris m iltoni A r t i s qui debute a peiinie, et a cote des reliquats de la flore de Zabrze (M ariopte- ris beneckei H u t h , Sphenopteris cf. michaeliana G o t h . , Pecopteris (Dyotheca) aspera B r g t . ) ; Spenopteris (Lyginopteris) hoeninghausi B r gt . n ’est present ici que sporadiquement.

La partie superieure (les veines 406— 401) debute par un niveau (veines 407— 406) caracterise par la pullulation du Sphenopteris hoeninghausi qui fut repere dains une vaste contree.

A ce phenomene est lie l ’enrichissem ent, dans toutes les veines, en Sigillaires caininelees, puis une presence plu s frequente d ’autres feu illes de Fougeres comme p. ex. Alloiopteris (Corynopteris) coralloides G u t b . , Sphenopteris sauveuri C r e p , Mariopteris daviesi K i d s t., Pecopteris schwerini S t u r, A lethopteris decurrens A r t i s , A lethopteris davreuxi B r g t., A. valida B o u l . et formes voisines (du groupe de Lonchopteri- dium), Neuropteris cf. heterophylla B r g t . et autres. C’est deja l’associa- tion du W estphalien A.

Pour la partie inferieure appartenamt au N am uiien C j’ai gardć (1950, 1954) la deimominatioin de couches de Ruda dans un sens restr-eint (seinsu stricto), en retranchant la partie superieure qui d’ailleurs n ’est plus pre-

setnte a Ruda et qui d ’apres l ’age appartient deja au Westphaliem A.

Lets couches de Ruda, ainsi definies comme l’equivalent du Narnu- . rien C dans le Houiller Cracovio-Silesien, atteignent l’epaisseur-m axim um . ca 650 m danis la region Knurów-Rybnik. Leur association floristique

caracterise plus haut est en general assez pauvre.

Une certaine reserve doit etre encore gardee dans la question de la positaoin stratigraphique des veines 414— 407 ou — d ’apres les auteurs qui

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ont travaille dans la partie tchecoslovaque du Bassin et d ’apres mon obser­

vation propre dernierem ent faite dans la m ine de Chwałowice (pres de Rybnik) — apparait deja Sphenopteris hoeninghausi В r g t. Dains се m e- m e niveau j’ai constate l'apparition sporadique d ’autres form es plus jeunes telles que Mariopteris dernoncourti Z e i l l . , Discopteris viillersi S t u r , Alethopteris lonchitica Z e i l l . , Alethopteris refracta F r a n k e . La presence de ces form es plu s jeunes pounrait etre prise tamtót comme l’argumelnit pour faire la lim ite Nam urien-W estphalien desceindre plus bas dans le profil du H ouiller Cracovio-Silesien tantót com m e Г annunciation de l’approche de la flore westphalianjne par des form es precurseuirs, de m em e que certaines form es stephanaenmes sottit presentes dains la flore du W estphalięn D an caraotere de precurseurs.

D ’apres l ’auteur l ’ensem ble des caracteres floristiques des couches 414— 407 rdnd plus vraisem blable leur appartenance au Namurien C. Au point de vue de pratique otn peut estim er la lim ite dans le niveau 407— 406 comme plus facilem ent trouvable sur le terrain a l’aide des signes litholo- giques et paleointologiques.

L ’etude phytostratigraphique de la lim ite inferieure des couches de Ruda effectuee sur le terrain par l ’auteur (1950, 1952, 1954) a apporte uin retrecissem ent de l’ancien groupe anticlinal dans la notion des couches de Zabrze prises com m e l ’equivalemt du Namurien В dans le H ouiller Cra- covio-Silesiem. Elies atteignent 200 m au m axim um (a Zabrze et a Janko- wice). Leur association floristique, assez pauvre, contient comme fossi- les-guides:

Neuropteris schlehani S t u r,

Sphenopteris michaeliana G o t h , et

Mariopteris beneckei H. P o t . (uini avec la forme M. neglecta H u t h pro iSp.).

