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ques, l’existence et le développem ent d ’u n systèm e de sciences auxiliaires. P arm i elles, la commaiissance des sources, d e leu r évolution a u cours du pasisé, de leur était actuel, et de la m éthode de trav a il s u r leur base, sem ble occuper une position d ’uine valeu r particulière.

W. Jew siew icki

L e ra p p o rte u r a abordé to u t un nom bre de problèm es liés à la question d’organisation des recherches et de l’enseignem ent d’histoire de la science e t de la technique ainsi que la docum entation de sources de ces recherches. Je m e perm ets de classer dans u n certain ordre h iérar­ chique ces problèm es en y ajo u tan t ceux qui me sem blent essentiels pour les recherches d ’histoire de la science et de la technique et d ’y trouver des réponses concrètes d e caractère plutôt pratique, conform ém ent d ’ailleurs aux intentions de l’au teu r du rapport.

CARACTÈRE SPÉCIFIQUE DE LA MATIERE DE L’HISTOIRE DE LA SCIENCE ET DE LA TECHNIQUE

É tan t donné que l’histoire de la science et de la technique est une discipline relativ em en t jeune, on p eu t distinguer daine ,l’organisation d e ses recherches et dans le profil des chercheurs un stad e de transition et une période de stabilisation. En p a rta n t du point de vue que l’objet de nos recherches scientifiques se compose de l’histoire de toutes les sciences sociales, sciences de la n atu re, sciences médicales, techniques e t de l’histoire de la technique, q u ’il est donc une m atière synthétique, on p e u t dire, q u ’il a, ses tra its originaux en com paraison avec l’objet homogène d e tou tes les a u tres branches de l ’histoire comme p ar exem ple histoire politique, économique, histoire de la pédagogie, histoire d e la physique, etc. Ce fait en train e pour l'h isto ire de la science et de la technique des difficultés de recherche et didactiques bien déterm inées, et il influe aussi su r la direction des recherches. Toutefois il est possible qu’après une période de transition, lorsque sera rédigée la p lup art de m onographies de l’histoire des sciences et des techniques respectives, lorsque la docum entation de sources sera rassemblée, et lorsque les m anuels fondam entaux seront élaborés, le caractère aigu de la spéci­ fique des recherches se ré d u ira a u minimum . Cependant on n e p e u t com pter que ceci puisse se pro d uire dans l'av e n ir proche, et en raison de cela il fau t tra ite r les difficultés surgissant dans le s tra v a u x scien­ tifiques sur l’histoire de la science et de la technique avec to u t leur poids..

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D iscussion 269

LE PROFIL SCIENTIFIQUE DU TRAVAILLEUR DE RECHERCHE DE L'HISTOIRE DE LA SCIENCE ET DE LA TECHNIQUE

Comme je l’ai déjà dit, dans la form ation des recherches d ’histoire de la science et de la technique om peut dinstinguer deux stades de développem ent.

Le p rem ier — c’est le stad e actuel, au trem ent dit — (la période des pionniers, dans laq u elle les hommes d e la science s'occupant pour m aintes raisons de problèm es d’histoire de la science et d e la technique, professionellem ent ou em am ateur c ré e n t des ba-ses scientifiques (mé­ thodologiques, m éthodiques et techniques) pour l'organisation des re ­ cherches d’histoire d e la science et d e la technique et in itie n t la for­ m ation des jeunes cadres, dont parle d ’une façon fo rt intéressan te le professeur Taton dans son rapport. Chacun de ces pionniers est spé­ cialiste d ’une science 'concrète, élabore son histoire et aussi initie p arm i ses collaborateurs l ’élaboration de -l'histoire des sciences ou des tech n i­ ques respectives. Il continue donc d e développer ses propres recherches et en m êm e tem ps faisan t l’usage des m onographies historiques de ses colla­ borateurs et des au tres historiens il vise d’une m anière 'conséquente la form ulation d e généralisations et de conclusions p o u r l’objet des r e ­ cherches synthétisantes qu’est l’histoire de la science et de la technique. Le deuxièm e stad e ou la période de stabilisation va com m encer à p a rtir d u m om ent où de chaires d’histoire de la science et de la tech­ n iq u e sortiron t les trav ailleu rs de la science qui seron t déjà spécialistes

