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Sur une propriété des suites a termes positifs - Biblioteka UMCS

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Academic year: 2021

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(1)

ANNALES

UNI VERSITAT IS MARIAE CURI E -SKŁODOWSKA LUBLIN -POLONIA

VOL. 1. Nr 1 SECTIO A. 1946

Z

Z Seminarium Matematycznego I Wydziału Przyrodniczego U. M, C. S.

Kierownik: Prof. dr Mieczysław Biernacki

Mieczysław Biernacki

Sur une propriété des suites a termes positifs (0 pewnej własności ciągów o wyrazach dodatnich)

Considérons deux suites à termes positifis: plr p^.. pn.. et ay a2... an...

supposons que la suite an est bornée supérieurement et que l'on a

1) Iim Pn —o

n^oc Qlpn +a2pn-!+...+an Pi

alors bt, b-... bn... étant une suite à termes positifs quelconque telle que la série bl + bi+...+bn+.... diverge on a:

lim pn ______

n-»oo biPn + b2pn_1 + ...+ bnp1

Démonstration. Il suffit évidemment de considérer le cas où an = 1 (n==l, 2, 3...). (ij, 32l... pn.... étant une suite à termes positifs telle que la série + 32+ Pn+ ... diverge et an a2,... an... une suite quelconque, on a généralement:

lim q1 + a2+... + an lim an n Pi+P2+,..+ 3n — n “*°° fin

il suffit donc, en posant Pn =p, + p2.... + pn (n = l, 2,...), d'établir que la suite Pn ______

bxPn +b2Pn —1 + ... + bnP]

tend vers zéro lorsque n"*00 ou encore que la suite:

(31 bl+bt.^+bl.^+.,.+b^

augmente indéfiniment dans les mêmes conditions. Or on a d'après (1) (où tous les an sont égaux à 1):

(2)

20 Mieczysław Biernacki

Pn-i . Pn—j 1 Pn ' Pn

donc k étant un entier quelconque l’expression (3) est plus grande que

~(ô1 + b2 + .... + b/() si n est assez grand.

Remarque 1. Si la suite an n'est pas bornée l'énoncé peut être en défaut.

Voici un exemple de ce cas. Posons pL= 1 et pn =2 "-2 (n=±2) et puis an =pn pour toute valeur de n. On trouve sans peine:

pn 1

a,pn + ... + an p,. ' 2 (n—2)

donc la condition (1) est vérifée. En posant d'autre part bn—1 (n=l, 2...) on trouve que

pn _ __Pn_ _ 1 b,pn +... + bn Pi pn+i 2 L’égalité (2) n’est donc pas vérifiiée.

Remarque 2. Il n'est pas possible de remplacer dans l'égalité (2) lim par lim.

Considérons en effet le cas où an = 1 pour toute valeur de n et où pn = 1 si n n'est pas le carré d'un entier et pn — m si n—m2 ,m étant un entier.

Posons bn=l :n (n=l, 2, 3....). Si n n’est pas le carré d’un entier on a Oipn+... + cmpi . , _ . . 2 a,pn +... + anpi n

---~=p1 + ... + pnet sin=m’ona--~— pn pn - “ m “ m>---m donc la condition (1) est bien vérifiée. Or nous avons d’autre part, en supposant que n=m2:

n m

b pn + ....+ bnpi 1 1 p 1 — k___

m 7 • c m 7

m^i s m^^mz+l — k2

s=l k=l

Pn

Les termes de la deuxième somme croissent avec k, le dernier terme est m et avant-dernier inférieur à nous avons donc:*■ 1

b,pn+ ... + bnp, log n+-+ ^n,—V) 2 log m +3

pn m m m 2

et par suite

pn

lim bipn + ... + bnpl 3 qui justifie bien la remarque 2.

(3)

O wartościach średnich funkcyj podharmonicznych 21 Streszczenie.

W pracy tej badam ciągi }an ! , !pnt i !bn! o wyrazach dodatnich.

Zakładam że ciąg !an ! jest ograniczony i że szereg b1-ł-b2+.... jest roz­

bieżny. W tych warunkach zależność:

n->oolim

_________Pn_________

ajpn 4-a2pn-i+... + anPi o pociąga za sobą zależność:

lim pn ______

n-*~ bjPn +b2pn _, + ... + bn p.

przyczym granica tego ostatniego wyrażenia może nie istnieć.

(4)

X ! I

I

V

к

Cytaty

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