La partie superieure des anciennes couches de Ruda (407— 401) s’unit a la partie inferieure des anciennes couches d’Orzesze par la m em e flore d’age de W estphalien A. D ’apres la lithologie il n ’y a aucune difference entre le som m et des couches du Ruda s. 1. et la partie inferieure des cou­

ches d’Orzesze. La flore de Westphaliein A, avec Neuropteris schlehani S t u r, Sphenopteris hoeninghausi В r g t. (rarement), Mariopteris m u ri­

cata Z e i l l . f. typica, Mariopteris acuta В r g t. (rarement), M, dernon­

courti Z e i l l . , A lethopteris lonchitica Z e i l 1., les prem iers Lonchopte- ris (Lonchopteris bricei В r g t. et vers le haut L. rugosa В r g t.), Sigilla­

ria schlotheimiana В r g t. et les dernieres Sigillaires du groupe Favularia, fut coinistatee damis la partie inferieure des couches d ’Orzesze, jusqu’a la veine A (329) de la m ine Dębieńsko, tandis qu’au-dessus de la vein e В (328) des form es plus jeunes telles que Mariopteris nervosa В r g t., M. sauveuri S t u r, Sphenopteris andraeana v. R о e h 1, S. striata G o t h . , N eu ropte­

ris tenuifolia S с h 1 о t h., Sigillaria ex gr. boblayi B r g t . , Sphenophyl- lum typ. geishecki G u t h o r l , Sphenophyllum typ. maius B r g t . , pa- raissent l ’une apres l ’autre ce qui nous engage a poser la lim ite entre le W estphalien A et le W estphalien В dains la surface de toit de la veine В (328) dans cette mine.

L ’assise stratigraphique issue de l ’union de ces deux segm ents con- tenant la flore de W estphalien A (c’est-a-dire les veines 406— 401 et 364— 328) fut nomm ee par l’auteur c o u c h e s d e Z a ł ę ż e , par l’ex - tension de l ’ancien term e de C. G a e b l e r (1896), definies de nouveau comme Fequivalent du W estphalien A dans le H ouiller Cracovio-Silesien (1950, 1954).

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L’epaisseur-m axim um des couches de Załęże s’eleve a 1240 m aux alentours de Czerwionka. L ’association floristique, tres riche, fut caracte- risee plus haut comme la flore du W estphalien A.

Le reste des amcianmes couches d’Orzesze (327— 301) avec la flore de W estphalien В iinferieur fut :pris comme les c o u c h e s d ’ O r z e s z e senisu strict о.

Leur epaisseur-m axim um est de 910 m a Orzesze. Dans leur association floristique, tres riche, on peut mentionner les suivants fossiles-guides plus importants:

Sphenopteris andraeana v. R o e h 1, Sphenopteris striata G o t h . ,

Sphenopteris schwerini 3 t u r, Mariopteris sauveuri 3 t u r, Lonchopteris rugosa B r g t . ,

Sphenophyllum typ. geishecki G u t h o r l .

L A P O SIT IO N S T R A T IG R A P H IQ U E D U C H A N G E M EN T DE LIT H O FA C IE S EN TRE LE S COUCHES D ’ORZESZE ET LE S COUCHES DE Ł A Z IS K A A IN S I QUE LE PROBLEM E DE L A LIM ITE W E S T P H A L IE N В — W E S T P H A L IE N С

Les travaux de W. P e t r a в c h e c k (1928), S. C z a r n o c k i (1935) et E. B e d e r k e (1943) ainsi que des observations ulterieures ont rendu vraisem blable la supposition que l ’arrivee des conditions de sedim entation propres au sommet du Houiller Cracovio-Silesien, avec la haute prepon­

derance des gres, ou a la serie greseuse cracovienine, s’est effectuee en merne tem ps pour toute l ’et endue du bassin de sedim entation de cette

epoque.

Les couches de houille du sommet de la serie schisteuse sous-jacente et de la base de la serie greseuse sont en, exploitation depuis longtem ps dans les deux contrees: celle-ci de Łaziska et M ikołów et celle-la de Jaworzinio.

Dans la cuvette locale de Łaziska deux flores tres riches, celle de la veine 303 (amiciemnement veime Albert ou Wojciech) et celle-la de la veine 215 (autrefois v. Augustensfreude ou Augusta) sont connues depuis loing- temps. D ’apres W. G о t h a :n (1913, 1928) et G. К n о p p (1933) ces deux flores appartieninent a irn meme niveau stratigraphique dit c o u c h e s d e Ł a z i s k a correspond ant au W estphalien B.

Autremenft s’est developpee Topirimn de T. B o c h e ń s k i (1933, 1952).

Au toit de la veine 303 ainsi qu’au toit de la vein e 215 fut comstatee N europteris nicolausiana G o t h . ( G o t h a n , 1913; К n о p p , 1933).