du domaine d’histoire de lai science et de la technique. L eurs thèses con­ tien d ron t dans des conclusions concernant la m éthode des recherches sy n ­ thétiques. La spécialisation de ces trav ailleu rs scientifiques sera corres­ pondante, à m on avis, aux époques de i ’h isto ire -de la science et de la technique. Ce n ’est que le titr e scientifique d u prem ier degré (en Po­ logne le doctorat) qui -pourrait être ob tenu à la base de recherches sur l'histoire d’une seule science (par exem ple h isto ire de chimie, histoire de logique, histoire de cartographie, ou histoire des hôpitaux). Mais, par analogie à l’h istoire générale, le s candidats a u professorat d’histoire de la science e t de la technique form é d ’ap rès le n o uveau m odèle seraien t historiens de la science e t d e la techn iq u e de l’A ntiquité, -du M oyen Âge, des sièdles 'derniers etc.

En ce qui concerne la form ation des cadres scientifiques de l ’histoire de la science e t de la technique je la vois à l’avenir (en Pologne dans 10— 15 années) d ’u n e m anière suivante:

1) Un groupe bien nom breux de soldats d ’histoire de la science et d e la technique qui se re c ru te n t

a) p arm i les trav a illeu rs scientifiques des écoles supérieures et des in stitu ts de recherche scientifique;

b) parm i -les étu diants des cours avancés, p articip a n t au sém inaire de l’histoire de la science e t de ,1a technique;

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c) p arm i le groupe des am ateu rs d’histoire d e lia science e t de la technique, les m em bres des sociétés respectives des am ateurs participant aux cours d e popularisation damis ce domaine, les visiteu rs de m usées et d'expositions; certain s de ces am ateu rs élaboreront des ouvrages m ono­ graphiques et des articles d u domaine de l’hisitodre des sciences et des techniques.

2) Un groupe ju sq u ’ici peu nom breux qui vise à faire valoir les travaux m onographiques et les autres recherches d u domaine de l ’his­ toire de la science e t de la technique en v u ^ d e créer la base pour l’élaboration m onographique de l'histoire générale de la 'science et de la technique et aussi pour tire r des conclusions générales de m atériaux réu nis p a r le prem ier groupe.

PROGRAMME DES RECHERCHES

D’HISTOIRE DE LA SCIENCE .ET DE LA TECHNIQUE

L ’élaboration d u program m e prédis et coordonné et l ’organisation planifiée ides recherches scientifiques n e présen ten t pas de tro p grandes difficultés en dom aine d ’histoire 'de la science et de la technique, à la lum ière de la discussion su r l’idée et l’objet ainsi que su r le carac­ tère social du développem ent de la science et de la technique. Mais c’est en dépendance du m ilieu où va fonctionner le centre de recherche scientifique d’histoire de la science e t de la technique, v a se form er un program m e réel des recherches. Je com prends p a r cela que m algré le même but, le program m e des recherches d’une chaire d ’histoire de la science e t de la technique dans une école polytechnique va se distinguer de celui d ’une chaire d’université ou d ’une chaire d ’une école de m éde­ cine. Cette différenciation va progresser en dépendance du program m e et du b ut des études des écoles respectives et du profil de milieu.

Ainsi p a r exem ple l’Académie des M ines e t de M étallurgie à Criaco- vie dem andera à sa chaire de l’histoire d e la science et de la technique l’inclusion de recherches spécialisées s u r l ’histoire de la m etallurgie en Pologne et ailleurs, les Écoles P olytechniques d e Gdańsk e t de Szcze­ cin — d e recherches historiques sur la m arine, l ’U niversité de Łódź — de recherches su r le progrès technique dans l’industrie textile, les écoles d e m édecine — d e recherches s u r l'h istoire d e la médecine, etc. Ceci sem ble d’iaiilleuns to u t à fait n a tu re l étan t donné que chaque école vise en dehors de recherches d e longue 'haleine les recherches liées directem ent a u x problèm es qui intéressent son m ilieu.