B o c h e ń s k i (1933) a admis 1’identite de Neuropteris nicolausiana avec N. rarinervis B u n b . , d ’apres l’opinion de P. B e r t r a n d (1930). En conisequence il a d’abord range la partie superieure des couches de Łaziska au W estphalien С (1933). P lus tard m em e en approuvant l’independance de l ’espece Neuropteris nicolausiana (1952) il a classe les couches de Łazi­

ska dans le W estphalien С entre autres en vertu de la presence de Neuro­

pteris linguaejolia P. B. Bn m em e tem ps il a detachć la veine 303 des cou­

ches de Łaziska et l’a jointe aux couches d ’Orzesze. Par ce decalage de la lim ite inferieure des couches de Łaziska T. B o c h e ń s k i Га confondue avec la lim ite entre la serie schisteuse des couches d ’Orzesze et la serie greseuse sus-jacente. De 1’autre cote, il a eleve la lim ite supśrieure des couches de Łaziska jusqu’a la veine A leksy (201) de Libiąż ce que llui a permis de prendre les couches de Łaziska ainsi m odifiees comme 1’equi­

3 R o c z n i k t o m X X X V I I

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valent du W estphalien C dans le Houiller Cracovio-Silesien. Ces couches de Łaziska prises sensu lato furent acceptees au schema stratigraphique officiellemenit em ploye dans la pratique m iniere pour tout le Bassin (S. D o k t o r o w i c z - H r e b in i c k i et T. B o c h e ń s k i , 1952). Dans la nom enclature decim ale des veines de houille, liee aux unites stratigra- phiques, les veines des couches de Łaziska s. 1. ont recu les nombres 201— 218 en commenęant d ’en haut par la veine A lek sy comme la veine 201. Dans ces couches de Łaziska, ainsi etendues, les anciennes couches de Chełm furent incorporees comme leur partie superieure.

En 1957 l ’auteur a pub lie une courte etude sur la lim ite inferieure des couches de Łaziska darns la contree de Jaworzno. En voici les resultats:

1. Ein admettaint que la lim ite inferieure des couches de Łaziska est identique avec la lim ite entre la serie schisteuse et la serie greseuse, on doit joindre les veines 301 (autrefois Niedzieliska I) et 302 (Niedzieliska II) aux couches de Łaziska et leur doniner les numeros 215 et 216 en vertu de la parallelisatioin avec les veines de la coinitree de Lędziny.

2. La flore trouvee dans les vein es situees au plus bas dans la serie greseuse (214— 216), etant com pletem ent privee de form es de W estpha­

lien C, appartient nettem ent au W estphalien B.

Durant les d em ieres aninees on a recolte des m ateriaux floristiques nouvelles dams toutes les veines du sommet du profil de la cuvette de Łaziska. Leur etude est effectuee dans l ’ln stitu t des Gisem ents de Charbon de l’Ecole Superieure des Mines de Cracovie. Au toit de la veine 303 on a trouve une association de W estphalien B sans elem ents de W estphalien C (voir la liste inr a dans le texte polonais). Dans les veines 215— 218/2 la flore reste en principe analogue: a cóte de Neuropteris nicolausiana G o t h . , Lonchopteris silesiac a G o t h , et Sphenopteris andraeana v. R o e h l . — d ’autres form es plus jeunes comme p. ex. N europteris linguaefolia P. B. et N. tenuifolia S c h 1 o t h. deviennent sensiblem ent plus frequentes que dans la veine 303; les formes typiques pour le W est­

phalien C y sont absentes. Dans les deux veines situees au-dessus de la veine 215 on a trouve une association de W estphalien B, enrichie d ’Astero- phyllites equisetiformis B r g Ł, m ais privee de trace quelconque de N eu­

ropteris attenuata L. et H. ( = rarinervis) et d ’autres form es typiques pour le W estphalien C, ce qui nous engage a ranger ces deux veines nettem ent au W estphalien B.

Apres avoir determ ine la position' stratigraphique de la surface de base de la serie greseuse cracovien|ne on peuit classer plus preoisem ent les couches d ’Orzesze s. s. et les couches de Łaziska.

Les couches d ’Orzesze s. s. (c’est-a-dire les veines 327— 300 dans la contree de Łaziska et 327— 303 aux environs de Jaworzno) sont l’equiva- lent de la partie inferieure du W estphalien B.

La iserie greseuse cracovienine contient la partie inferieure appartenant nettem ent au W estphalien B, tanidis que la partie de sommet est de W est­

phalien D. Etanit doinine que dans la serie greseuse de la region Jawarzmo- -Libiąż aucuine marque n ’indique l ’existeinice d ’uine lacune stratigraphique plus imiportalnite on doit colnclure qu’il y a dainis le profil de la iserie gre­

seuse une partie moyen(ne appartenant au W estphalien C. Ce soot les cou­

ches de Chełm com m e il etait expose danis le debut de ce travail. La partie inferieure de la serie greseuse, appartenialnit au Westphalieln B, bien deve- loppee aux environs de Łaziska, peut garder avec toute la just esse la deno­

m ination de couches de Łaziska sensu .stricto. D ’apres la flore les lim ites entre ces trois segm ents doivent etre placees au plus sur dans les surfaces

(9)

I I s U B D I V 1' S I 0 IT S T R A T I G E A P H 1 1Q U I

D U H O U I L L E E C E A C O V I O - S l l B S I B H Tabela 1

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Les veines - limites ou les niveaux marina

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55

couches de Chełm

superieures -de Łaziska couches

de Mi- kołów

inferieures d'Orzesze

v.117 Józef a Libiąż v.118 Wiktor & Libiąż v.201 119-Aleksy & Libiąż v.207 Franc i szek-August

a Jaworzno v.208 Franciszka

k Jaworzno v.301 Hiedzieliska I et II

v»302 a Jaworzno

v.3 0 3 Niedzieliska III h Jaworzno

v®328 ,|b" a Czerwionka superieures

couches de Załęże

inferieures

,364

»401 Adam E-Ewa

a Katowice a Katowice

Katowice Katowice

h h

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s u p e r ie u r e s couches de Buda

i n f e r i e u r e s

c ouches de Zabrze

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60 ffl

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eouches de Poruba

couches de Jaklovec

couches de Hrusov

couches de Petrkovice

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O O 0 G O O O

,407/1 17

»407/4 VII

*414/n

v.419 Waleska a Bytom v.420 Binsiedel Górny V.501 Einsiedel Dolny

a Chebzie v.510 Chrobry

n.m. Gaebler

n.m. Barbara

0 0 0 0 0 0 0

a o o o 00

n.m. Enna

banc de schiste de remouleur n.m. ITanette

couches de Libiąż (groupe 100")*

= Westphalian D

couches de Łaziska (groupe 2 0 0 ) »

= Westphalien C

couches d'Orzesze (groupe 3 0 0)=

= Westphalien B,

oouchas de Euda (groupe 400)—

^ Westphalian A

couches de Kyjovice superieures

OOO© © o©n»m* Stur

couches anticlinales (groupe 500)=-

— Ifamurien B-C

couches de Poruba (groupe 600)

couches de Jaklovec (groupe 7 0 0)

couches de Hrusov (groupe 800)

couches de Petrkovice (groupe 900)

u

wl

J3 a

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+ + ■! + 4? 5 O G G G 6

1 — v e i n e de h ouille; 2 — cou ch e de gres; 3 — schiste de remouleur; 4 — horizon marin; 5 — p rem ieres e ch a n tillo n s de L o n c h o - p t e r i s bricei; 6 — horizon rich e en L o n c h o p te r i s h o enin ghausi; 7 — lim ite disputable: il e x i s t e u n e te n d e n c e de la place r p lus bas

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de mur de deux gros baincs de gres dont la superieure est situee au-dessus de la veiine Wiktor (118) et l’inferieure — au-dessus de la veine Francisz­

ka (208).

Comme il a ete precise plus haut on me peut encore indiquer aucune difference plus inette entre la flore des couches d’Orzesze et celle des couches de Łaziska, qui sont toutes les deux d ’age de W estphalien B.

M algrć la diversite lithologique de ces deux segm ents stratigraphiques il parait utile de garder la denom ination des c o u c h e s d e M i k o ł ó w pour l ’equivalent stratigraphique du W estphalien B dans le Houiller Cracovio-Silesien. Les couches de M ikołów unissent done les couches d’Orzesze s. s. et les couches de Łaziska s. s.

Les couches de Łaziska s. s. aux environs de Jaworzno (les veines 208— 216) ant l’epaisseur ca 370 m. Leur flore, tres riche, contient des especes du W estphalien B superieur qui sont enum erees sur la liste nr b dains le texte polonais.

En resum ant les resultats des etudes phytostratigraphiques de la serie lim nique du Houiller Cracovio-Silesien on peut y distinguer trois grandes sous-series:

la sous-serde inferieure ou anticlinale dans le sens elargi du mot, gre- seuse, d’age de Namurien superieur (B + C), d ’epaisseur atteiginant quelque

850 m;

la sous^serie moye|n|ne, schisteuse, d ’age de W estphalien inferieur (A— B inf.), d’epaisseur atteigmamt quelque 2150 m et

la sousj serie superieure, greseuse, dite cracovienne, d’age de W estpha­

lien superieur (B sup. — D), d’epaisseur depassamt 1350 m.