Il en découle c e tte conclusion p o u r le program m e des recherches que chaque chaire d’histoire de la science et d e la technique d ev rait m ener l'activité de recherche scientifique dans la création et la form a­ tion: des bases d ’h istoire d e la science et d e la technique en ta n t q u ’une

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D iscussion 271

discipline syn thétiq ue; de (La m éthode e t de la technique d u tra v a il dans l'histoire de la science et de la technique; de la spécialisation d a n s l'histoire d’u n e b ran ch e déterm inée de la science ou d e la tech n iq u e découlant de besoins concrets du m ilieu scientifique, économ ique ou social.

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-CENTRES DE RECHERCHES

D’HISTOIRE DE LA SCIENCE ET DE LA TECHNIQUE

Le professeur Tatom ne soum et pas ce problèm e à la discussion, mais: il m e sem ble que Iles cen tres de recherches d ’histoire de la science e t de la technique son t trè s im portants p o u r l ’efficaicité e t l’in ten sité des recherches scientifiques. J ’y vois deux v aria n tes qui se ‘com plètent: chaires p rè s les écoles supérieures de ty p e u n iv ersitaire et in s titu ts de recherche près d es principaux cen tres scientifiques du pays.

Il me sem ble q u ’on n e d ev rait d iscu ter que le problèm e des in s titu ts de recherche scientifique, c a r l’u tilité de la 'création des chaires 'n e devrait pas être m ise e n question. Il faudrait, à m on avis, c h arg e r les. chaires de to u t le poids de lia form ation de nouvelles cadres d e recherche pour l'histoire de la science e t de la technique. J e crois que le tra v a il de recherche dans les sciences sociales i(et 'parmi celles-ci je classe l’histoire de la science e t d e la technique) soit bien plus fru ctu e u x s ’il est lié avec le trav a il didactique que le tra v a il d e recherch e effectué dans le silence d’u n cabinet. La confrontation des ré su lta ts d e ses propres investigations et généralisations avec l ’esp rit ou vert et critiq u e envers les nouvelles 'connaissances des étudiante donne des bons ré su l­ ta ts ainsi q u ’u n e aide efficace p o u r le chercheur.

Je conçois les in stitu ts d e recherche scientifique dans le dom aine d’histoire d e la science et de la tech niq ue en ta n t q u ’organism es cenr: tra u x ay a n t su rto u t 'pour but la coordination d e l ’àctdvité de recherch e des chaires dans Iles éooiles 'respectives, et la docum entation su r les sources e n liaison avec les organism es étrang ers d e ce ty p e; ceci est p articulièrem ent nécessaire pour 'les h istoriens d e 'la technique e t-d e s sciences techniques, ces disciplines étan t probablem ent les m oins exa­ minées.

RECHERCHES INDIVIDUELLES ET COLLECTIVES DANS L’HISTOIRE DE LA SCIENCE ET DE LA TECHNIQUE

P récieuses sont p our nous les considérations d u professeur Tatom concernant la coopération des 'chercheurs d e différen tes spécialités lorsqu’on e n tre p ren d les (travaux de synthèse. Il sem ble to u t à fa it juste que dans les recherches d ’histoire de la science et de îla technique,, et cela découle d e sa stru ctu re, les recherches collectives sont

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imdispen-sables. Ils p eu v en t aussi constituer un istim ulant p o u r >l’élaboration des form es et d e la technique de coopération des trav ailleu rs scientifiques de différentes spécialistes qui se posent le b u t d e présen ter l’histoire des branches respectives d e la science d an s ileur p rofil synthétique. Un exem ple excellent d ’u n te l tra v a il collectif serait u n e élaboration de l’histoire de la technique où la collaboration est nécessaire non seule­ m e n t parm i îles spécialistes des branches respectives de la technique m ais aussi en tre îles techniciens, historiens, économistes, etc.