Les deux series, moyenme et superieure, peuvant etre unies dams la notion du groupe synclinal dans le sens restreint du mot.

R E M A R Q U E S SU R LE S A S P E C T S F L O R IS T IQ U E S DE L A S U B D IV IS IO N D E L A SERIE P A R A L IQ U E (LE G R O U PE M AR G IN A L)

L ’etude floristique du groupe m arginal dans la partie tchecoslovaque est dernierem ent suivie par M-me E. P u r k y n o v a (1957— 1962). En m em e tem ps l ’auteur etudia la flore des couches de Poręba dans la contree de Zabrze, Bytom et Chorzów, ainsi que celle des couches de Gruszów au

Sud de Rybnik.

Dans la flore des couches de Poręba on trouve des form es prćcurseurs de la flore plus jeune comme p. ex. un Cyclosphenopteris sp. et deux echantilloms de Sphenopteris a ff. michaeliana G o t h. a cóte de premiers Mariopteris (M. laciniata P o t . et Mariopteris sp.) et des form es plus jeu- n es comme Palmatopteris furcata B r g t., Alloiopteris sp. du typ e d ’Al- loiopteris junghanni G o t h., Sphenopteris ex gr. schwerini S t u r, Pecopteris du typ e de P. plumosa A r t i s , Neuropteris schlehani S t u r et Sphenophyllum cuneifolium S t b g.

Les form es Alloiopteris quercijolia G ó p p., Alethopteris parva P o t., N europteris dluhoschi S t u r avec la form e Neuropteris kosmanni P o t . pro sp. isonit des representahts des groupes taxonom iques en principe plus jeunes. Enfin les formes: Lepidodendron obovatum S t b g., Lepidophloios laricinus S t b g . et Pecopteris (Dyotheca) aspera B r g t . passent des couches de Poręba aux couches plus jeuines.

Tous ces faits eclaircissenit de plus ipres le caraclere du changem ent de flore entre la serie paralique et la iserie limnique.

D ’autre part, an constate dans la flore des couches de Poręba quelques

3*

(11)

36

representaints de la flore plus ancienne tels que Sphenopteris adiantoides, Rhodea stachei S t u r, R. flabellata S t e r z e 1, Lepidodendron velthei- mianum S t b g., Stigmaria stellata G o e p p.

II у a, enfin, d es form es qui sem blent etre caraeteristiques pour les couches de Poręba. Lyginopteris porubensis T r a p i . , Rhodea tenuis G o t h. (caninu de m em e dains les couches sous-jacentes), Neuropteris boh- danowiczi Z a 1., Palmatopteris kosmanni P o t . et peut-etre Sphenopte­

ris beyschlagiana P o t . et Sphenopteris mauvei P o t .

Tous les traits floristiques des couches de Poręba perm ettent de les traiter comme uin niveau phytostratigraphique distinct, une certaine reserve etant prise a l ’egard de leur lim ite inferieure parce que la flore des couches de Jaklowiec sous-jacentes in’est pas encore contnue a fond.

L’auteur a etudie dem ierem ent la flore rócoltee aux couches de Gru­

sz ów enitre le niveau marin Enina et le niveau marin Roland dans la con- tree situóe vers le Sud de R y b n i k .

Les plus frequentes soinit ici les form es Lyginopteris stangeri

S

t u r, Sphenopteris adiantoides S c h l o t h e i m (avec la form e schiitzei 5 t u r, pro sp.) et Sphenophyllum tenerrim um E 11 i in g s h., e'msuite Pecopteris (Dyotheca) aspera B r g t . , Lyginopteris larischi S t u r et A lethopteris parva P o t o i n i e (l’associatian de Namurien A). Pas rares soint ici de m em e quelques epigones de Culm: Neuropteris antecedens

S

t u r (fre- queint), trois especes de Rhodea (entre autres R. stachei

S

t u r), Cardiopte- ridium sp., Archaeocalamites sp. et Sphenopteris cf. bermudensiformis S c h l o t h e i m . E|n isomme c ’est la flore isemblable a celle des couches inferieures de Gruszów. Le .niveau d ’un certain rajeuinissement de la flore doit etre done recherchć au-dessus des couches de Gruszów, peut-etre dans le 'niveau marin Emma.

La subdivision phytostratigraphique du Houiller C racovio-Silesien d’apres le travail present est dressee dams le tableau 1.

Ecole S u p ć r i e u r e de s M in es e t d s la M e ta l lu rg i e de Cra co vie , L’I n s t i t u t d e s G i s e m e n t s de Ch ar bo n

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