Mais, com me île d it le professeur Taton, un trav ail collectif consacré à un problèm e synthétique ne dev rait pas élim iner les recherches indi­ viduelles d’une étendue lim itée dants l’o b jet (par exem ple les trav a u x collectifs su r l’histoire d e la technique et les, trav a u x individuels su r l'histo ire de la production de verre, -l'histoire de ciment, etc.) ou dans le tem ps (par exem ple développem ent de la science e t de la technique à l’époque de 'l’A ntiquité ou au d ébut d e M oyen Âge). D’ailleurs le soutien de recherches individuelles est exigé p ar les besoins de la form a­ tion de la jeune cadre des chercheurs qui doivent dém ontrer la connaissance des m éthodes élém entaires de recherche ainsi qu’une facu lté d ’élaborer des conclusions scientifiques et la connaissance des sources et des m oyens de préparation d’une docum entation nécessaire.

LE BUT ET L’UTILITÉ DES RECHERCHES D’HISTOIRE DE LA SCIENCE ET DE LA TECHNIQUE

Le professeur T atcn eist d ’avis, que le b u t essentiel de l’histoire de la science et de la technique est de donner aux fu tu rs philosophes, historiens, historiens de litté ra tu re ou chercheurs des sciences n a tu re l­ les, u n aperçu d’histoire des sciences, et de m o n trer l ’im portance du fait scientifique et- technique dans l'h isto ire de la pensée et dans la vie quotidienne d e l'hum anité. Il est difficile d ’y être d’accord. Le pro­ fesseur Suchodolski en term inan t son exposé dit: “...M ontrer ce grand processus de «l’éducation des hommes p ar la science» — dans leur hétérogénéité sociale et individuelle, dans de différents systèmes et différentes conditions géographiques et nationales, est une belle mission de l ’histoire de ila science comprise d ’u n e m an ière m oderne”.

Mais les b u ts e t les tâches de l’hisitoire de la science et de la tech ­ n ique ainsi conçues peuvent être complétés. Il fau d rait souligner encore le caractère éducatif de cette histoire. U n g rand rôle joue la vulgarisa­ tion des connaissances su rto u t dans le dom aine de l’histoire de la tech­ nique parm i la jeunesse faisan t ces études. Ainsi, p a r exemple, la v u l­ garisation des réalisations techniques nationales aide non seulem ent dans la form ation des sentim ents patriotiques d e la jeunesse, elle aide aussi à ren fo rcer p arm i les jeunes techniciens la foi en forces créatrices de leur nation et en ses possibilités actuelles. De tels exem ples de l’utilité

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D iscussion 273

in directe e t directe des recherches s u r l ’histo ire de la science e t de la technique se laissent évidem m ent m u ltip lier et o n p eu t être recon­ naissan t au professeur Taton d ’avoir abordé ce sujet.

DOCUMENTATION DBS RECHERCHES

D’HISTOIRE DE LA SCIENCE ET DE LA TECHNIQUE /

Ce point de considérarbions concerne les buts e t le s tâches de l ’in stitu t de recherche scientifique. Le p rofesseur T aton a raiso n en exigeant de ce c en tre u n e in ten se activité englobant nom bre d e directions telles que: l ’aide idans la docum entation, l ’aide financière, (intellectuelle et m orale au x chercheurs individuels. .Mais il m e sem ble que ce qui est le plus im p o rtan t dans le trav a il d ’un in stitu t de recherche scientifique c’est la docum entation de sources, particu lièrem en t im p o rtan t pour les r e ­ cherches d’histoire de la technique.

La v ariété e t la diversité des recherches historiques s u r la technique e t en m êm e temps le m anque d’une m éthode élaborée et révisée dem ande la coordination des efforts créateu rs des historiens de la technique. Le ca ra ctère spécifique de ces recherches en train e d’em blée la div ersité de la technique elle-m êm e du tra v a il e t e n apparence, aussi la diversité dans la m éthode de recherche. P our é v iter le gaspillage de la précieuse in itia tiv e 'et des efforts individuels ides Chercheurs, c’est l ’inform ation élaborée p a r l'in stitu t d e recherche et appuyée p a r le p la n s d e n tifiq u e basé sur les besoins essentiels de recherche, qui est la p lu s indiquée.

On p eu t -concevoir l ’accum ulation des m atériau x de docum entation de deux m anières:

1) rassem blem ent e t élaboration scientifique des m atériau x et leu r m ise à ila portée des centres de recherche ou des chercheurs individuels;

2) l’initiative pour l’accum ulation des m atériau x et leu r conserva­ tio n par les archives, les m usées et bibliothèques appropriées; pair les in stitu ts scientifiques respectifs au près des entreprises spécialisées q u i possèdent leurs propres centres de recherches, laboratoires, etc:

L ’inform ation s u r les sources d ev rait dépasser à m on avis le cadre d ’un catalogue bibliographique et englober des données concernant toutes les -sources et tous les m atériaux du dom aine de l ’histoire de la science e t de la technique se tro uv an t dans les bibliothèques, archives, m usées et collections particulières. Elle devrait contenir l ’inform ation su r le lieu où sont conservés ces m atériaux, s u r les conditions et le degré •d e l’accès q u ’on p e u t en avoir. L ’inform ation d ev rait aussi com prendre

les données s u r les m atériau x se tro u v an t à l ’étranger.

P ratiq uem ent l ’inform ation s u r lies sources p eu t s ’effectu er -par u-n systèm e de fichiers conforme a u x sciences e t techniques respectives, au plan de recherches, et -conforme à la hiérarch ie des recherches et le u r actualité. En dehors des avantages de la coordination des recherches

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on a tte in d ra aussi dans une grande m esure u n e larg e possibilité d’in itiativ e d e recherches, car c ’est à trav ers l’inform ation su r les sources qu ’on p eut form er des suggestions s u r la direction déterm inée des recherches.

D. J. de Solla Price v

I should like to add th ree v ery b rief p ractical footnotes to th e problem s raised b y P rof essor Taton in th e docum entation of th e H isto ry of Science.

1) If th e H istory of Science is to begin to p lay its n ew rode as p a rt of th e “Science of Science”, th e n w e shall need docum entation fo r this topic. O ur prim e desideratum is for some in tern atio n al agreem ent on definitions, statistics, m ethodology etc. for a ll th e studies of th e fairly recen t h istory of science a n d technology. We m ust w ork tow ards an in tern atio n al com pilation of data in our field, such as one now had for m any yearis (from U.N. an d Unesco) in P o p u latio n Statistics an d in Economics. We hope to arran g e a smaill m eeting n ex t sum m er in Yugoslavia under the leadership of S tefan D edijer to take prelim inary steps in th is direction.

2) It becomes evident th a t H istorians of Science do not yet form a cloise intern ation al com munity. It is n o t too difficult to find mono­ graphs in special subjects, or even original docum ents an d in strum en ts in o th e r countries. It is how ever most difficult to fin d o u t the am bient ideas th a t are p a rt of background education of our colleagues in o th er lands.

To help us know each o th e r b e tter w e m u st 'know our basic books, an d I therefore suggest th a t at th e n e x t In tern atio n al Congress w e should in v ite a special exhibition from each co u n try of its textbooks for schools a n d universities — stan d ard w orks as w ell as professional monographs. I for one w ould be moist in terested to see w hat so rt of literatu re w as behind th e papers read to us by Soviet and Polish H istorians of Science.

3) F u rth e r to th is end I w ould like to see, p erh ap s u n d er the aegis of the In ternatio nal Academ y for th e H istory of Science, some selection of basic books of each co u n try (to be proposed by th e country), w hich m ight w ell be tra n slated an d published in o th er countries. There m ig h t w ell be national and international financial support available for such* desirable desiderata. It seems a p ity th a t each cou n try should h av e to discover a new p ath s in o u r field, th a t have long been fam iliar elsew here. I t is also a pity if we continue w ith such different back­ grounds th a t such su b jects as “Classification” a n d “Periodization” a re triv ial in some land and fundam ental in others. ' _

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